Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Israël est un pays terroriste

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Israël est un pays terroriste

    La politique de la terreur que pratiquent les terroristes israéliens a déjà fait plus de 1100 morts et plus de 6000 blessés Palestiniens dont un taux élevé d'enfants et de femmes, et le bilan risque encore de s'alourdir. Des chiffres qui rappellent au monde entier, y compris parmi les amis du cancer israélien, qu'Israël est bel et bien un dangereux état terroriste.

    Pourquoi le chef de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas ne déclare pas officiellement et publiquement à l'ONU qu'Israël est un état terroriste qui doit être exclu de l'ONU et de toutes les autres instances internationales ?

    Au lieu d'être digne et de défendre tout son peuple, Mahmoud Abbas et certains de ses amis du Fatah espèrent secrètement que Tsahal "nettoyera" Gaza des militants du Hamas!!


    Le trio de vermines terroristes Olmert, Livni et Barak.

  • #2
    Le terrorisme n'existe pas ,c'est un mythe pour décrédibiliser son adversaire .

    Commentaire


    • #3
      Au lieu d'être digne et de défendre tout son peuple, Mahmoud Abbas et certains de ses amis du Fatah espèrent secrètement que Tsahal "nettoyera" Gaza des militants du Hamas!!
      Hamas sont des gamins non responsables qui ne savent rien de la vie politique

      Commentaire


      • #4
        pourquoi tu connais toi quelque que chose de la vie

        Commentaire


        • #5
          Zed,
          il y a plus de 60 ans que les palestiniens n'ont rien vu venir de concret. Il faut faire du sacrifice sinon tu descendra toujours ton pantalon :22:

          Commentaire


          • #6
            il y a plus de 60 ans que les palestiniens n'ont rien vu venir de concret. Il faut faire du sacrifice sinon tu descendra toujours ton pantalon
            Isreal est la premiere démocratie dans la region ( a l'interieur ) et l'etait la plus terrotiste ( a l'exterieur )

            les palestiens doivent s'unifie puis choisir le bon chemin

            Commentaire


            • #7
              Article de Bruno Guigue publié le mercredi 9 août 2006 sur Oumma .com mais hélas toujours d'actualité.
              Bruno Guigue a été limogé par le gouvernement français pour avoir critiqué la politique sioniste en Palestine occupée et la guerre contre le Liban.
              __________________________________________________ _______
              Stupéfiante indulgence pour un Etat voyou.


              Dans cette nouvelle guerre qui embrase le Proche-Orient, le plus effrayant n’est pas la violence déchaînée par l’Etat hébreu : c’est l’incroyable indulgence dont elle bénéficie. Qu’après plusieurs semaines de féroces bombardements perpétrés sur un petit pays aucune instance internationale n’ait appelé à un cessez-le-feu est consternant : ni le G8, ni l’ONU, ni l’Union européenne n’a été capable de cette décision de simple bon sens. Est-ce le signe que nous entrons dans une ère nouvelle ? Aucun conflit armé entre deux Etats ne s’était traduit, jusqu’à présent, par une impuissance aussi flagrante de la communauté internationale. Or cette impuissance est d’autant plus choquante qu’elle est volontaire : elle résulte, en fait, de la volonté d’un seul membre de cette communauté internationale, les Etats-Unis d’Amérique.

              Paralysée par le veto américain en faveur d’Israël, toute initiative internationale semble donc devoir passer sous les fourches caudines de l’hyperpuissance. En germe depuis la disparition de l’Union soviétique, cette profonde asymétrie de la scène mondiale éclate au grand jour. Elle libère, du coup, les énergies dévastatrices d’un Etat d’Israël dont les dirigeants ont abdiqué toute volonté de négociation. L’administration Bush a achevé le processus engagé avec la victoire de Ronald Reagan en 1980 : la montée en puissance d’un néo-impérialisme qui n’hésite pas à recourir « préventivement » à la force. Le gouvernement Olmert, de son côté, a achevé le processus entamé au lendemain de l’assassinat d’Itzhak Rabin en 1995 : la destruction systématique de toute opposition, armée ou non, aux ambitions d’Israël.

