Mohamad Kamal EL REZ
Face à la propagande israélienne à laquelle nos médias se prêtent, j’ai décidé de remettre les choses dans leur contexte en rappelant quelques fait essentiels à la bonne compréhension de la situation actuelle et en analysant certains faits.
Bien entendu, les médias vont montrent des morts à la télé, vous voyez la catastrophe humanitaire... Mais d’autres choses très importantes ne sont pas dites, ou le sont mais trop rapidement... Alors qu’elles méritent de l’attention et du débat.
1.Le Hamas est un parti politique qui fût élu démocratiquement en janvier 2006 par les Palestiniens à 44% des votes contre 41% pour le Fatah (obtenant ainsi 76 sièges sur 132 au Parlement). Ce n’est donc pas une milice terroriste comme voudraient nous le faire croire les médias occidentaux afin de nous effrayer. C’est un parti qui jouit donc de toute la légitimité nécessaire pour diriger la bande de Gaza librement, sans devoir subir d’ingérence extérieures.
Voici la liste de répartition des sièges au Parlement palestinien après les élections de Janvier 2006 :
Hamas : 76 sièges
Fatah : 43 sièges
FPLP : 3 sièges
Al Badil : 2 sièges
3ième voie : 2 sièges
Palestine indépendante ; 2 sièges
Indépendants : 4 sièges
Dans les derniers jours, nous avons pu entendre M. Bush déclarer que le Hamas a pris le pouvoir par le biais d’un coup d’état et a ainsi pris en otage toute la population de la bande de Gaza. La liste ci-dessus détaillée prouve bien que ces élections furent démocratiques et que la population avait un large choix de candidats, comme nous pouvons l’avoir en France par exemple.
Le Professeur Gary Leupp de l’Université de Tufts fait un parallélisme très pertinent et qui pousse à la réflexion sur le rôle de la diplomatie US à travers le monde. Ce parallélisme est fait entre l’élection du Hamas et celle du Président Allende au Chili en 1970.
En effet, lorsque Salvador Allende fût élu, le secrétaire d’état américain de l’époque, Henry Kissinger, a déclaré « Le Chili ne devrait pas être autorisé à basculer dans le Marxisme car ces gens la ne sont pas responsables ». Et, en 1973 un coup d’état du Général Pinochet soutenu par l’administration Nixon eu lieu et plongea le pays dans une dictature meurtrière.
En 2006, au lieu de féliciter le peuple Gazaoui pour ses premières élections démocratiques et qui se sont déroulées dans d’excellente conditions, l’administration Bush provoque une guerre fratricide en Palestinien, Fatah / Hamas.
Il semblerait donc qu’aux yeux de l’axe américano sioniste, le peuple Gazaoui n’ai pas le droit de choisir son gouvernement.
Il semblerait également que les médias oublient de mentionner un fait important lorsqu’ils nous parlent du Hamas. Ils se focalisent sur les brigades d’Al Qassam ou encore les brigades Quds, qui sont les bras armés du mouvement islamique (et non pas islamiste).
Mais le Hamas a une importance remarquable dans la vie quotidienne des Gazaouis, en effet, il aide au quotidien la population par des programmes sociaux avancés ainsi que par un dévouement total et non intéressé de ses cadres, desquels nous n’avons jamais entendu parler dans des histoires de corruption.
Face à la propagande israélienne à laquelle nos médias se prêtent, j’ai décidé de remettre les choses dans leur contexte en rappelant quelques fait essentiels à la bonne compréhension de la situation actuelle et en analysant certains faits.
Bien entendu, les médias vont montrent des morts à la télé, vous voyez la catastrophe humanitaire... Mais d’autres choses très importantes ne sont pas dites, ou le sont mais trop rapidement... Alors qu’elles méritent de l’attention et du débat.
1.Le Hamas est un parti politique qui fût élu démocratiquement en janvier 2006 par les Palestiniens à 44% des votes contre 41% pour le Fatah (obtenant ainsi 76 sièges sur 132 au Parlement). Ce n’est donc pas une milice terroriste comme voudraient nous le faire croire les médias occidentaux afin de nous effrayer. C’est un parti qui jouit donc de toute la légitimité nécessaire pour diriger la bande de Gaza librement, sans devoir subir d’ingérence extérieures.
Voici la liste de répartition des sièges au Parlement palestinien après les élections de Janvier 2006 :
Hamas : 76 sièges
Fatah : 43 sièges
FPLP : 3 sièges
Al Badil : 2 sièges
3ième voie : 2 sièges
Palestine indépendante ; 2 sièges
Indépendants : 4 sièges
Dans les derniers jours, nous avons pu entendre M. Bush déclarer que le Hamas a pris le pouvoir par le biais d’un coup d’état et a ainsi pris en otage toute la population de la bande de Gaza. La liste ci-dessus détaillée prouve bien que ces élections furent démocratiques et que la population avait un large choix de candidats, comme nous pouvons l’avoir en France par exemple.
Le Professeur Gary Leupp de l’Université de Tufts fait un parallélisme très pertinent et qui pousse à la réflexion sur le rôle de la diplomatie US à travers le monde. Ce parallélisme est fait entre l’élection du Hamas et celle du Président Allende au Chili en 1970.
En effet, lorsque Salvador Allende fût élu, le secrétaire d’état américain de l’époque, Henry Kissinger, a déclaré « Le Chili ne devrait pas être autorisé à basculer dans le Marxisme car ces gens la ne sont pas responsables ». Et, en 1973 un coup d’état du Général Pinochet soutenu par l’administration Nixon eu lieu et plongea le pays dans une dictature meurtrière.
En 2006, au lieu de féliciter le peuple Gazaoui pour ses premières élections démocratiques et qui se sont déroulées dans d’excellente conditions, l’administration Bush provoque une guerre fratricide en Palestinien, Fatah / Hamas.
Il semblerait donc qu’aux yeux de l’axe américano sioniste, le peuple Gazaoui n’ai pas le droit de choisir son gouvernement.
Il semblerait également que les médias oublient de mentionner un fait important lorsqu’ils nous parlent du Hamas. Ils se focalisent sur les brigades d’Al Qassam ou encore les brigades Quds, qui sont les bras armés du mouvement islamique (et non pas islamiste).
Mais le Hamas a une importance remarquable dans la vie quotidienne des Gazaouis, en effet, il aide au quotidien la population par des programmes sociaux avancés ainsi que par un dévouement total et non intéressé de ses cadres, desquels nous n’avons jamais entendu parler dans des histoires de corruption.
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