Le jeune Belarbi Saïd, âgé de 25 ans, ne savait pas que son voyage d’Oran vers Casablanca au Maroc allait être un enfer, et que les jours qu’il rêvait de passer en touriste dans ce pays voisin, en compagnie d’un cousin établi en France, allaient se passer dans les couloirs de l’aéroport Mohamed Cinq avant qu’il ne soit extradé vers l’Algérie.
Il a révélé à El Khabar qu’en date du 09 du mois de Janvier en cours, il a effectué un voyage d’Oran à destination de Casablanca, dans le cadre d’un programme touristique d’une durée de 15 jours. A son arrivée à l’aéroport Mohamed Cinq, il s’est dirigé vers la police marocaine des frontières. Au moment où il mit le passeport entre les mains du policier, ce dernier lui demande s’il avait en sa possession la somme de 1000 Euros, et il lui répondit que tout ce qu’il avait était les frais de voyage qu’il avait récupéré de la banque d’Algérie. Voulant savoir pourquoi lui a-t-on demandé cette somme, le policier lui répond que tout Algérien venu pour faire du tourisme doit avoir avec lui 1000 Euros. Devant cette situation, il a contacté par téléphone son cousin émigré qui l’attendait à la sortie l’aéroport et l’informa de ce qui lui est arrivé, ce qui a contraint ce dernier à tenter de contacter la police pour s’expliquer ou bien pour payer la somme afin de libérer son parent ce que la police a refusé, d’où sa détention dans une pièce située au bas de l’aéroport en compagnie d’un nombre d’Africains (hommes et femmes), qu’on dit spécialistes dans le trafic de passeport.
Durant sa détention, il donnait 40 Euros à un policier pour lui ramener un repas ordinaire, l’équivalent de 4000 dinars Algérien, comme il entendait des propos provocants de la part d’un des policiers qu’ils ne comprenaient pas forcément comme « Si on avait un tuyau sale, on l’aurait nettoyé et on vivrait mieux que vous ». Belarbi était resté en détention jusqu’au 12 janvier 2009, où il fût extradé vers Oran via un vol Air Algérie, sans mettre aucun cachet de la police Marocaine des frontières sur son passeport
El Khabar
Il a révélé à El Khabar qu’en date du 09 du mois de Janvier en cours, il a effectué un voyage d’Oran à destination de Casablanca, dans le cadre d’un programme touristique d’une durée de 15 jours. A son arrivée à l’aéroport Mohamed Cinq, il s’est dirigé vers la police marocaine des frontières. Au moment où il mit le passeport entre les mains du policier, ce dernier lui demande s’il avait en sa possession la somme de 1000 Euros, et il lui répondit que tout ce qu’il avait était les frais de voyage qu’il avait récupéré de la banque d’Algérie. Voulant savoir pourquoi lui a-t-on demandé cette somme, le policier lui répond que tout Algérien venu pour faire du tourisme doit avoir avec lui 1000 Euros. Devant cette situation, il a contacté par téléphone son cousin émigré qui l’attendait à la sortie l’aéroport et l’informa de ce qui lui est arrivé, ce qui a contraint ce dernier à tenter de contacter la police pour s’expliquer ou bien pour payer la somme afin de libérer son parent ce que la police a refusé, d’où sa détention dans une pièce située au bas de l’aéroport en compagnie d’un nombre d’Africains (hommes et femmes), qu’on dit spécialistes dans le trafic de passeport.
Durant sa détention, il donnait 40 Euros à un policier pour lui ramener un repas ordinaire, l’équivalent de 4000 dinars Algérien, comme il entendait des propos provocants de la part d’un des policiers qu’ils ne comprenaient pas forcément comme « Si on avait un tuyau sale, on l’aurait nettoyé et on vivrait mieux que vous ». Belarbi était resté en détention jusqu’au 12 janvier 2009, où il fût extradé vers Oran via un vol Air Algérie, sans mettre aucun cachet de la police Marocaine des frontières sur son passeport
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