Avec une moyenne exceptionnelle de 15/20 au baccalauréat
Un bachelier refusé à l’université de Tizi Ouzou.
Avec une moyenne très appréciable de 14,91/20 au baccalauréat et des notes exceptionnelles de 20/20 en mathématiques, 19,5/20 en maths financières et 17/20 en comptabilité, un jeune étudiant de Tizi Ouzou s’est vu refuser une inscription en série sciences commerciales à l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Le jeune Ryad Hadjer, qui a subi une intervention chirurgicale du cœur à Paris, n’a pu suivre normalement ses cours à l’École supérieure de commerce d’Alger et, sur conseil médical, il a demandé un transfert à l’université de Tizi Ouzou pour résider auprès de sa famille qui doit veiller sur son suivi médical. Le jeune Ryad, qui fut d’ailleurs obligé de cesser une carrière footballistique exceptionnelle à la JS Kabylie (il était international cadet), a obtenu un avis favorable de la faculté d’économie de Tizi Ouzou, mais il a essuyé un refus catégorique de la part du rectorat de l’université Mouloud-Mammeri où les recours d’étudiants butent très souvent contre un implacable mur de silence et d’incompréhension.
- Liberté
Un bachelier refusé à l’université de Tizi Ouzou.
Avec une moyenne très appréciable de 14,91/20 au baccalauréat et des notes exceptionnelles de 20/20 en mathématiques, 19,5/20 en maths financières et 17/20 en comptabilité, un jeune étudiant de Tizi Ouzou s’est vu refuser une inscription en série sciences commerciales à l’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou. Le jeune Ryad Hadjer, qui a subi une intervention chirurgicale du cœur à Paris, n’a pu suivre normalement ses cours à l’École supérieure de commerce d’Alger et, sur conseil médical, il a demandé un transfert à l’université de Tizi Ouzou pour résider auprès de sa famille qui doit veiller sur son suivi médical. Le jeune Ryad, qui fut d’ailleurs obligé de cesser une carrière footballistique exceptionnelle à la JS Kabylie (il était international cadet), a obtenu un avis favorable de la faculté d’économie de Tizi Ouzou, mais il a essuyé un refus catégorique de la part du rectorat de l’université Mouloud-Mammeri où les recours d’étudiants butent très souvent contre un implacable mur de silence et d’incompréhension.
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