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En plus des routes coupées à travers certains axes de la wilaya de Tizi-Ouzou, les très fortes précipitations de ces dernières 72 heures ont causé des dégâts matériels dans quelques endroits.
C’est le cas de le dire pour la commune de Sidi Naâmane, dans la daïra de Draâ Ben Khedda, où la deuxième moitié de l’ancien pont légué pour les Français s’est effondré. Pis, le pont fonctionnel risque tout simplement de subir le même sort à défaut de consolidation urgente, selon des témoignages de la population locale. L’état du pont, dont l’importance est indéniable, en ce sens qu’il relie d’abord Draâ Ben Khedda à Sidi Naâmane, mais surtout qu’il donne sur plusieurs localités, telles que Makouda et Attouche, prête à inquiétude. “C’est vrai que les fortes pluies qui se sont abattues sur la région ont considérablement aggravé l’état du pont mais je vous le dis, la raison principale c’est l’extraction de sable de l’oued Sedao”, nous dit l’un des citoyens de Sidi Naâmane, interrogé hier par nos soins. Contacté, le directeur des travaux publics de la wilaya de Tizi-Ouzou nous fera savoir que la première mesure prise a été l’interdiction de passage des poids lourds sur l’ouvrage : “Nous étions sur les lieux avant-hier où nous avons constaté effectivement l’effondrement de l’ancien pont qui est fermé à la circulation depuis très longtemps. Quant au pont fonctionnel, nous avons interdit le passage des poids lourds”, nous a dit M. Aït Kaci, DTP du Tizi-Ouzou.
Il faut dire, dans ce sens, que l’inquiétude de la population est grande. Tous appréhendent la fermeture de ce pont. “ Il est dans un état précaire. Déjà en 1995, il a été fermé après avoir été la cible d’une explosion d’une bombe”, nous dit un citoyen de Sidi Naâmane.
De son côté, le P/APC nous fera savoir également qu’une entreprise est déjà engagée pour l’ouvrage de Zaouia dans l’optique de sa consolidation.
Par ailleurs, toujours au sujet des dégâts occasionnés par les intempéries, on signale qu’à Aïn El Hammam, certains axes routiers ont été relativement endommagés par des éboulements, c’est le cas de le dire aussi pour les communes d’Aït Yahia Moussa, de Ouacif et des Ouadhias.
Par la dépêche de Kabylie
C’est le cas de le dire pour la commune de Sidi Naâmane, dans la daïra de Draâ Ben Khedda, où la deuxième moitié de l’ancien pont légué pour les Français s’est effondré. Pis, le pont fonctionnel risque tout simplement de subir le même sort à défaut de consolidation urgente, selon des témoignages de la population locale. L’état du pont, dont l’importance est indéniable, en ce sens qu’il relie d’abord Draâ Ben Khedda à Sidi Naâmane, mais surtout qu’il donne sur plusieurs localités, telles que Makouda et Attouche, prête à inquiétude. “C’est vrai que les fortes pluies qui se sont abattues sur la région ont considérablement aggravé l’état du pont mais je vous le dis, la raison principale c’est l’extraction de sable de l’oued Sedao”, nous dit l’un des citoyens de Sidi Naâmane, interrogé hier par nos soins. Contacté, le directeur des travaux publics de la wilaya de Tizi-Ouzou nous fera savoir que la première mesure prise a été l’interdiction de passage des poids lourds sur l’ouvrage : “Nous étions sur les lieux avant-hier où nous avons constaté effectivement l’effondrement de l’ancien pont qui est fermé à la circulation depuis très longtemps. Quant au pont fonctionnel, nous avons interdit le passage des poids lourds”, nous a dit M. Aït Kaci, DTP du Tizi-Ouzou.
Il faut dire, dans ce sens, que l’inquiétude de la population est grande. Tous appréhendent la fermeture de ce pont. “ Il est dans un état précaire. Déjà en 1995, il a été fermé après avoir été la cible d’une explosion d’une bombe”, nous dit un citoyen de Sidi Naâmane.
De son côté, le P/APC nous fera savoir également qu’une entreprise est déjà engagée pour l’ouvrage de Zaouia dans l’optique de sa consolidation.
Par ailleurs, toujours au sujet des dégâts occasionnés par les intempéries, on signale qu’à Aïn El Hammam, certains axes routiers ont été relativement endommagés par des éboulements, c’est le cas de le dire aussi pour les communes d’Aït Yahia Moussa, de Ouacif et des Ouadhias.
Par la dépêche de Kabylie