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Outre la suppression d'emplois et la volatilisation des épargnes, la crise financière pourrait également faire s'effondrer votre libido. Mais ce n'est pas grave parce qu'étant pauvre vous n'êtes de toute façon pas un bon coup. Explications.
Décidément la crise n'en finit plus : En Angleterre le deuxième plan de relance de Gordon Brown doit aussi relever le cours de la libido de ses compatriotes qui serait au plus bas. 17 % des couples interrogés par un sondage du quotidien Metro estiment en effet probable leur séparation en 2009.
On pourrait penser que la crise consacre le couple comme valeur refuge pour pallier l'insécurité environnante et accessoirement éviter des problèmes de thunes supplémentaires - ceux qui ont essayé de louer un studio à Londres savent de quoi on parle. C'est tout le contraire qui se produit pourtant : les premières dépenses réduites sont celles liées aux loisirs : finis les restos en amoureux par exemple et, par conséquent, bonjour les engueulades : 11 % des couples se fritent plus depuis que l'immobilier américain s'est effondré.
Toujours aujourd'hui, des scientifiques - britanniques encore, décidément - nous apprennent que les femmes ont plus d'orgasmes avec les hommes en bonne santé financière : Plus l'homme est riche, plus la femme serait épanouie sexuellement. Selon ces chercheurs de l'université de Newcastle, les femmes considèreraient inconsciemment les hommes riches comme les nouveaux chasseurs, des hommes forts et vigoureux dont le patrimoine génétique est imaginé meilleur pour la reproduction. Fluctuat vous avait récemment cité une autre étude qui indiquait que les hommes dépensiers avaient plus d'aventures parce qu'ils prenaient plus de risques - un peu come un chasseur téméraire ramènerait plus de gibier probablement.
On attend toujours l'étude qui nous expliquera pourquoi les scientifiques mutliplient les recherches, et les medias les sondages, sur les liens entre fric et activité sexuelle.
Décidément la crise n'en finit plus : En Angleterre le deuxième plan de relance de Gordon Brown doit aussi relever le cours de la libido de ses compatriotes qui serait au plus bas. 17 % des couples interrogés par un sondage du quotidien Metro estiment en effet probable leur séparation en 2009.
On pourrait penser que la crise consacre le couple comme valeur refuge pour pallier l'insécurité environnante et accessoirement éviter des problèmes de thunes supplémentaires - ceux qui ont essayé de louer un studio à Londres savent de quoi on parle. C'est tout le contraire qui se produit pourtant : les premières dépenses réduites sont celles liées aux loisirs : finis les restos en amoureux par exemple et, par conséquent, bonjour les engueulades : 11 % des couples se fritent plus depuis que l'immobilier américain s'est effondré.
Toujours aujourd'hui, des scientifiques - britanniques encore, décidément - nous apprennent que les femmes ont plus d'orgasmes avec les hommes en bonne santé financière : Plus l'homme est riche, plus la femme serait épanouie sexuellement. Selon ces chercheurs de l'université de Newcastle, les femmes considèreraient inconsciemment les hommes riches comme les nouveaux chasseurs, des hommes forts et vigoureux dont le patrimoine génétique est imaginé meilleur pour la reproduction. Fluctuat vous avait récemment cité une autre étude qui indiquait que les hommes dépensiers avaient plus d'aventures parce qu'ils prenaient plus de risques - un peu come un chasseur téméraire ramènerait plus de gibier probablement.
On attend toujours l'étude qui nous expliquera pourquoi les scientifiques mutliplient les recherches, et les medias les sondages, sur les liens entre fric et activité sexuelle.
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