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Beaucoup d’Algériens regrettent les «années d’or»

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  • Beaucoup d’Algériens regrettent les «années d’or»

    Bonjour

    La photo de mon avatar a été prise en 1975.
    J'avais 17 ans !


    Période n Ils ont pour la plupart la cinquantaine et sont nostalgiques de leur jeunesse. Une jeunesse dont ils gardent, bien évidemment, de très bons souvenirs.
    «A l’époque, comme ils aiment à le répéter, c’était la belle vie, tout marchait comme sur des roulettes.» «A l’époque», c’était dans les années 1970, «les années d’or de l’Algérie». Pour eux, les temps ont changé dans le mauvais sens pour le pays. C’est qu’à cette période et en dépit d’un manque certain de moyens, il y avait peu de problèmes.
    Mieux encore, «nous étions vraiment heureux», soulignent-ils comme pour dire que les moyens, tout comme l’argent, ne font pas forcément le bonheur. Il n’y avait ni téléphone mobile, ni parabole, ni Internet, ni lecteur DVD, ni jeux électroniques.
    N’empêche, «nous vivions pleinement notre jeunesse et croquions la vie à pleines dents», relèvent-ils. De l’avis de ces nostalgiques des années 1970, rares étaient les jeunes qui pensaient à quitter le pays. Et dire qu’il était très facile de partir en France, en Italie, en Espagne, aux Etats-Unis d’Amérique ou ailleurs et de s’y installer même sans être contraint de contracter un mariage à blanc ou de recourir aux services d’un faussaire pour avoir une vraie fausse carte de résidence. Bref, l’étranger était peu attractif pour bien des raisons, dont la principale a trait au fait que les Algériens se sentaient bien, voire très bien chez eux. C’est du moins ce qu’affirment ceux qui ont vécu cette période. Selon eux, la situation sécuritaire était tout simplement impeccable. Le terrorisme, le banditisme et autre gangstérisme relevaient encore de la fiction. «Vous pouviez dormir tranquillement dehors, à la belle étoile, avec la certitude que personne ne vous touchera. Alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes pas en sécurité mêmedans votre propre maison», disent-ils encore. Il faut dire que l’Algérien «était bien éduqué», font-ils remarquer tout en évoquant une décadence de la société : «On a perdu toutes les valeurs qui faisaient de nous un peuple respecté et respectable.»
    Sur un autre plan, la vie culturelle était tellement animée, particulièrement au niveau des grandes villes, que les jeunes n’avaient pas le temps de s’ennuyer et de penser, par conséquent, à prendre un joint comme c’est souvent le cas aujourd’hui. Théâtre, cinéma, musique, il y avait toujours un spectacle à voir. «Bref, nous, on ne tuait pas le temps, on prenait plutôt du plaisir», résument nos interlocuteurs.
    InfoSoir

  • #2
    «A l’époque, comme ils aiment à le répéter, c’était la belle vie, tout marchait comme sur des roulettes.» «A l’époque», c’était dans les années 1970, «les années d’or de l’Algérie»
    Je n'ai pas connu cette époque, mais je ne vois pas pourquoi avoir la nostalgie d'une dictature redoutable et sans précédent dans l'histoire de l'algerie, je ne souhaiterai pas revenir à ces temps là

    amen

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    • #3
      C'est cette même génération qui raté le virage du changement !
      ?

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      • #4
        Typique

        Ça reviendra encore et toujours, et je dirais probablement la même chose aux mômes lorsque j'aurais 60 ans d'age, si jamais je survit bien entendu !

        Ces histoires "d'age d'Or" me font sourire. Dans la littérature romaine classique, le thème est tellement présent que ça devient un trait de caractère que cette tendance a regretter les temps anciens. Ainsi, sous l'Empire tout le monde se lamentait sur les vieux temps d ela Republique, y compris l'emepreur lui-meme ...

