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Les Hôpitaux en Algérie manquent d’hygiène?

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  • Les Hôpitaux en Algérie manquent d’hygiène?


  • #2
    je suis d'accod

    c'est une vrais catastrophe les gens on peur d'aller a l'hopital

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    • #3
      je ne vois pas ou la "propreté des hopitaux aurait une influence sur la transmission du virus

      ce sont ces meme personnes qui jettent les poubelle par les fenetres , qui mangent en famille et ne se gene pas pour jeter les bouteilles en plastique dans la nature et qui quand ils creent des associations de quartiers ce n'est que pour la parabolle..

      pourquoi ils s'etonnent quand ils trouvent certains hopitaux pas tres propres??s'il ne participe a la culture sociale de la propreté???
      et je jure que des efforts monstres sont deployé souvent par le personnel pour les maintenir propre..mais il y'a
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #4
        Tamerlan
        Les infections nosocomiales sont les infections qui sont contractées dans un établissement de soins. Une infection est considérée comme telle lorsqu'elle était absente au moment de l'admission du patient. Lorsque l'état infectieux du patient à l'admission est inconnu, l'infection est classiquement considérée comme nosocomiale si elle apparaît après un délai de 48 heures d'hospitalisation. Ce délai est cependant assez artificiel et ne doit pas être appliqué sans réflexion.

        Ces infections peuvent être directement liées aux soins (par exemple l'infection sur cathéter) ou simplement survenir lors de l'hospitalisation indépendamment de tout acte médical (par exemple une épidémie de grippe).

        Les origines des infections nosocomiales sont multiples et peuvent être liées -entre autres- à la contamination de l'environnement hospitalier (eau, air, matériel, alimentation...).

        Dans la prévention des infections nosocomiales, la sécurité de l'environnement hospitalier doit faire l'objet d'une vigilance renforcée .

        La vigilance accrue autour de l'application de gestes simples d'efficacité démontrée, comme le lavage des mains entre chaque soin et le port de gants pour réaliser un geste invasif sont des éléments fondamentaux de la sécurité des soins

        La démarche de prévention des infections nosocomiales doit s'inscrire dans une démarche globale de gestion des risques hospitaliers.
        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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        • #5
          je parlai de l'hepatite..
          mais c'est important ce que tu dis..
          je pense que c'est le journaliste qui n'a pas compris les propos du medecin...d'ou, le titre de l'article
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          • #6
            Les hopitaux sont dépendant du ministère de la santé , c'est donc à eux de mettre la préssion et de faire le nécessaire dans leur établissements publics . Des mesures drastiques et pourquoi pas répréssifs pour les contrevenant , ce serait une des solutions pour éduquer les gens dans leurs interêts et ceux des autres .

            Parcontre si je peut dire deux mots sur les cliniques , je trouve que ce n'est pas vraiment une solution pratique , car seul les nantis y ont accés . De plus, est-ce bien raisonnable de laisser partir des médecins vers le privé alors que les établissements public en manque cruellement .

            Le système médical algérien ne fait pas assez d'éfforts contairement à ce qu'il voudrait nous faire croire . Les moyens qu'il déploie sont souvent désuètes , les matériaux utilisé sont hors normes et les règlements contourner par, des amis du cousins du frère de ...." . Beaucoups d'hôpitaux sont mêmes dépourvu de médicaments . Certains docteurs sont souvent absents quant on à besoin d'eux , occuper peut-être à peloter une des personnels hospitalier , ou à négocier une intervention hors cadre réglementaire , ou tout simplement ne se sent pas obliger de marquer d'être là . (Vue)

            Dites moi donc ou vous voyait l'incivilité des concitoyens dans cette affaire ?. Nous parlons ici des moyens , hors il n'y en a pas assez .
            Dernière modification par sandaryo, 18 mars 2009, 15h06.

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            • #7
              G 1 ami, allah irahmou. Il a été hospotalisé à L'hopital Nedit de tizi ouzou. Il a piqué le virus hospitalier. Il est mort 02 mois après son hospitalisation.

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              • #8
                même pas de l'eau courante , pour faire un plâtre l'infirmier vient avec un bidon a demi rempli ,quand a l'eau chaude ............
                "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

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                • #9
                  "G 1 ami, allah irahmou. Il a été hospotalisé à L'hopital Nedit de tizi ouzou. Il a piqué le virus hospitalier. Il est mort 02 mois après son hospitalisation."
                  C'est typique ! L'apparition d'une infection (inexistante au moment de l'admission) dans les 2 mois qui suivent une hospitalisation doit interpeller les professionnels de l'établissement.
                  Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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                  • #10
                    les hôpitaux en Algérie...quoi de mieux pour en faire un livre!
                    ce samedi aux urgences il y avait un lit plein de sang dessus, plein de poils ( chevelus, ça revenait à la veille puisque il y avait des patients venus pour des sutures ) voilà...nos hôpitaux...nauséabonds!
                    Ce que j'étais hier, je le serai demain .

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                    • #11
                      il faut se mobiliser tous ensembles. quitte à faire intervenir des organismes tel que l'OMS.

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                      • #12
                        Mon temoignage.
                        Mon pere a passe 1 mois a l'hopital Mustapha bacha suit a un AVC. Je vous jure que les toilettes sont tout sinplement dégueulasses et de plus inaccessibles aux malades diminues physiquement a causes d'une marche d'escalier de plus de 40cm de hauteur. Les infirmiers fumeurs ne se genent aucunement pour fumer dans le couloir du service de reanimation. Ce meme couloir est rempli de dechets de toute sorte. Le professeur, chef de service est un députe du FLN a qui j'ai demande le pourquoi d'un tel desastre?
                        Savez-vous que fut sa reponse savez, je suis deputecerte, je ne suis le ministre responsable de la sante.
                        Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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                        • #13
                          "C'est typique ! L'apparition d'une infection (inexistante au moment de l'admission) dans les 2 mois qui suivent une hospitalisation doit interpeller les professionnels de l'établissement."

                          Là, vous parlez de conscience professionnelle. ça existe ça chez nous ? je ne crois pas tellement sinon notre pays sera beaucoup mieux que ce qu'il est actuellement.

                          Pour une prise en charge quelque peu convenable d'un patient, en Algérie, il faut:
                          - soit avoir un proche de la famille qui exerce dans les métiers de la medecine,
                          - soit ête un influent dans le système (cadre supérieur des institutions étatiques),
                          - soit payer un employé. D'ailleurs, à l'hopital, maintenant ils ne se gènent pas à déplacer les malades vers les cliniques privées où on vous demandera simplement de payer à la sortie du malade. Au fait, beaucoup de praticiens du secteur public exerçent concurremment dans les cliniques privées. Et cette dernière, il lui faut des clients qu'on détournera des hôpitaux publics.

                          C'est ça l'Algérie et on me demande d'aller voter!

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