Sollicité pour commenter la défection de leaders de partis politiques et de personnalités nationales pour la prochaine élection présidentielle, Ahmed Ouyahia a tenté de soustraire le pouvoir de toute responsabilité en cela. «Est-ce que quelqu’un leur a interdit de venir ? Celui qui a un problème avec lui-même n’a pas à se défausser sur les autres et à prétexter d’autres justifications. »
Auparavant, lorsqu’il prononçait son laïus devant les parlementaires de l’Alliance, il a vilipendé ceux qui se sont abstenus de s’inscrire en compétition électorale. «Il faut un engagement contre la cécité politique, comme celle que nous constatons en cette veille d’élection présidentielle. L’Algérie, ce ne sont pas les salons politiques et ce n’est pas un marché pour l’argent sale», a-t-il dit, sans se départir de l’allusion, ajoutant : «Ils ont oublié ce qui s’est passé en 2004. Nous leur disons que le peuple est souverain et que s’il y a quelque chose d’indivisible, c’est bien l’Algérie».
S. A. I.
Auparavant, lorsqu’il prononçait son laïus devant les parlementaires de l’Alliance, il a vilipendé ceux qui se sont abstenus de s’inscrire en compétition électorale. «Il faut un engagement contre la cécité politique, comme celle que nous constatons en cette veille d’élection présidentielle. L’Algérie, ce ne sont pas les salons politiques et ce n’est pas un marché pour l’argent sale», a-t-il dit, sans se départir de l’allusion, ajoutant : «Ils ont oublié ce qui s’est passé en 2004. Nous leur disons que le peuple est souverain et que s’il y a quelque chose d’indivisible, c’est bien l’Algérie».
S. A. I.
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