        Pourtant, de la chute de la Royaute a l'avenement de sa Republique, la guerre civile n'a pas pu se etaire plus d'une vingtaine d'annees ... :22:
        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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        • #5
          Ne sortez surtout pas les mouchoirs

          Je regrette le jour de ma naissance, c'était dans les années 70's !
          Il ne faisait pas très beau, ma mère la pauvre en avait plus que marre de moi, 10 mois de grossesse :22: Puis il avait un décès au village


          Plus sérieusement !

          C'est quoi ces jérémiades ? C'est quoi ces séances de pleures ?
          Quelles années d'Or ?

          Les résultats des années 60's et 70's nous les avons bien ressenti dans notre chaire !!


          C'est de l'égoïsme aussi simple que ça !!



          .../...
          “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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          • #6
            Et dire qu’il était très facile de partir en France, en Italie, en Espagne, aux Etats-Unis d’Amérique ou ailleurs et de s’y installer même sans être contraint de contracter un mariage à blanc
            Memoire sélective voire défaillante!!!
            Ils ont oublié de parler:
            1.Pénuries de toutes sortes! (dont bousculades pour monter dans un bus!!!)
            2.Maladies et autres épidémies
            3.La sécurité militaire omniprésente.
            4.L'autorisation de sortie!
            5.Le parti unique.
            Liste ouverte...

            Les années d'or! Tu parles Charle!
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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            • #7
              @ hben
              CHARLES se MAGNE... dépéche toi ...

              petite intrusion , juste pour dire que c'est le propre de tout le monde;
              dès que les gens attrapent une petite quarantaine , ça y est ! c'est les pleurs sur le passé révolu...
              bien sûr idéalisé...

              mais c'est sur la jeunesse perdue que les regrets existent... en réalité...
              plus JAMAIIIIIIIIIIIIIIIIISSSSSS la jeunesse reviendra...

              hé oui ! faut s'y faire ...

              et comme le dit Harrachi , du temps de Pline le vieux le romain de la Rome antique , les textes parlaient déjà du " c'était mieux avant " ...

              j'ai entendu ça quand j'étais petite et je l'entends encore des gens de ma génération....
              mazette ! rien ne change sous le soleil...

              allez braves gens .... c'est pas grave ...

              ça sera mieux après va !
              Dernière modification par absente, 25 janvier 2009, 15h15.

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              • #8
                S'agissant de l'Algérie des années 70, je ne la regretterais jamais...
                On non, certainement pas...
                C'était un vrai calvaire, un étouffoir, une misérable misère sur tous les plans. faut dire que je n'étais ni fils de riche, ni fils d'aparatchik...

                On vit fichtrement mieux actuellement en Algérie...

                Ajout:
                Mais dans ces années là, on ne se prenait pas trop la tête avec la religion. Nous étions musulmans mais pas islamistes; de toutes les façons, nous étions obligés d'être Boumédienistes.
                Dernière modification par Bachi, 25 janvier 2009, 15h37.

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                • #9
                  On vit fichtrement mieux actuellement en Algérie...
                  C'est pire qu'avant.......

                  Commentaire


                  • #10
                    salut la jeunesse!
                    Ce n'était ni mieux ni pire. Y a un mois j'étais avec mon fils de 26 ans et j'ai fait de mon mieux pour lui répondre sans "nostalgie" .
                    Il y du vrai dans les paroles de Mo et, en effet chacun compose avec sa génération et ses propres outils. Ce qui est certain, les algériens étaient mieux éduqués et vivent dans la paix et aimaient leur pays. Quoi de plus normal de vouloir plus! Si je commançais à vous parler du Moughar, des festivals, des réunions avec tel ou tel révolutionnaire, de la fierté d'être algérien à l'étranger, je finirais par vous énerver. Ceci ne nous a pas empêcher de partir et de ne plus revenir. Si les algériens avaient la possibilité de choisir - sans visa et sans problèmes- de partir ou de ne pas partir, il n'y aurait pas tous ces haragas, ni cette soif de quitter le pays.
                    C'est un autre monde et c'est à votre tour d'en faire ce que bon vous semble.
                    Mon credo est la tolérance et la liberté de chaque individu de vivre sa vie comme ça lui chante et où il veut. La liberté de circuler est un droit universel et c'est le premier combat à mener mais pas avant d'instaurer la démocratie, à défaut d'appartenir à une puissance que l'on respecte.