              La nouvelle guerre de l’Etat hébreu contre le Hezbollah reproduit cette profonde asymétrie de l’ordre international. C’est une guerre où le déséquilibre des forces est gigantesque. L’Etat d’Israël dispose d’une force militaire colossale, quasiment invaincue sur les théâtres d’opérations du Proche-Orient, et alimentée en permanence par les transferts technologiques en provenance de son puissant protecteur américain. Le Hezbollah, lui, est un parti politique minoritaire libanais qui dispose d’une milice dépourvue d’encadrement militaire et d’armement lourd.

              La dramaturgie orchestrée autour des roquettes lâchées sur Israël est un écran de fumée dont on voit bien qu’elle profite aux deux belligérants : elle permet au Hezbollah de défier Israël et à Israël de jouer la comédie de l’agresseur agressé. En réalité ce sont des pétards mouillés qui n’ont heureusement fait qu’une dizaine de victimes civiles en Israël, alors qu’un millier de Libanais ont déjà péri sous les bombes de « Tsahal ». Le parallèle médiatique entre bombardements israéliens et tirs de Katioucha, par lequel les médias dominants croient sans doute témoigner de leur objectivité, est grotesque. On a beau leur consacrer le même temps télévisuel, le déséquilibre des pertes civiles est énorme : à l’image de cette guerre profondément asymétrique entre le fort et le faible où le fort bénéficie, en outre, de l’appui massif de l’hyperpuissance mondiale.

              Tout se passe, en fait, comme si les dirigeants israéliens avaient oublié pour de bon toute dimension politique. Fascinés par leur propre puissance militaire (il est frappant de voir comme ils s’en gargarisent), ils oublient que leur courageuse aviation n’a tué jusqu’à présent que des civils (lors des combats terrestres, en revanche, le bilan des opérations est nettement moins glorieux). Pourtant, cette rage destructrice ne les empêche pas d’inviter les Libanais à se ranger à leurs côtés contre le Hezbollah. A croire que la vertu pédagogique des bombardements, même ponctuée de lâchers de tracts, a ses limites : un récent sondage indique que 86 % des Libanais soutiennent la résistance islamique. Il y a peu de chance, par conséquent, qu’Israël parvienne à rééditer son exploit de 1982, où il avait fait élire un président phalangiste après avoir assiégé et bombardé Beyrouth durant trois mois, tuant au passage 15 000 civils.

              L’avantage militaire (tout relatif) ne préjuge donc pas nécessairement de la victoire politique. Et le Hezbollah, sur ce plan, dispose d’atouts indéniables : sa solide implantation au sein de la communauté chiite libanaise, le soutien qu’il a obtenu de la part des autres forces politiques dans le pays, sans parler de ses relations privilégiées avec l’Iran et la Syrie, sur lesquelles de nombreux commentateurs semblent faire une véritable fixation obsessionnelle. Pour comprendre l’importance du Hezbollah, il suffit pourtant d’aller au Liban, au lieu d’imaginer de sombres complots syro-iraniens pour la domination du Moyen-Orient. La force du Hezbollah, c’est le soutien du peuple libanais. Et si tel n’est pas le cas, on se demande bien pourquoi Israël aujourd’hui s’acharne à détruire le Liban tout entier.

              Commentaire


              • #8
                suite

                De même qu’elle soude psychologiquement les Libanais autour du Hezbollah, la nouvelle invasion israélienne a paradoxalement pour effet d’en montrer l’utilité militaire. Si les infrastructures de la résistance islamique sont écrasées dans le sud du pays, qui s’opposera à la marche des blindés israéliens vers Beyrouth ? Le patriarche maronite et la famille Hariri ? Sûrement pas. Encore confuse il y a trois semaines, l’idée que le Hezbollah constitue un rempart contre Israël s’impose désormais avec l’évidence d’une force matérielle : si le Hezbollah cède, il n’y a plus de Liban, mais un nouveau bantoustan israélien.

