Politique et football n’ont jamais fait bon ménage. Le 7 janvier dernier, Frédéric Kanouté, l’attaquant malien du FC Séville, a fêté son but inscrit face au Deportivo La Corogne (2-1), en huitième de finale aller de la Coupe du Roi, en soulevant ostensiblement son maillot sévillan. Sous celui-ci, un tee-shirt portant une simple inscription : “Palestine”, en plusieurs langues, pour soutenir la cause palestinienne alors que les combats font rage à Gaza. La fédération espagnole a décidé de sanctionner d’une amende de 3000 euros l’ancien Lyonnais, non pas pour la teneur du propos, mais pour le fait d’avoir enlevé son maillot et d’avoir exprimé un propos non lié au football.
“Je me devais de faire quelque chose. Je suis à 100% responsable de mes actes et je suis prêt à accepter des sanctions (…) Tout le monde doit se sentir concerné par ce qui se passe en Palestine, nous devons tous nous sentir concernés par une injustice que ce soit en Palestine ou ailleurs”.
Sur l’antenne de Telecinco, Frédéric Kanouté n’a exprimé aucun regret. Musulman pratiquant depuis sa conversion à l’âge de 20 ans, le buteur franco-malien a assumé son soutien au peuple palestinien lors de la rencontre FC Séville-La Corogne. Même si le message n’était nullement hostile envers Israël, il enfreignait pourtant l’article 5 du code disciplinaire de l’UEFA. Celui-ci stipule en effet qu’il est interdit d’”utiliser un événement sportif pour une manifestation étrangère au sport”.
Article paru sur France************ par Yannick VELY
“Je me devais de faire quelque chose. Je suis à 100% responsable de mes actes et je suis prêt à accepter des sanctions (…) Tout le monde doit se sentir concerné par ce qui se passe en Palestine, nous devons tous nous sentir concernés par une injustice que ce soit en Palestine ou ailleurs”.
Sur l’antenne de Telecinco, Frédéric Kanouté n’a exprimé aucun regret. Musulman pratiquant depuis sa conversion à l’âge de 20 ans, le buteur franco-malien a assumé son soutien au peuple palestinien lors de la rencontre FC Séville-La Corogne. Même si le message n’était nullement hostile envers Israël, il enfreignait pourtant l’article 5 du code disciplinaire de l’UEFA. Celui-ci stipule en effet qu’il est interdit d’”utiliser un événement sportif pour une manifestation étrangère au sport”.
Article paru sur France************ par Yannick VELY
Commentaire