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Lettre de M. Cotten, psychsociologue, à M. SARKOZY

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  • Lettre de M. Cotten, psychsociologue, à M. SARKOZY

    A DIFFUSER LARGEMENT
    2009 : la fin des mensonges d'État ? Meilleurs voeux, Monsieur le Président.
    Christian Cotten, le 15 janvier 2009

    Monsieur le Président, cher Nicolas,

    Permettez-moi de vous offrir tous mes voeux de réussite pour cette année Neuve.

    J'apprécie votre courage et votre volonté de rupture et ne saurais mieux faire que vous encourager dans la voie de la réforme que vous avez choisie avec détermination.
    Permettez-moi, en guise de soutien à votre tâche de leader charismatique et inspiré, de vous offrir quelques suggestions de fou du roi pour la meilleure conduite de vos actions en 2009. Je sais que vous les apprécierez à leur juste valeur.
    Noces Intérieures et conception
    d'un seul et unique État de Palestine

    Monsieur le Président, vous êtes à ce jour le seul dirigeant international capable d'apporter la paix au Proche-Orient.

    Une part de vous est juive. Votre parcours et votre autorité démontrent, par vos comportements, la puissance et la fougue d'un pur-sang arabe.

    Ainsi, au fond, vous êtes des nôtres, membres de cette association virtuelle que le psychosociologue Pierre Weil, fondateur de l'Université de la Paix à Brasilia, désignait ainsi en l'appelant encore de ses voeux à la veille de son récent décès : Association Catholique de Juifs Protestants pour le Mahométisme Bouddhiste...

    Vous êtes le seul homme politique contemporain capable de mener à bien ce magnifique projet, dont quantités d'acteurs, ici et ailleurs, Israéliens, Palestiniens, Américains, Européens... ont désormais bien compris qu'il était la seule et unique voie raisonnable et réaliste vers la paix : concevoir et construire un seul et unique État de Palestine, laïc, multiracial et pluri-spirituel, solidaire et accueillant tant les occupants historiquement légitimes que les Juifs nomades.

    Mais pour cela, il va vous falloir accomplir vos Noces Intérieures : réconcilier en vous le Juif et l'Arabo-Musulman. Vous en avez l'âge et la compétence. En aurez-vous le courage et la volonté ? Je vous le souhaite, avec l'aide de vos femmes.

    Pour cela, il va falloir sortir du mensonge : tandis que les Palestiniens meurent dans l'horreur et l'ignoble du sacrifice des femmes et des enfants, le gisement de gaz maritime de la zone côtière de Gaza attend d'être exploité, pour financer le futur de l'État de Palestine. Est-ce honnête, Monsieur le Président, de cacher cette réalité-là à vos concitoyens ?

    Ou encore, de cacher comment le Hamas a été si longtemps financé et encouragé par Isra-l pour contrer toute mise en place d'un processus de paix et permettre une politique de colonisation, d'apartheid, de mise en esclavage économique et, pour finir, d'enfermement concentrationnaire de ceux que l'intégrisme religieux le plus totalitaire de faux croyants considère comme des sous-hommes qu'il serait justifié d'éliminer ?

    Nous devons sortir de cette perversion radicale du monde occidental vis-à-vis de la Palestine : y importer les violences historiques de l'Europe, pour se faire pardonner et se débarrasser de nos Juifs au prix du massacre de ceux qui, dans les années trente, avaient fait de leur pays le premier exportateur mondial d'oranges.

    Quoi qu'il se passe demain sur le terrain, Isra-l a déjà perdu toutes ses guerres, passées, présentes et futures, contre le peuple palestinien, malgré les souffrances infligées à celui-ci, tant les guerres médiatiques que politiques et militaires.

    Tous les rabbins juifs orthodoxes que nous rencontrons, d'ici ou d'outre-atlantique, rappellent cette vérité : un État sioniste, raciste et colonisateur en Palestine est une hérésie et une impasse spirituelle absolue ; le peuple des Juifs a pour mission sur cette planète d'y apporter la paix, non les violences sans fin.

    Ou alors, il va falloir vraiment procéder à un génocide progressif mais définitif des Palestiniens, à l'uranium appauvri par exemple, comme les essais déjà en cours : il faudra assumer aussi de tuer en même temps à petit feu, grâce aux vents du désert, tous les Juifs que l'Occident s'ingénie à rassembler là, pour, au final, leur perte. Voudrez-vous sérieusement faire partie de ceux qui devront assumer un jour devant l'Histoire tant le génocide des Palestiniens que celui des Juifs d'Israël, encerclés qu'ils sont par le monde musulman ?

    Le monde occidental a réussi, il y a quelques années, à faire sortir l'Afrique du Sud de l'apartheid et des violences interraciales : le même travail vous attend, Monsieur le Président, du côté de la Palestine. Sauf à choisir la voie du pire, pour nous tous : l'importation du conflit judéo-palestinien ici même, en France et en Europe. Je suis persuadé que ce n'est pas ce que vous souhaitez.

