Un protocole d'accord a été signé le 14 janvier entre la fondation Déserts du monde et l'ambassade du Royaume-Uni en Algérie portant sur la plantation d'arbres dans une région désertique du sud du pays, à l'est du Grand Erg oriental, au cœur du Sahara. Il s'agit dans un premier temps de boiser 3,5 hectares et ensuite d'étendre l'expérience à 35 hectares sur plusieurs années. Le projet vise à "réhabiliter la région et à protéger les espèces végétales et animales en voie de disparition", souligne le quotidien algérien La Tribune, qui rappelle que le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) a lancé une campagne parrainée par le prince Albert de Monaco et le Prix Nobel de la paix 2004, la kényane Wangari Maathai, pour la plantation de sept milliards d'arbres d'ici à la fin 2009 dans le monde.
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Lancement de l'opération "Plantons un arbre dans le désert"
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Salam,
Lancement de l'opération "Plantons un arbre dans le désert"
El Oued, par exemple, nage sur une grannnde nappe d'eau, et à une dizaine de mètres de la surface. Mais justement le sable à la surface est très sec.. Alors deux solutions existent :
1/ Faire de l'irrigation forcée, avec puits et pompes.. Mais cela coûte cher, et en plus les pompes sont systématiquement volées..
2/ Faire ce qu'ils appellent un "Ghote", (un "nid" en dardja).. ils creusent toute la surface à planter pour la faire abaisser de plusieurs mètres, jusqu'à atteindre le sable humide, et là, ils plantent. C'est une méthode ancestrale, mais efficace. Son inconvénient est une lutte permanente contre le retour du sable.
D'autres région du grand erg ont un socle rocheux, et souvent il faut creuser plusieurs centaines de mètres (parfois jusqu'à 1000m) pour atteindre la nappe phréatique. Et cela coûte aussi cher que de creuser un puit de pétrole.
Je pense personnellement qu'il n'est pas utile de lutter contre la désertification. C'est un phénomène naturel.. mais qu'il faut composer avec.. Notre Sahara recèle dans le domaine de l'agriculture un trésor phénoménal. Il suffit de s'adapter.
Il s'agit dans un premier temps de boiser 3,5 hectares et ensuite d'étendre l'expérience à 35 hectares sur plusieurs années.
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planter le desert à coup de 35 ha c'est comme vider l'ocean avec un sceau .. faut pas mentir aux gens , d'ailleur c'est la specialité de cherif rahmani ,planter des arbres dans l'erg alors que ceux qui sont plantés au nord ne survivent qu'à un taux derrisoire , dans le dezert il faut autre chose il faut une volonté politique immense , il faut un projet grandiose d'un million d'hectares sur 20 ans , il faut des moyens collossaux en forages n pistes agricoles , electrification, et mettres des milliers d'hectares en concession chaque année sur des dizaines d'années , le sahara algerien est le veritable tresor de l'algerie , une terre arable comme celle de jelfa , laghouat, el wed ,comme disent mes confreres agriculteurs trab ejib dhrari "une terre qui fait pousser des enfants " et de l'eau a gogo , on dort sur 6000 milliards de m3 d'eau !!!..et à coté on parle de 3 hectares dans l'erg ,on se fout des gens .. je suis pepinieriste je vend plus de 20 milles plants par an ,donc je plante à moi tt seul des centaines d'hectares par an par intermediaires .. comment un etat peutil se targuer de planter 30 hectares sur plusieur années, ain oussera a jelfa je connais personellement un agriculteur qui s'apprete a planter plus de 200 hectares en pommier poirier, et qui achette cette année seulement plus de 40 milles plants ...
le desert il n'ya qu'une seule solution , celle de boumedienne etait ridicule , irraisonable , il faut une grande entreprise à la sonatrach, apuiée par le geni militaire , determiner les regions , definir les parcelles , effectuer les forages ,l'ouverture des pistes ,le raccordement au reseau electrique , la plantation des brises vent, et mettre ces parcelles de 50, 100 hectares en concession pour les agriculteurs nationaus et etranger , sans oublier les fermes pilotes specialisées en culture en zones semi arides dirigées ds le cadre du partenariat ,par des techniciens etrangers ,l'ideal les australien et californiens ( les israeliens pas possible)... g deja parlé d'un projet de 1000 pivot d'irrigation de 50 ha chacun avec un rendement moyen de 50 qtx à l'hectar , celà fait deja 50 milles ha dans les haut plateaux et une reduction phenomenale de notre dependance en blé , le meme systeme pivot peut etre utilisé pour la viande et le lait puisque c'est le meme modele de production ...
