Elles ont été le deuxième sexe, des sal****** (343 pour un manifeste en France), elles ont été le MLF, ont brûle le torchon...
Aujourd'hui elles sont des chiennes de garde, ni p***** ni soumises, elles sont des philosophes (on ne sait plus trop de quel bord) et tout ce que l'on peut imaginer d'un être humain...
Je me suis souvent représenté le féminisme comme un train avec plusieurs classes, plusieurs tarifs et même un wagon à bestiaux, et dans lequel il n'y a pas de place pour tout le monde, la libération de la femme comme un réseau ferré qui forcément, ne dessert pas chaque foyer, à fortiori dans les pays ou il n'y a presque pas de moyens de transports... Et il y a toujours celles qui disposent de leurs propres moyens pour se déplacer.
Elles se battent chaque jour, à chaque coin du globe pour tenter de perpétuer la vie, aux côtés parfois, contre ou tout contre souvent, de ceux qui décident que c'est dans la mort et le sang que l'on se bat pour ses droits.
Que sont-elles, que représentent-elles ?
L'ONU a tenté dressé un état des lieux de la maison "femme" dans le rapport annuel du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap) publié le 12 octobre, sans épargner personne. Constat : globalement mauvais ; perspectives : globalement mauvaises. Le temps d'une brève
Extraits :
la (courte) suite
Pour changer de sujet et pour la forme, ou la plaisir, pour la mémoire ou la mélodie, un petit peu de Renaud et les paroles de Miss Maggi :
On pourrait remplacer Thatcher par Rice aujourd'hui mais ça ne rimerais pas aussi bien que Badinter dont je ne suis pas sure qu'elle le mérite... Malgré son appartenance à des hautes sphères pas très catholiques...
Aujourd'hui elles sont des chiennes de garde, ni p***** ni soumises, elles sont des philosophes (on ne sait plus trop de quel bord) et tout ce que l'on peut imaginer d'un être humain...
Je me suis souvent représenté le féminisme comme un train avec plusieurs classes, plusieurs tarifs et même un wagon à bestiaux, et dans lequel il n'y a pas de place pour tout le monde, la libération de la femme comme un réseau ferré qui forcément, ne dessert pas chaque foyer, à fortiori dans les pays ou il n'y a presque pas de moyens de transports... Et il y a toujours celles qui disposent de leurs propres moyens pour se déplacer.
Elles se battent chaque jour, à chaque coin du globe pour tenter de perpétuer la vie, aux côtés parfois, contre ou tout contre souvent, de ceux qui décident que c'est dans la mort et le sang que l'on se bat pour ses droits.
Que sont-elles, que représentent-elles ?
L'ONU a tenté dressé un état des lieux de la maison "femme" dans le rapport annuel du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap) publié le 12 octobre, sans épargner personne. Constat : globalement mauvais ; perspectives : globalement mauvaises. Le temps d'une brève
Extraits :
'inégalité sexuelle reste un trait majeur de la société mondiale, et ne semble pas en voie de se résorber, selon le rapport annuel du Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap) publié le 12 octobre. Cette inégalité apparaît par exemple dans l'accès à l'école : 600 millions de femmes sont analphabètes, contre 320 millions d'hommes. La non-reconnaissance du travail des femmes est par ailleurs très importante dans les pays pauvres, où le ramassage du bois ou la corvée d'eau, essentiels à la survie, sont dévolus aux femmes. Les femmes fournissent aussi plus de 60 % de la production agricole vivrière, mais sans se voir reconnaître de droits économiques sur la terre.
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L'inégalité est flagrante sur le plan politique : "Les femmes occupent seulement 16 % des sièges de Parlements nationaux au niveau mondial, soit un progrès de moins de 4 points de pourcentage depuis 1990" , note le rapport. Ce trait n'est pas propre aux pays pauvres. La France, le Japon ou les Etats-Unis n'accordent guère de place aux femmes dans la vie politique. C'est le Rwanda, et non plus la Suède, qui compte la plus forte proportion de femmes parlementaires. La violence sexuelle semble aussi un fléau largement partagé. Elle "est peut-être la violation des droits humains la plus répandue et la plus tolérée par la société" . Au niveau mondial, "une femme sur cinq sera, au cours de sa vie, victime d'une viol ou d'une tentative de viol" , et la violence tue ou rend infirmes autant de femmes âgées de 15 à 44 ans que le cancer.