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                    • #11
                      Beaucoup d’Algériens regrettent les «années d’or»

                      je pesne que c'est vrai l'algerie des années 70 etait dans ca lancé vers le haut mais helas les derigents ont u peur du progres et devlepement, moi qui na jamais vecu en algerie je remarque que dans les années 70 l'algerie a connu une revolution dans plusieurs domaine, cinema beaucop de film" quantité et qualité palm d'or a canne premiere pour un film arabe ou africain, ne pas oublier le celebre hadj abderrahman" inspecteur tahar"
                      sport la monté de l'equipe d'algerie et le club d'alger mca arrache la coupe d'afrique.
                      musique l'evolutions de la musique algerienne et la modernisation notament le debut des grand chanteur et musicien, "idir, djamel allam, khaled,,
                      diplomatie, economie,l'algerie etait tres tres connu et respecté,
                      soulignant la mediation entre iran et irak ,,,,
                      puisque je suis marocain, je trouve ya u des betise qui ont vu le jour a cette epoque, la deportations des marocain residant en algerie, et la creation du RASD.

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                      • #12
                        De l’avis de ces nostalgiques des années 1970, rares étaient les jeunes qui pensaient à quitter le pays
                        Ils ne pouvaient le faire...
                        A l’époque, si je me souviens bien, la logique était inversée.
                        L’Europe n’exigeait pas de visa pour les ressortissants algériens, par contre il fallait une…
                        Autorisation de sortie pour quitter le territoire national, (signée par le préfet).Donc seuls les pistonnés avaient accès à ce fameux sésame.
                        Par contre, je revois ma mère faire la queue toute une matinée pour un minable bidon d'huile.
                        Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                        • #13
                          Moha

                          Merci Mohoo, enfin quelqu'un qui revient sur la vérité, cette époque a parait il était la plus belle de l'algérie, et les preuves en sont là, la grande majorité des choses positives construites par notre peuple ont été faites à ce moment, l'algérie rayonnait à l'échelle mondiale.
                          Malheureusement, elles ont été suivis par les "années noires" de l'algérie.

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                          • #14
                            je me rappel une chose du debut des années 80, ma cité etait propre, ceux qui jetait des ordures n'importe ou etaient penalise, il y avait un gardien pour gerer la cité, le cinema a coté etait ouvert, et on pouvait voir bcps de films,on pouvait sortir joué sans avoir peur, les vieux se retrouvaient tous a jouer aux dominos jusqu'a tard,y avait de bon bouquins a la biblioteque ET MAINTENANT:

                            les egouts deborde en plein dans la cité, y a des ordures partout, les arbres ont tous ete detruit, y a plein de vol, y a plus de cinema, les vieux ne se retrouvent presque plus....dans les librairies on ne retrouve pratiquement que des bouquins sur le coran et l'islam,

                            Bref pour quelqu'un qui etait jeune ces années étaient meilleur
                            l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                            • #15
                              ernestito

                              les egouts deborde en plein dans la cité, y a des ordures partout, les arbres ont tous ete detruit, y a plein de vol, y a plus de cinema, les vieux ne se retrouvent presque plus....dans les librairies on ne retrouve pratiquement que des bouquins sur le coran et l'islam,
                              et pourquoi sa à changer autant?! en principe se sont des choses qui ne changent jamais et la situation politique du pays doit y être étrangère à cela,ne serait ce qu'un minimum...

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