dounithe alvire nessem
Ô Vie! puits de venin!
Tu es aussi amère que le laurier!
Ayant perdu ta saveur
Mon cœur t’a changé de nom.
Je suis né pour faire de toi mon jouet,
Me voila devenu l’objet de tes jeux.
De soupirer l’âme est fatiguée
Mais on rassure les gens par des : « ça va ».
Mon cœur trouve sa peine
Même en se divertissant avec des amis
Il sait déjà tout ce que je lui dirai
Il sait que la vie est une farce.
Nous objectons l’excuse de notre maladie
Alors qu’elle n’est pas récente.
Elle s’est accrochée à nous telle une treille
Et elle nous accompagne partout.
Nous ne devons rien mais nous payons
Ô vie! Telle est ta volonté.
Nous craignons la souffrance de l’au-delà
Nous craignons la souffrance de la vie
Nous avons peur d’aujourd’hui et de demain
Nous avons peur matin et soir.
Dans ton livre est écrit :
« Fais souffrir l’humain qui t’est né ».
Ô Vie! puits de venin!
Tu es aussi amère que le laurier!
Ayant perdu ta saveur
Mon cœur t’a changé de nom.
Je suis né pour faire de toi mon jouet,
Me voila devenu l’objet de tes jeux.
De soupirer l’âme est fatiguée
Mais on rassure les gens par des : « ça va ».
Mon cœur trouve sa peine
Même en se divertissant avec des amis
Il sait déjà tout ce que je lui dirai
Il sait que la vie est une farce.
Nous objectons l’excuse de notre maladie
Alors qu’elle n’est pas récente.
Elle s’est accrochée à nous telle une treille
Et elle nous accompagne partout.
Nous ne devons rien mais nous payons
Ô vie! Telle est ta volonté.
Nous craignons la souffrance de l’au-delà
Nous craignons la souffrance de la vie
Nous avons peur d’aujourd’hui et de demain
Nous avons peur matin et soir.
Dans ton livre est écrit :
« Fais souffrir l’humain qui t’est né ».