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Faut-il attendre qu’il y ait mort d’homme pour agir ?
Les locataires du 9, avenue Mokrane-Chaâbi interpellent les autorités locales, mais également l’OPGI d’Hussein Dey dont relève leur immeuble. Ils passent leur plus mauvais et le plus inquiétant hiver de leur vie. Située dans la Haute-Casbah (le Cadix), la bâtisse n’a jamais fait l’objet des différentes opérations de réhabilitation engagées notamment après le séisme de 2003. Dans ce quartier “édenté”, le numéro 11 ne résistera pas longtemps aux intempéries. Un des locataires a dû ces derniers jours faire appel aux agents de la Sonelgaz pour couper le courant à cause des infiltrations d’eau. Les murs sont devenus de véritables passoires, ils sont lézardés et les planchers affaissés. Faut-il attendre qu’il y ait mort d’homme pour agir ?
- Liberté
Les locataires du 9, avenue Mokrane-Chaâbi interpellent les autorités locales, mais également l’OPGI d’Hussein Dey dont relève leur immeuble. Ils passent leur plus mauvais et le plus inquiétant hiver de leur vie. Située dans la Haute-Casbah (le Cadix), la bâtisse n’a jamais fait l’objet des différentes opérations de réhabilitation engagées notamment après le séisme de 2003. Dans ce quartier “édenté”, le numéro 11 ne résistera pas longtemps aux intempéries. Un des locataires a dû ces derniers jours faire appel aux agents de la Sonelgaz pour couper le courant à cause des infiltrations d’eau. Les murs sont devenus de véritables passoires, ils sont lézardés et les planchers affaissés. Faut-il attendre qu’il y ait mort d’homme pour agir ?
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