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Les flammes ravagent l'hôpital de Gaza touché par un obus israélien

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  • Les flammes ravagent l'hôpital de Gaza touché par un obus israélien

    GAZA - Les flammes ravageaient jeudi soir l'hôpital Al-Quds, à Gaza, touché plus tôt par un obus israélien, d'où des centaines de personnes tentaient de fuir dans la confusion la plus totale, selon un correspondant de l'AFP.

    Dans des scènes de panique, des parents évacuaient des malades et des blessés couchés sur des lits, et trois bébés prématurés dans des couveuses vers la rue pour fuir le brasier.

    Des tirs israéliens résonnant dans le secteur ajoutaient à la confusion.

    Des fumées épaisses se dégageaient du bâtiment en feu.

    Le docteur Régis Garrigue, un urgentiste français et président de l'ONG Help Doctors, dont une mission se trouve à Gaza, a affirmé qu'au moins 200 personnes, des malades mais aussi des Palestiniens qui s'étaient réfugiés dans l'hôpital pour fuir les combats, avaient pu sortir dans la rue.

    "La situation est très grave", a-t-il affirmé. Selon lui, trois des malades évacués dans la hâte étaient en réanimation.

    Un incendie s'était déclaré plutôt dans l'hôpital Al-Quds, relevant du Croissant Rouge palestinien, et ses bureaux administratifs attenants après qu'ils eurent été touchés par un obus dans une attaque israélienne dans le quartier de Tal Al-Hawa, à Gaza-ville.

    Des responsables de l'établissement ont affirmé que l'incendie avait été provoqué par des "obus au phosphore".

    L'incendie dans l'aile abritant les malades avait pu être circonscrit dans un premier temps mais pas celui dans le bâtiment administratif.

    Le docteur Garrigue avait affirmé dans la journée que des personnes étaient resté "prisonnières" dans l'hôpital après le bombardement de l'armée israélienne.

    "Les Israéliens bombardent et attaquent partout autour de l'hôpital. On ne peut pas sortir, il y a le feu, on est prisonnier à l'intérieur, l'eau a été coupée", a-t-il déclaré.

    "A 22 heures (mercredi), on a commencé à avoir des bombardements excessivement violents tout autour de l'hôpital. Cela a été incessant, une pluie de bombes de 22 heures à huit-neuf heures du matin" jeudi, a précisé M. Garrigue.

    "Ca se rapprochait vraiment très très fort et à, je crois, 10H45 heure locale, une bombe est tombée sur l'hôpital", a-t-il encore dit.

    "La pharmacie au 2e étage où je me trouve s'est effondrée, ainsi que toute une aile d'un autre bâtiment, avec un mouvement de panique de gens qui étaient dans l'hôpital, notamment les malades, leurs familles, parce que le bâtiment a commencé à prendre feu. Là, je ne vous raconte pas l'horreur", a affirmé le médecin.

    (©AFP / 15 janvier 2009 22h14)
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Je trouve la caricature assez choquante mais elle résume bien la réalité:




    Commentaire


    • #3
      oui
      en pleine periode de soldes
      solde de tout compte
      mais comment arreter ces hitleriens
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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      • #4
        mais comment arreter ces hitleriens
        faut pas rever, les pays du golf + egypte + jordanie ont soldés leurs comptes.
        desormais leurs vrai ennemie c'est l'iran il faut faire avec.
        bye bye gaza
        There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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        • #5
          Je parle pour moi: on ne peut rien faire juste les imaginer se faire massacrer car même les images sont interdites.

          Je ne sais pas si tu as vu tout à l'heure Envoyé Spécial, il y a eu des images cruelles envers les palestiniens et une com. vicitimisante envers les "pauvres" colons juifs qui subissent les tirs de roquettes du Hamas. Pendant, le tournage, il y en a eu une qui est tombée pas loin d'une école, les gens étaient en état de choc. Ils ont eu droit à des ambulances, des prises en charges de l'armée, ... et de l'autre côté les blessés de Ghaza ne peuvent avoir un médicament antibactérien pour panser leurs blessures qui s'infectent faute d'argent et l'hôpital totalement démuni...

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