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**KADE** · 30 janvier 2009, 09h45

Moi qui croyait que la FCE est l'une des seules organisations républicaines et modernes en Algérie !
Il y'a seulement quelques jours, on la disait radicalement opposée à l'amendement de la constitution et par delà à un troisième mandat brigué par M.Bouteflika !
Ils ont finalement compris où est leur intrêt et toute honte bue ont baissé le p........!

Kadé.

**shadok** · 30 janvier 2009, 09h49

Même le FCE (Forum des Chefs d'Entreprises) que je croyais sérieux se mêle maintenant de la politique ?

Je comprends mieux l’attention particulière d’Ouyahia au FCE qu’il a convoqué dès le début de sa prise de fonction en tant que chef du gouvernement.

**Massnsen** · 30 janvier 2009, 10h10

Tout se pète la gueule, une forum de chef d'entreprises qui apporte son soutient à ne candidature à la présidentielle. c'est lamentable. franchement, on est vraiment trop loin d'avoir une république alors de là à parler de démocratie ....

**hben** · 30 janvier 2009, 11h29

Algérie : le FCE dit oui à un troisième mandat de Bouteflika

Tu m'étonnes!!!...

**taurus** · 30 janvier 2009, 11h33

comme si ils avait eu le choix !!!!!!!!!!!
le nombre d'absent ne reflete t-il pas le desaccord des autres membres sur ce plan la ??? deja 70 personne sur 240 c'est a peine 30 % (29% et quelque poussieres) la majorite a ete absente pour cette farce encore provenant en plus d'une organtisation pariel !!!!! c'est ca la republique de fakhalatouhou et de ses ka-waddines
tout le monde baisse son pant..on a ce que je voit !!!!

**taurus** · 30 janvier 2009, 11h34

La réunion a été boudée par les grands patrons : à contrecœur, le patronat apporte son soutien à Bouteflika

Par ali idir , le 29/01/2009

A quelques jours de l'annonce officielle, prévue lundi 2 février, de sa candidature à la présidentielle d'avril 2009, le président Abdelaziz Bouteflika a presque fait «le plein» des soutiens à sa réélection après le ralliement, jeudi 29 janvier, du Forum des chefs d'entreprises (FCE), la plus grande organisation patronale du pays. Le président est déjà assuré du soutien des partis de l'Alliance présidentielle (FLN, RND et MSP), de plusieurs associations de la société civile et du syndicat UGTA.

Mais le soutien des patrons n'a pas été facile à obtenir. Certains chefs d'entreprises ont rechigné à l'idée de soutenir la réélection d'un président dont la politique économique de ces dix dernières années a fait le bonheur des groupes étrangers au détriment des entreprises locales. Les patrons contestent également certains choix économiques du gouvernement, comme la récente adhésion de l'Algérie à la Zone arabe de libre-échange. A plusieurs reprises, ils se sont également plaints de leur exclusion des processus de décision économique.

Mais les partisans du président sortant au sein de cette association ont une nouvelle fois été plus forts. Comme en 2004, ils ont fait le forcing nécessaire pour obtenir le soutien du FCE à leur candidat. Avant cette décision, l'organisation patronale était soumise à de fortes pressions et des tensions internes avaient fait leur apparition.

La décision de soutenir le candidat Bouteflika a été prise lors d'un vote à main levée à l'issue d'une assemblée générale extraordinaire. Au départ, un vote à bulletin a été envisagé, mais les risques d'une telle démarche étaient trop élevés.

Même les patrons de sociétés étrangères basées en Algérie et membres du FCE ont dit oui à la candidature du «raïs». Toutefois, l'assemblée générale du FCE n'a pas attiré grand monde et les grands patrons ont brillé par leur absence, selon des participants. «Les jeux étaient faits d'avance, ce n'était pas intéressant de participer à cette AG», déplore un membre du FCE qui a requis l'anonymat. A présent, après le soutien politique, les patrons du FCE devront maintenant mettre la main à la poche pour financer la campagne électorale du président sortant.

Des patrons présents à cette assemblée ont tenté de sauver les apparences et les formes en lançant un débat général sur la situation économique du pays. "Nous avons demandé le départ de l'administration actuelle. Les ministres en charge de l'économie ont échoué. Nous avons aussi demandé plus d'écoute et de disponibilité de la part des pouvoirs publics et un appui à la production nationale", confie un participant.

En vain. Les partisans du Président ont eu le dernier mot. Dans le communiqué final, le FCE s'est félicité de la politique économique du président sortant, tout en demandant timidement la poursuite des réformes économiques et le démantèlement des blocages administratifs qui empêchent la machine économique d'avancer. C'était le minimum.

source:TSA

**zemfir** · 30 janvier 2009, 16h14

"Dans le communiqué final, le FCE s'est félicité de la politique économique du président sortant, tout en demandant timidement la poursuite des réformes économiques et le démantèlement des blocages administratifs qui empêchent la machine économique d'avancer."

contradiction des félicitations pour une machine économique qui recule.
il nya que le fce qui voit en boutef un president sortant .

**absent** · 30 janvier 2009, 21h39

Moha

FCE=forum des chefs d'entreprises.
A votre avis, pourquoi ils sont chefs d'entreprises???

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