Alger est considérée comme la ville la moins sûre du monde, que ce soit en matière de sécurité ou en termes d’investissements et d’infrastructures selon une étude britannique spécialisée qui a passé au crible 127 villes dans le monde.
L’étude effectuée par The Economist Intelligence Unit (EIU) et publiée par le magazine The Economist place la capitale algérienne parmi les six villes les moins «vivables» du monde . L’EIU est un bureau de recherche élaborant des études et des analyses, au profit des organisations étatiques et indépendantes, touchant plus de 200 pays et quelque huit secteurs économiques stratégiques.
L’enquête tient compte de cinq paramètres, à savoir la stabilité, les soins sanitaires, la culture, l’environnement, l’enseignement et les infrastructures.
Ces cinq paramètres reposent sur 40 éléments «qualitatifs et quantitatifs» sur la base desquels est fixé un pourcentage sur la qualité de vie dans chacune des 127 villes concernées, selon les promoteurs de l’étude.
Le pourcentage varie de 0 % à 100 %. Si une ville obtient le plus bas score, elle est considérée comme exceptionnelle et si au contraire elle obtient un fort pourcentage elle est qualifiée d’intolérable. Selon ces critères, Alger a obtenu 66 %, une moyenne identique à celle obtenue par Port Moresby en Papouasie (Nouvelle-Guinée).
Les deux villes sont les plus mauvaises destinations autant pour les touristes que pour les investisseurs ou ceux désireux de s’y établir. Les rédacteurs de l’enquête estiment que même si la violence a reculé à Alger ces dernières années, il n’en demeure pas moins que les infrastructures et le cadre de vie en général sont encore en deçà des normes souhaitées pour garantir un cadre de vie agréable.
Les services ainsi que les moyens de circulation des biens sont dérisoires, soutient le document. A cela s’ajoute, souligne l’étude, «l’absence de structures de divertissements censées réduire les restrictions culturelles». Toutefois, deux villes ont obtenu des pourcentages pires qu’Alger, mais ne recèlent pas les mêmes imperfections.
Il s’agit de Bogota (90 %) classée à la 117e place et Caracas (75 %) où sévit seulement l’instabilité sécuritaire et politique. Bien que la plupart des villes sud-américaines présentent des conditions de vie idéales, l’étude relève qu’une dizaine de villes d’Asie, d’Afrique et du Moyen-Orient se sont vu accorder des pourcentages supérieurs, à 50 % mais ne sont pas pour autant considérées comme des destinations non intéressantes.
Dans la catégorie des mieux loties, toutes les villes d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord ont obtenu des pourcentages inférieurs à 20 %, les plaçant comme des régions «agréables à vivre». Ainsi, la ville canadienne de Vancouver est en tête des six meilleures villes, suivie de Melbourne (Australie), Vienne (Autriche), Genève (Suisse), Perth et Adélaïde (Australie), qui ont obtenu respectivement des pourcentages de 2 et 3 %.
Au bas du tableau, on retrouve Alger, Port Moresby suivies de Dacca (Bangladesh), Karachi (Pakistan), Lagos (Nigeria) et Phnom Penh (Cambodge).
En dépit des violences quotidiennes au Proche-Orient et du marasme économique, Tel-Aviv (Israël) s’est vu accorder un score de 23 % faisant d’elle, selon l’étude, la meilleure destination de la région
L’étude effectuée par The Economist Intelligence Unit (EIU) et publiée par le magazine The Economist place la capitale algérienne parmi les six villes les moins «vivables» du monde . L’EIU est un bureau de recherche élaborant des études et des analyses, au profit des organisations étatiques et indépendantes, touchant plus de 200 pays et quelque huit secteurs économiques stratégiques.
L’enquête tient compte de cinq paramètres, à savoir la stabilité, les soins sanitaires, la culture, l’environnement, l’enseignement et les infrastructures.
Ces cinq paramètres reposent sur 40 éléments «qualitatifs et quantitatifs» sur la base desquels est fixé un pourcentage sur la qualité de vie dans chacune des 127 villes concernées, selon les promoteurs de l’étude.
Le pourcentage varie de 0 % à 100 %. Si une ville obtient le plus bas score, elle est considérée comme exceptionnelle et si au contraire elle obtient un fort pourcentage elle est qualifiée d’intolérable. Selon ces critères, Alger a obtenu 66 %, une moyenne identique à celle obtenue par Port Moresby en Papouasie (Nouvelle-Guinée).
Les deux villes sont les plus mauvaises destinations autant pour les touristes que pour les investisseurs ou ceux désireux de s’y établir. Les rédacteurs de l’enquête estiment que même si la violence a reculé à Alger ces dernières années, il n’en demeure pas moins que les infrastructures et le cadre de vie en général sont encore en deçà des normes souhaitées pour garantir un cadre de vie agréable.
Les services ainsi que les moyens de circulation des biens sont dérisoires, soutient le document. A cela s’ajoute, souligne l’étude, «l’absence de structures de divertissements censées réduire les restrictions culturelles». Toutefois, deux villes ont obtenu des pourcentages pires qu’Alger, mais ne recèlent pas les mêmes imperfections.
Il s’agit de Bogota (90 %) classée à la 117e place et Caracas (75 %) où sévit seulement l’instabilité sécuritaire et politique. Bien que la plupart des villes sud-américaines présentent des conditions de vie idéales, l’étude relève qu’une dizaine de villes d’Asie, d’Afrique et du Moyen-Orient se sont vu accorder des pourcentages supérieurs, à 50 % mais ne sont pas pour autant considérées comme des destinations non intéressantes.
Dans la catégorie des mieux loties, toutes les villes d’Europe de l’Ouest et d’Amérique du Nord ont obtenu des pourcentages inférieurs à 20 %, les plaçant comme des régions «agréables à vivre». Ainsi, la ville canadienne de Vancouver est en tête des six meilleures villes, suivie de Melbourne (Australie), Vienne (Autriche), Genève (Suisse), Perth et Adélaïde (Australie), qui ont obtenu respectivement des pourcentages de 2 et 3 %.
Au bas du tableau, on retrouve Alger, Port Moresby suivies de Dacca (Bangladesh), Karachi (Pakistan), Lagos (Nigeria) et Phnom Penh (Cambodge).
En dépit des violences quotidiennes au Proche-Orient et du marasme économique, Tel-Aviv (Israël) s’est vu accorder un score de 23 % faisant d’elle, selon l’étude, la meilleure destination de la région
Ceci est adressé pour vous en premier Monsieur Yazid ZERHOUNI, Ministre de l'interieur. votre gestion de la securité des algérois est catastrophique. A vous aussi aussi M Ali TOUNSI Directeur de la DGSN. en tant que simple citoyen on a le droit de demander de vivre en paix sous la protection des forces de l'ordre. Force est de constater que de grandes lacunes existent dans la gestion de la sécurité des Algérois.
A vous aussi Abdrabi Abdelmoumen, chef de la sureté de la wilaya d'Alger, a vous aussi M’Hamed, Salah Nouasri, chef de la sureté de la daira de Sidi-M'hamed......
Jusqu'a quand les algérois en particulier et les algériens en général viveront le calvaire de l'insécurité.
Ceci est un cri de détresse !!!!
Stanislas
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