                Il est clair que l’Etat hébreu est déterminé à éradiquer la résistance islamique, au Liban comme en Palestine. En témoigne la brutalité de l’agression contre le Liban, mais aussi la sauvagerie des attaques lancées simultanément contre Gaza. Dans les deux cas, c’est la même méthode : des bombardements répétés pour terroriser la population et la mettre à genoux. Puis l’assassinat des responsables politiques, pour décapiter la résistance, interdire toute issue négociée, fermer définitivement la porte à un règlement au fond. Politique évidemment à courte vue, suicidaire à long terme, mais qui a pour elle les vertus de l’efficacité tant qu’on est incontestablement le plus fort.

                Particulièrement éclairante, à cet égard, est la genèse de la crise actuelle. Qui peut croire un seul instant que l’offensive contre le Liban est la simple réplique à l’enlèvement de deux soldats par les miliciens du Hezbollah ? Comment se fait-il que la riposte ait été aussi brutale et aussi indiscriminée, frappant d’emblée la totalité du territoire libanais ? Pourquoi Israël refuse-t-il obstinément tout cessez-le-feu et tout échange de prisonniers ? Simple prétexte, le double enlèvement du 12 juillet fournit aux dirigeants israéliens, en effet, l’occasion rêvée d’une nouvelle guerre israélo-arabe dont le bénéfice pourrait être multiple.

                Le bénéfice immédiat en serait l’élimination du Hezbollah. Pas seulement parce que la Galilée est à portée de ses roquettes. Mais surtout parce que cette présence armée est un obstacle à la domination du Liban. Une fois neutralisée la résistance islamique, le Liban pourra retrouver son statut d’Etat-tampon, sans véritable souveraineté, ni cohésion nationale, ni force militaire. Israël ne saurait tolérer à sa frontière nord qu’un Etat fantoche : c’est la raison pour laquelle, depuis trente ans, il a systématiquement violé son espace aérien et ses eaux territoriales, expédié les tueurs du Mossad pour y perpétrer d’innombrables assassinats, détruit sa flotte aérienne civile, envahi son territoire en 1978 et même poussé son offensive militaire en 1982 jusqu’à Beyrouth.

                Envahi, occupé et bombardé sans relâche durant des décennies, le Liban n’a vu le départ des troupes israéliennes du sud du pays qu’en 2000. Cette victoire tardive, il la doit au Hezbollah, qui a harcelé l’occupant pendant vingt ans, tuant 900 de ses soldats et le contraignant à un retrait unilatéral. La violente attaque israélienne engagée le 12 juillet a donc toutes les caractéristiques d’un règlement de comptes. Mais il est possible que l’Etat hébreu veuille aller plus loin, et cette perspective est on ne peut plus inquiétante. Car les Israéliens ne sont pas seuls, et leur initiative s’inscrit probablement dans un plan d’ensemble. La caution américaine apportée à l’agression israélienne est si grossière, en effet, qu’on ne saurait écarter cette hypothèse.

                Que les dirigeants américains pérorent avec emphase sur la « démocratisation » du Moyen-Orient au moment où l’aviation israélienne procède à la destruction systématique du Liban est d’une confondante absurdité. Mais l’axe américano-israélien suit une logique de la force qui défie la force de la logique. Empêtrée dans l’infernal bourbier irakien, l’administration Bush est d’autant plus à la recherche d’une porte de sortie qu’elle doit aussi relever le défi du nucléaire iranien sans perdre la face. La tentation est grande, chez les faucons de Washington, d’effectuer une fracassante sortie « par le haut » en poussant à l’extension du conflit israélo-libanais pour justifier des frappes aériennes contre la République islamique. Les néo-conservateurs, dans la presse américaine, piaffent d’impatience et ne cessent d’argumenter en ce sens, estimant que l’occasion est trop belle pour régler son compte, simultanément, au Hezbollah et à ses bailleurs de fonds iraniens.

