Les juges iraquiens qui vont juger, Saddam Hussein et sept membres de son gouvernement, le mercredi 19 octobre à Bagdad, ont reçu un entraînement spécial, par les Etats-Unis, les britanniques et les australiens. Ils ont meme fait une simulation du jugement à Londres.
Saddam, sera jugé sur des charges qui pourraient lui causer l'exécution, le tribunal ressemblera de pres à un tribunal americain car l'ancienne jurisprudence iraquienne était fondée sur des modèles français et égyptiens.
Il n'y aura aucun jury. Le juge en chef sera un collectif de trois juges en tout Ce collectif de juges questionnera les témoins, dont certains ont été entendu déjà avant meme le jugement et les trois juges décideront s'il y a culpabilité ou innocence de Saddam et des sept co-accusés.
Ils vont entendre Saddam et son équipe sur le meurtre qu'ils ont ordonnées en 1982 de 143 personnes à Dujail, la ville Shiite au nord de Bagdad, après une tentative d'attentat contre Saddam.
Saddam s'assoira probablement seul, dans un cage en verre protecteur. Il aura le droit d'appeler des témoins et, si condamné, déposer des appels avant n'importe quelle sentence.
Les juges seront autorisés à demander de l'aide des conseillers internationaux pendant les assises. On s'attend à ce que les correspondants des médias soient autorisés à être présent, mais n'ont pas annoncé si le jugement sera télévisé.
On s'attend à ce que le jugement soit le premier parmi une douzaine d'allégations impliquant de crimes commis par Saddam et son équipe durant leur reigne de 23 ans.
Chaque défendeur aura au moins un avocat. En août, Saddam a congédié son équipe d'avocats à part son principal Kahil Dulaimi. Plusieurs avocats iraquiens ont offert leurs services pour l'aider.
Dulaimi a adressé une pétition à la cour de justice pour retarder la session d'ouverture, en argumentant qu'il lui faut deux ans pour reconsidérer le cas on lui a donné seulement deux semaines.
Traduit de la source en langue anglaise de Aljazeera
Saddam, sera jugé sur des charges qui pourraient lui causer l'exécution, le tribunal ressemblera de pres à un tribunal americain car l'ancienne jurisprudence iraquienne était fondée sur des modèles français et égyptiens.
Il n'y aura aucun jury. Le juge en chef sera un collectif de trois juges en tout Ce collectif de juges questionnera les témoins, dont certains ont été entendu déjà avant meme le jugement et les trois juges décideront s'il y a culpabilité ou innocence de Saddam et des sept co-accusés.
Ils vont entendre Saddam et son équipe sur le meurtre qu'ils ont ordonnées en 1982 de 143 personnes à Dujail, la ville Shiite au nord de Bagdad, après une tentative d'attentat contre Saddam.
Saddam s'assoira probablement seul, dans un cage en verre protecteur. Il aura le droit d'appeler des témoins et, si condamné, déposer des appels avant n'importe quelle sentence.
Les juges seront autorisés à demander de l'aide des conseillers internationaux pendant les assises. On s'attend à ce que les correspondants des médias soient autorisés à être présent, mais n'ont pas annoncé si le jugement sera télévisé.
On s'attend à ce que le jugement soit le premier parmi une douzaine d'allégations impliquant de crimes commis par Saddam et son équipe durant leur reigne de 23 ans.
Chaque défendeur aura au moins un avocat. En août, Saddam a congédié son équipe d'avocats à part son principal Kahil Dulaimi. Plusieurs avocats iraquiens ont offert leurs services pour l'aider.
Dulaimi a adressé une pétition à la cour de justice pour retarder la session d'ouverture, en argumentant qu'il lui faut deux ans pour reconsidérer le cas on lui a donné seulement deux semaines.
Traduit de la source en langue anglaise de Aljazeera
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