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Les cours du baril sont stables ce mercredi malgré le niveau plus élevé que prévu des réserves américaines en pétrole brut. Mais les prix sont soutenus par la hausse des Bourses mondiales et par l'application plus rigoureuse des quotas de production par les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Lire la suite l'article
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" américain gagnait 4 cents vers 18h, à 41,62 dollars. Sur l'Intercontinental Exchange, le Brent de la mer du nord prenait 67 cents, à 44,40 dollars le baril.
Pourtant, l'état des stocks américains en produits pétroliers est largement supérieur aux attentes des analystes. Les réserves de pétrole brut ont ainsi bondi de 6,2 millions de barils la semaine dernière, à 338,9 millions. Les marchés ne tablaient que sur une hausse de 2,9 millions de barils.
En revanche, les stocks d'essence ont reculé de 100.000 barils, contre une progression de 1,5 million de barils attendue par les analystes. Les stocks en produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont pour leur part reculé d'un million de barils alors que le consensus escomptait un repli de 700.000 barils. Ces stocks sont de plus en plus suivis à l'approche de l'hiver, qui se traduit par une augmentation de la demande en fioul de chauffage aux Etats-Unis.
source : La Tribune
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" américain gagnait 4 cents vers 18h, à 41,62 dollars. Sur l'Intercontinental Exchange, le Brent de la mer du nord prenait 67 cents, à 44,40 dollars le baril.
Pourtant, l'état des stocks américains en produits pétroliers est largement supérieur aux attentes des analystes. Les réserves de pétrole brut ont ainsi bondi de 6,2 millions de barils la semaine dernière, à 338,9 millions. Les marchés ne tablaient que sur une hausse de 2,9 millions de barils.
En revanche, les stocks d'essence ont reculé de 100.000 barils, contre une progression de 1,5 million de barils attendue par les analystes. Les stocks en produits distillés (gazole et fioul de chauffage) ont pour leur part reculé d'un million de barils alors que le consensus escomptait un repli de 700.000 barils. Ces stocks sont de plus en plus suivis à l'approche de l'hiver, qui se traduit par une augmentation de la demande en fioul de chauffage aux Etats-Unis.
source : La Tribune