mais tt ceci reste des chimeres puisque nos responsables sont d'une race autre que celle que demande ce pays , la race des faineants heureux , imbeciles convaincus de leur intelligence .Dernière modification par jamaloup, 16 janvier 2009, 12h44.en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile
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Envoyé par jamaloupune terre arable comme celle de jelfa , laghouat, el wed ,comme disent mes confreres agriculteurs trab ejib dhrari "une terre qui fait pousser des enfants " et de l'eau a gogo
Ce qui manque, se sont des exploitations de type industriel.
Envoyé par jamaloupmais tt ceci reste des chimeres puisque nos responsables sont d'une race autre que celle que demande ce pays , la race des faineants heureux , imbeciles convaincus de leur intelligence .
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Ce qui manque, se sont des exploitations de type industriel.
Tout à fait. Les plantations de palmiers, les vergers et exploitations diverses existent et couvrent des milliers d'ha dans le sahara algérien.
Ce qui manque effectivement, ce sont les exploitations techniques et industrielles, à savoir les cultures sous serres et les grandes superficies mécanisées, équipées d'installations spéciales de fertilisation et d'arrosage et exploitées mécaniquement.
Pour les serres, l'eau chaude de la nappe albienne permettrait de produire toutes sortes de fruits et légumes en plein hiver et en quantité industrielle qui seraient destinées en partie pour l'exportation.
Le réchauffement climatique porteur de pluie dans notre région pourrait s'avérer déterminant si nos responsables se décidaient enfin à tourner le dos au nord (et aux importations juteuses).
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Ce qu'il faut c'est la relance du barrage vert qu'avait commence Boumedienne dans les annees 70,qui s'etendait d'est en ouest,et une bande large de 6 km.
avec les bras des recrutes du service national.
aussi il faut voir les experiences des autres pays concernes,comme c'est le cas de la chine qui a reussi a faire face a ce danger.عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون
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Force est de constater que depuis la concession du projet à l’administration des forêts, qui a officiellement repris le chantier dans les années 90, le projet a pris du recul. Quelles en sont les raisons ? La direction générale des forêts (DGF) explique ce recul par le manque de moyens.La direction des forêts n’a pas les moyens humains et matériels dont disposait l’armée,sa mission a été focalisée surtout sur l’entretien de ce qu’a été déjà réalisé, sachant que les pins d’Alep sont aujourd’hui menacés par la chenille processionnelle.عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون
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A cela s’ajoutent les atteintes de l’homme. malgré la bonne volonté des décideurs, le barrage vert est un projet utopique . tout le monde pensait que la désertification est l’avancée du sable du désert vers le nord alors qu’en réalité la désertisation est la dégradation des sols générée par l’abattage des arbres et les pressions climatiques en Algérie. Elle cite comme exemple la région de l’ouest du pays qui souffre actuellement d’un véritable problème d’érosion , pourtant les raisons n’ont rien à voir avec l’avancée du sable .عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون
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Envoyé par Laari1Ce qui manque effectivement, ce sont les exploitations techniques et industrielles, à savoir les cultures sous serres et les grandes superficies mécanisées, équipées d'installations spéciales de fertilisation et d'arrosage et exploitées mécaniquement.
Envoyé par chegevaratout le monde pensait que la désertification est l’avancée du sable du désert vers le nord alors qu’en réalité la désertisation est la dégradation des sols générée par l’abattage des arbres et les pressions climatiques en Algérie.
Envoyé par chegevaraForce est de constater que depuis la concession du projet à l’administration des forêts, qui a officiellement repris le chantier dans les années 90, le projet a pris du recul.
Les forestiers font un travail remarquable en Algérie.. Le domaine forestier national n'a jamais cessé de progresser..
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