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ait menguellet -louiza

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  • ait menguellet -louiza




    J’ai regardé par la fenêtre
    Le ciel était encore à la nuit.
    Mon cœur est anxieux,
    Comment s’apaisera-t-il désormais ?
    La séparation est douloureuse
    Ma peine commence aujourd’hui.
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

    J’ai regardé dehors
    Le taxi m’attend.
    Je suis triste et elle le sait
    Elle me verra partir.
    Il commença à pleuvoir,
    Pour moi c’était une pluie de tristesse.
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

    Je me suis mis à marcher,
    La pluie mêlée à mes larmes.
    J’ai tant pleuré
    Et le temps pleurait avec moi.
    Je me souviendrai de ce jour-là
    Le ciel même était triste.
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

    J’ai fait mes adieux
    A la montagne qui me regardait.
    A mon dernier regard
    La maison ressemblait à une ombre.
    Ta photo dans ma poche
    Me tenait compagnie.
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

    Quand le matin vint
    L’obscurité se mit à m’immerger.
    J’étais vraiment triste
    Le sourire avait déserté mon visage.
    Mon cœur saignait
    En se rappelant tes paroles.
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

    Tu m’avais dit :
    « Passe, mes jours sont difficiles
    Souviens-toi de moi
    Bien que tu m’aies quittée
    Et réjouis-moi vite
    En m’annonçant ton retour ».
    Patiente, ô Louiza,
    Je pleure moi aussi.

  • #2
    O Louisa, je pleure moi aussi
    Supporte la peine du destin
    Elle finira par s’en aller un jour.

    Le jour de mon départ
    Les larmes ont aveuglé mes yeux.
    Comme si j’étais devenu fou
    Je déambulais inconscient.
    A présent j’espère
    Que nous aurons des jours meilleurs.

    O Louisa, je pleure moi aussi
    Supporte la peine du destin
    Elle finira par s’en aller un jour.

    J’ai tant pleuré
    Mais mes pleurs étaient vains.
    J’ai tant parlé
    Je demandais de tes nouvelles sans cesse.
    Je suis dans l’expectative
    Je ne sais quand reverrai-je ma lumière.

    O Louisa, je pleure moi aussi
    Supporte la peine du destin
    Elle finira par s’en aller un jour.

    Je compte les jours
    Une seconde semble égaler une année.
    Je suis repu de sourdes colères
    Bien que mon cœur ait dompté ses malheurs.
    Comme j’aimerais te revoir
    Au moins un seul jour !

    O Louisa, je pleure moi aussi
    Supporte la peine du destin
    Elle finira par s’en aller un jour.

    Tu m’avais dit :
    « Passe, mes jours sont difficiles
    Souviens-toi de moi
    Bien que tu m’aies quittée
    Et réjouis-moi vite
    En m’annonçant ton retour ».

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