Adaptation française: de Daniel Pipes
FrontPageMagazine.com
7 octobre 2005
Les médias indiens ont publié des révélations sur le comportement peu reluisant d'Arabes du Golfe dans la ville de Hyderabad, au sud-est de l'inde. «Jeunes mariés d'une nuit», par R. Akhileshwari dans le Deccan Herald, et «Une fille mineure, beaucoup d'Arabes» par Mohammed Wajihuddin dans le Times of India, en sont deux exemples notables. Wajihuddin commence par poser le décor:
Ce sont de vieux prédateurs animés d'une vigueur nouvelle. Souvent barbus, toujours en robes flottantes et turbans luxueux. Les riches Arabes d'âge mûr sont de plus en plus nombreux à rôder dans les quartiers défavorisés de Hyderabad, tels des monarques médiévaux flânant dans leur harem, ramenant dans ce siècle des temps que nous avions tort de croire engloutis par l'histoire. Ces Arabes gonflés au viagra commettent un crime manifeste sous le couvert du nikaah, la réglementation islamique du mariage.
Ensuite, il expose le nœud du problème:
Abusant des dispositions autorisant un Musulman à avoir quatre épouses en même temps, de nombreux Arabes âgés non seulement épousent des mineures à Hyderabad, mais en épousent parfois même plus d'une par session. «Les Arabes préfèrent les mariées adolescentes, et vierges», déclare Jameela Nishat, qui conseille et sensibilise les jeunes femmes sur ce thème déplaisant.
Généralement, les Arabes «épousent» les jeunes filles pour de courtes périodes, parfois juste pour la nuit. Wajihuddin précise que les formalités de mariage et de divorce sont souvent préparées en même temps, afin d'accélérer la procédure pour tous les participants. Akhileshwari observe que «leurs filles sont soumises à la concupiscence de vieux Arabes gâteux pour à peine 5000 roupies». Ce montant représente moins de cent euros.
Le 1er août, un cheikh des EAU âgé de 45 ans, Al Rahman Ismail Mirza Abdul Jabbar, prit contact avec un «négociant» spécialisé de 70 ans, Zainab Bi, dans la vieille ville, près du quartier historique de Charminar. Celui-ci lui procura Farheen Sultana et Hina Sultana, âgées de 13 à 15 ans, pour vingt mille roupies [370 euros]. Puis il loua les services du kadi [juge islamique] Mohammed Abdul Waheed Qureshi pour prononcer le mariage. Le kadi, invoquant une disposition du droit islamique, maria les filles à l'Arabe, qui quitta les lieux dès l'aube suivante, après sa nuit de noces.
Voilà pour le «mariage.
Lorsqu'une jeune fille est vendue ou que sa vie est ruinée, ce n'est pas un malheur national. C'est pourquoi le phénomène est ignoré tant par la communauté concernée que par la société en général
Seulement quelques organisations condamnent ouvertement ces simulacres de mariage
Quant aux autorités islamiques d'Inde, elles sont presque toutes silencieuses devant cette caricature de la charia.
FrontPageMagazine.com
7 octobre 2005
Les médias indiens ont publié des révélations sur le comportement peu reluisant d'Arabes du Golfe dans la ville de Hyderabad, au sud-est de l'inde. «Jeunes mariés d'une nuit», par R. Akhileshwari dans le Deccan Herald, et «Une fille mineure, beaucoup d'Arabes» par Mohammed Wajihuddin dans le Times of India, en sont deux exemples notables. Wajihuddin commence par poser le décor:
Ce sont de vieux prédateurs animés d'une vigueur nouvelle. Souvent barbus, toujours en robes flottantes et turbans luxueux. Les riches Arabes d'âge mûr sont de plus en plus nombreux à rôder dans les quartiers défavorisés de Hyderabad, tels des monarques médiévaux flânant dans leur harem, ramenant dans ce siècle des temps que nous avions tort de croire engloutis par l'histoire. Ces Arabes gonflés au viagra commettent un crime manifeste sous le couvert du nikaah, la réglementation islamique du mariage.
Ensuite, il expose le nœud du problème:
Abusant des dispositions autorisant un Musulman à avoir quatre épouses en même temps, de nombreux Arabes âgés non seulement épousent des mineures à Hyderabad, mais en épousent parfois même plus d'une par session. «Les Arabes préfèrent les mariées adolescentes, et vierges», déclare Jameela Nishat, qui conseille et sensibilise les jeunes femmes sur ce thème déplaisant.
Généralement, les Arabes «épousent» les jeunes filles pour de courtes périodes, parfois juste pour la nuit. Wajihuddin précise que les formalités de mariage et de divorce sont souvent préparées en même temps, afin d'accélérer la procédure pour tous les participants. Akhileshwari observe que «leurs filles sont soumises à la concupiscence de vieux Arabes gâteux pour à peine 5000 roupies». Ce montant représente moins de cent euros.
Le 1er août, un cheikh des EAU âgé de 45 ans, Al Rahman Ismail Mirza Abdul Jabbar, prit contact avec un «négociant» spécialisé de 70 ans, Zainab Bi, dans la vieille ville, près du quartier historique de Charminar. Celui-ci lui procura Farheen Sultana et Hina Sultana, âgées de 13 à 15 ans, pour vingt mille roupies [370 euros]. Puis il loua les services du kadi [juge islamique] Mohammed Abdul Waheed Qureshi pour prononcer le mariage. Le kadi, invoquant une disposition du droit islamique, maria les filles à l'Arabe, qui quitta les lieux dès l'aube suivante, après sa nuit de noces.
Voilà pour le «mariage.
Lorsqu'une jeune fille est vendue ou que sa vie est ruinée, ce n'est pas un malheur national. C'est pourquoi le phénomène est ignoré tant par la communauté concernée que par la société en général
Seulement quelques organisations condamnent ouvertement ces simulacres de mariage
Quant aux autorités islamiques d'Inde, elles sont presque toutes silencieuses devant cette caricature de la charia.
Commentaire