Le célèbre financier George Soros ne croit pas que la création d’une bad bank (fonds dans lequel seraient logés les actifs toxiques des banques), envisagée par le gouvernement américain, réussirait à relancer le marché du crédit.
Pour le multi-milliardaire, interviewé par Bloomberg lors du forum de Davos, la mise en place d’une telle institution aboutirait simplement à nationaliser la dette, tandis que le capital resterait aux mains des investisseurs privés. Il reste convaincu que le meilleur moyen de relancer le marché du crédit est que l’Etat continue ses injections de capital auprès des banques, tout en réduisant les exigences en fonds propres de ces dernières.
Le fond d'investissement spéculatif de George Soros aurait dégagé un bénéfice en hausse de 8% en 2008, alors que la performance moyenne des hedge fund a été de -18%, selon des données Hedge Fund Research Inc. of Chicago.
Par Capital
Pour le multi-milliardaire, interviewé par Bloomberg lors du forum de Davos, la mise en place d’une telle institution aboutirait simplement à nationaliser la dette, tandis que le capital resterait aux mains des investisseurs privés. Il reste convaincu que le meilleur moyen de relancer le marché du crédit est que l’Etat continue ses injections de capital auprès des banques, tout en réduisant les exigences en fonds propres de ces dernières.
Le fond d'investissement spéculatif de George Soros aurait dégagé un bénéfice en hausse de 8% en 2008, alors que la performance moyenne des hedge fund a été de -18%, selon des données Hedge Fund Research Inc. of Chicago.
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