Vous m’interrogez ?
Vous m’interrogez ?
Qui est le criminel ?... Alors que la victime est là, devant vous
Le cadavre est là, en mille morceaux, éparpillés sur les décombres
Et le crime vous chante… le cri du vengeur
Vous m’interrogez ?
Sur mes tendances et pour qui je vote ?...
Les fractions sont très nombreuses
Dans ma maison,
Mais moi, si vous insistez…
Mon régiment politique est, l’humanité
Dans tout verbe qui exprime le supplice
Dans tout lexique qui condamne l’indifférence,
Moi, ma culture Messieurs,
C’est voyager à travers les drapeaux
Marcheur nuit et jour, je chante mon peuple et mon identité
Je chante ma liberté…
Je suis le visiteur de l’éternité
Vous m’interrogez, sur les murs qui m’étranglent ?
M’exilent dans ma propre patrie… Moi je vous dis, en vérité…
Ce ne sont que des barricades avilissantes
Car le monde est dans mon cœur, je suis au cœur du monde
Peut-être le cœur du monde
Dans toute sa sainteté…
Vous m’interrogez sur des nouvelles ?
Rien de nouveau dans les nouvelles…
L’olivier que mes pères ont planté, je le porte toujours, je le supporte
Et sur cette terre de toute miséricorde, il tient ses racines à la porte
L’olivier et à feu et à sang… Mais jamais ne sera calciné dans ces racines
Car elles sont plus profondes que les mines…
Qui veulent l’arracher de ce morceau de terre
Il vous échappe… il vous déroute
Comme une odeur,
Plus froide que le froid, plus rouge que le sang aux couleurs de la terre
Plus haut que le bruit des bombardes, plus chaud que les tendres larmes
Plus fort que mes nerfs, plus claire que les eaux des montagnes
Il est de la terre, de la pierre, de la misère des pères
Aux espoirs des enfants…
Et vous m’interrogez sur l’espoir… !
Vous êtes naïvement fous, Messieurs !
Vous m’interrogez ?
Qui est le criminel ?... Alors que la victime est là, devant vous
Le cadavre est là, en mille morceaux, éparpillés sur les décombres
Et le crime vous chante… le cri du vengeur
Vous m’interrogez ?
Sur mes tendances et pour qui je vote ?...
Les fractions sont très nombreuses
Dans ma maison,
Mais moi, si vous insistez…
Mon régiment politique est, l’humanité
Dans tout verbe qui exprime le supplice
Dans tout lexique qui condamne l’indifférence,
Moi, ma culture Messieurs,
C’est voyager à travers les drapeaux
Marcheur nuit et jour, je chante mon peuple et mon identité
Je chante ma liberté…
Je suis le visiteur de l’éternité
Vous m’interrogez, sur les murs qui m’étranglent ?
M’exilent dans ma propre patrie… Moi je vous dis, en vérité…
Ce ne sont que des barricades avilissantes
Car le monde est dans mon cœur, je suis au cœur du monde
Peut-être le cœur du monde
Dans toute sa sainteté…
Vous m’interrogez sur des nouvelles ?
Rien de nouveau dans les nouvelles…
L’olivier que mes pères ont planté, je le porte toujours, je le supporte
Et sur cette terre de toute miséricorde, il tient ses racines à la porte
L’olivier et à feu et à sang… Mais jamais ne sera calciné dans ces racines
Car elles sont plus profondes que les mines…
Qui veulent l’arracher de ce morceau de terre
Il vous échappe… il vous déroute
Comme une odeur,
Plus froide que le froid, plus rouge que le sang aux couleurs de la terre
Plus haut que le bruit des bombardes, plus chaud que les tendres larmes
Plus fort que mes nerfs, plus claire que les eaux des montagnes
Il est de la terre, de la pierre, de la misère des pères
Aux espoirs des enfants…
Et vous m’interrogez sur l’espoir… !
Vous êtes naïvement fous, Messieurs !
Postr@
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