                La stupéfiante indulgence accordée à l’Etat hébreu nous aura alors bel et bien conduits à la catastrophe.

                Bruno Guigue
                Diplômé de l’Ecole normale supérieure et de l’ENA
                Auteur de "Proche-Orient : la guerre des mots", L’Harmattan, 2003

                Commentaire


                • #9
                  Zed,
                  la majorité des palestiniens sont derrière le Hamas et ils le seront encore plus après la fin des massacres

                  Commentaire


                  • #10
                    Pourquoi le chef de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas ne déclare pas officiellement et publiquement à l'ONU qu'Israël est un état terroriste qui doit être exclu de l'ONU et de toutes les autres instances internationales ?
                    Tu as déjà vu une marionnette prise au sérieux toi ?
                    Abbas serait certainement plus crédible en Chippendale qu'en président de l'Autorité palestinienne...
                    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

                    Commentaire


                    • #11
                      par Zed_H
                      Hamas sont des gamins non responsables qui ne savent rien de la vie politique
                      Le dernier gamin débile dans le monde ne dira pas çà , ton ignorance de faire dire tel propos ..de plus tu ignores que les membres de l OLP après Feu ARAFAT sont devenu des Grands Gamins corrompus par les sionistes , sont les résidus de la magouille sioniste du traité de paix « Camps David : comme son nom l indique : David » , ces mêmes Grands gamins voulaient destabiler le moyen orient et le monde arabe ..

                      Hamas le Hargaz a su comment les neutraliser en meme temps les intentions des sionistes ..

                      Pour ta gouverne , les membres du Hamas sont représentés par toutes les couches palestiniennes et d intellectuelles dirigeants , politiciens , médecins , ingénieurs , historiens ….tous ces bons gens sont déterminés à changer la politique extérieur de la terreur sioniste , pour ne pas dire uniquement pour les palestiniens , mais pour le monde arabe et même mondial …
                      Hamas arrivera , déjà , il a arrivé pour sauver la région du tentacule sioniste ( Qatar /Mauritanie ..on voit maintenant le changement de ton de l Egypte ..L Egypte était sur le point de perdre l estime du monde arabe et musulman et de perdre à jamais son histoire révolutionnaire …taxé de lèche botte sioniste .. )
                      Hamas très fort , il est arrivé à faire tomber le plan israélien , son masque , sa magouille et ses intentions cachées pour application dans le moyen orient et le monde arabe ….les terroristes sionistes sont piégés par leurs pièges …. Si l etat terroriste d israel ne cherche pas la PAIX ; dorénavant Le futur sera plus dur pour cet etat constitué de dirigeant sanguinaire ..
                      -Hamas Khallat ‘ha bache Tasfa !! il est arrivé ! mais quand même , il a payé le prix fort en martyrs , Allah Yarham Houm !
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #12
                        houari

                        les palestiniens ont payé très fort leur résistance contre les colonialistes sionistes comme l'Algérie et autres peuples ont sacrifié beaucoup de leurs enfants pour dire non à l'injustice

                        Commentaire


                        • #13
                          Lounes

                          la majorité des palestiniens sont derrière le Hamas et ils le seront encore plus après la fin des massacres


                          Le fatah et ABBAS attendent que les israeliens en finissent avec le hamass pour reprendre le controle de gaza,oui c est pervers ,mais c est la réalité.Le hamas ,c est fini,l occident ne traitera pas avec ce mouvement.

                          Commentaire


                          • #14
                            northcarolina
                            c est fini,l occident ne traitera pas avec ce mouvement.
                            donc , il n y aura de paix ..

                            l avenir le prédira , Israel par ses massacres a crée des milliers de résistant par les palestiniens et meme dans le monde arabe ...
                            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                            Commentaire


                            • #15
                              houri

                              Il ne faut pas etre pessimiste comme cela,aprés la guerre,tout le monde vas s impliquer pour règler cette histoire sans fin. Il y a des personnes de bonne volonté dans tout les camps.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X