Tweet
Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI, ex-GSPC), dans un communiqué daté du 20 janvier dont TSA détient une copie rédigée en langue arabe, dément les informations selon lesquelles la maladie de la « peste noire » a tué une quarantaine de ses éléments récemment dans la région de Tizi-Ouzou et menacerait les autres maquis du GSPC à travers le pays.
L'information, publiée dans un premier temps par des journaux arabophones algériens, a été rapportée la semaine dernière par le quotidien britannique The Sun qui citait des sources sécuritaires non identifiées. Un autre journal, The Washington Times, citant un expert de la CIA, avait même avancé une autre thèse : celle d'une tentative par le GSCP de développer des armes chimiques. Une expérience qui aurait mal tourné et provoqué la mort d'une quarantaine de terroristes dans les maquis de Yakouren, près de Tizi-Ouzou. Des chaînes satellitaires arabes et de nombreux autres médias occidentaux ont relayé l'information.
Selon AQMI, ces informations auraient pour objectif de « dissuader les jeunes » de rejoindre les maquis. Le groupe terroriste accuse les services de renseignements algériens d'être à l'origine de la diffusion de ces informations qualifiées de « mensongères ».
Source TSA
L'information, publiée dans un premier temps par des journaux arabophones algériens, a été rapportée la semaine dernière par le quotidien britannique The Sun qui citait des sources sécuritaires non identifiées. Un autre journal, The Washington Times, citant un expert de la CIA, avait même avancé une autre thèse : celle d'une tentative par le GSCP de développer des armes chimiques. Une expérience qui aurait mal tourné et provoqué la mort d'une quarantaine de terroristes dans les maquis de Yakouren, près de Tizi-Ouzou. Des chaînes satellitaires arabes et de nombreux autres médias occidentaux ont relayé l'information.
Selon AQMI, ces informations auraient pour objectif de « dissuader les jeunes » de rejoindre les maquis. Le groupe terroriste accuse les services de renseignements algériens d'être à l'origine de la diffusion de ces informations qualifiées de « mensongères ».
Source TSA
Commentaire