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Après les "Razzias" qui prônaient, l'an dernier, le rapprochement culturel entre la société d'accueil, le Québec, et ses citoyens originaires des pays du Moyen-Orient et du Maghreb, le FMA veut cette année "ouvrir une première porte à la découverte d'un monde de fantasmes et d'imaginaires, le harem et ses interdits".
Autour de ce thème du harem, le FMA invitera son public à "franchir les frontières de l'interdit" dès la soirée inaugurale avec une création qui revisite le baladi sous l'intitulé "Harem, lever les voiles". Son auteur, le chorégraphe canadien Benjamin Hetcher, est d'avis que "cette danse doit évoluer dans le milieu artistique et non seulement dans les restaurants ou les cabarets.
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Autour de ce thème du harem, le FMA invitera son public à "franchir les frontières de l'interdit" dès la soirée inaugurale avec une création qui revisite le baladi sous l'intitulé "Harem, lever les voiles". Son auteur, le chorégraphe canadien Benjamin Hetcher, est d'avis que "cette danse doit évoluer dans le milieu artistique et non seulement dans les restaurants ou les cabarets.
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