    Mensonges, confiance et santé
    Nos concitoyens n'ont plus confiance dans les grands médias, pas plus qu'envers une grande partie du corps médical ou des laboratoires de l'industrie pharmaco-chimique, dont nous savons désormais qu'ils nous rendent tout autant malades qu'ils nous soignent.

    Monsieur le Président, souhaitez-vous vraiment que vos enfants et petits-enfants perdent leur fertilité grâce aux pesticides ou risquent leur vie en subissant dès leur naissance les vaccins-poisons que les connivences entre marchands privés et experts d'État tentent de nous imposer sur les budgets sans fond de la Sécurité Sociale ?

    Monsieur le Président, vous avez dès demain ce pouvoir : mettre fin à l'empoisonnement progressif de nos enfants par les vaccins et les pesticides agricoles, OGM ou non, ou par les psychotropes sans cesse renouvelés qui font de notre pays le champion mondial toutes catégories de drogues légales, poisons de nos si fragiles cerveaux.

    Je suis certain que votre Ministre de la Justice a parfaitement compris qu'il est plus sage de protéger sa fille des fanatiques de la vaccination : le raisonnement eugéniste officiel bénéfices/risques, qui fait tolérer la certitude absolue de nombres de morts et d'handicapés à vie, au nom de « la santé publique » (au nom de la pureté de la race ?) face à des risques futurs et hypothétiques, est un raisonnement proprement inacceptable : souhaiteriez-vous, Monsieur le Président, risquer la mort ou le handicap à vie d'une de vos futures petites-filles, en la soumettant à un vaccin-poison, pour un très éventuel risque qu'elle pourrait courir à 45 ans d'un cancer du col de l'utérus et ce, au motif que la vacciner et peut-être bien la tuer à l'âge de 10 ans, alors qu'elle est en pleine santé, serait le prix à payer pour la santé publique future ?

    Merci donc M. le Président, de soutenir ceux de vos concitoyens qui sauront endiguer cette folie-là : les emplois détruits chez les (al)chimistes noirs fabricants de poisons se retrouveront chez les producteurs de vie.
    Justice et intégrité

    Nous sommes quelques-uns à le savoir : vous conservez dans votre gouvernement certains acteurs, au motif essentiel qu'ils exercent sur vous ce chantage : soit je reste, soit je parle.

    Bien entendu, je ne parle ici ni de Mme Rachida Dati, ni de Mme Alliot-Marie, ni de M. Georges Fenech, dont certains pensent qu'ils disposent sur leurs bureaux de quelques poubelles de la République qui pourraient être désagréables si elles étaient déversées sur la place publique.

    Tout cela est-il bien honnête, de part et d'autre ? Comment les Français pourraient-ils retrouver la confiance perdue dans l'institution judiciaire et la classe politique en étant informés de ces réalités triviales ?

    Comment les Français peuvent-ils retrouver confiance tout en soupçonnant que votre projet de supprimer les juges d'instruction ne poursuit d'autre but que de protéger certains coquins de la politique des taquineries des juges ?

    Une urgence s'impose en 2009 dans le champ judiciaire : mettre en place la réforme constitutionnelle du CSM, récemment votée, qui autorise les justiciables à saisir les plus hautes autorités de l'État lorsqu'ils sont confrontés à la corruption judicaire endémique dans ce pays.

    Et aller au-delà encore : accepter que l'autorité judiciaire deviennent un pouvoir judiciaire. C'est à ce prix-là - la réelle indépendance du système judiciaire, en lieu et place d'une dépendance de soumission malsaine au politique - que vous pourrez vraiment imposer à l'institution judiciaire la mutation culturelle dont vous savez combien elle est désormais indispensable : la négation des victimes - au nom de la pertinence des poursuites au regard de l'intérêt de la société - aboutit à des catastrophes judiciaires et des violences institutionnelles en croissance, au profit des connivences et des intérêts cachés de certains justiciables privilégiés protégés par des réseaux obscurs, dont sont trop souvent victimes au premier chef les femmes, les enfants et les vieillards.

    Et pour finir : vous êtes sans doute, une fois encore, le seul dirigeant français capable de cette prouesse : vider les prisons de tous ceux, trop nombreux, qui n'ont rien à y faire. Oserez-vous, Monsieur le Président ? J'espère que vous en aurez l'intelligence intuitive, de celui qui sait « sentir » ce qu'il est nécessaire d'entreprendre pour réussir.

    Je vous souhaite, Monsieur le Président, une très belle année sur la planète Terre, de services rendus à l'humanité toute entière et de renoncement à vos dérives égotiques. Les femmes qui vous entourent et que vous aimez tant sauront vous y aider. Ne nous décevez pas, Monsieur le Président. Vous avez tout mon soutien dans la poursuite des objectifs proposés ici.

    Avec tout le respect dû à vos hautes fonctions.

    Christian Cotten,

    Psychosociologue

    Enquête : contributions de Smaïn Bedrouni, Frédéric Morin ( http://www.morpheus.fr ) et Liliane Portehaut.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill
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