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L'inégalité est flagrante sur le plan politique : "Les femmes occupent seulement 16 % des sièges de Parlements nationaux au niveau mondial, soit un progrès de moins de 4 points de pourcentage depuis 1990" , note le rapport. Ce trait n'est pas propre aux pays pauvres. La France, le Japon ou les Etats-Unis n'accordent guère de place aux femmes dans la vie politique. C'est le Rwanda, et non plus la Suède, qui compte la plus forte proportion de femmes parlementaires. La violence sexuelle semble aussi un fléau largement partagé. Elle "est peut-être la violation des droits humains la plus répandue et la plus tolérée par la société" . Au niveau mondial, "une femme sur cinq sera, au cours de sa vie, victime d'une viol ou d'une tentative de viol" , et la violence tue ou rend infirmes autant de femmes âgées de 15 à 44 ans que le cancer.
Pour changer de sujet et pour la forme, ou la plaisir, pour la mémoire ou la mélodie, un petit peu de Renaud et les paroles de Miss Maggi :
Femme du monde ou bien putain
Qui bien souvent êtes les mêmes
Femme normale, star ou boudin,
Femelles en tout genre je vous aime
Même à la dernière des connes,
Je veux dédier ces quelques vers
Issus de mon dégoût des hommes
Et de leur morale guerrière
Car aucune femme sur la planète
N' s'ra jamais plus con que son frère
Ni plus fière, ni plus malhonnête
A part peut-être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Lorsque le sport devient la guerre
Y a pas de gonzesse ou si peu
Dans les hordes de supporters
Ces fanatiques, fous-furieux
Abreuvés de haines et de bières
Déifiant les crétins en bleu,
Insultant les salauds en vert
Y a pas de gonzesse hooligan,
Imbécile et meurtrière
Y'en a pas même en grande Bretagne
A part bien sûr Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Une bagnole entre les pognes
Tu n' deviens pas aussi con que
Ces pauvres tarés qui se cognent
Pour un phare un peu amoché
Ou pour un doigt tendu bien haut
Y'en a qui vont jusqu'à flinguer
Pour sauver leur autoradio
Le bras d'honneur de ces cons-là
Aucune femme n'est assez vulgaire
Pour l'employer à tour de bras
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Tu vas pas mourir à la guerre
Parc' que la vue d'une arme à feu
Fait pas frissonner tes ovaires
Parc' que dans les rangs des chasseurs
Qui dégomment la tourterelle
Et occasionnellement les Beurs,
J'ai jamais vu une femelle
Pas une femme n'est assez minable
Pour astiquer un revolver
Et se sentir invulnérable
A part bien sûr Madame Thatcher
C'est pas d'un cerveau féminin
Qu'est sortie la bombe atomique
Et pas une femme n'a sur les mains
Le sang des indiens d'Amérique
Palestiniens et arméniens
Témoignent du fond de leurs tombeaux
Qu'un génocide c'est masculin
Comme un SS, un torero
Dans cette putain d'humanité
Les assassins sont tous des frères
Pas une femme pour rivaliser
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime surtout enfin
Pour ta faiblesse et pour tes yeux
Quand la force de l'homme ne tient
Que dans son flingue ou dans sa queue
Et quand viendra l'heure dernière,
L'enfer s'ra peuplé de crétins
Jouant au foot ou à la guerre,
A celui qui pisse le plus loin
Moi je me changerai en chien si je peux rester sur la Terre
Et comme réverbère quotidien
Je m'offrirai Madame Thatcher
Qui bien souvent êtes les mêmes
Femme normale, star ou boudin,
Femelles en tout genre je vous aime
Même à la dernière des connes,
Je veux dédier ces quelques vers
Issus de mon dégoût des hommes
Et de leur morale guerrière
Car aucune femme sur la planète
N' s'ra jamais plus con que son frère
Ni plus fière, ni plus malhonnête
A part peut-être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Lorsque le sport devient la guerre
Y a pas de gonzesse ou si peu
Dans les hordes de supporters
Ces fanatiques, fous-furieux
Abreuvés de haines et de bières
Déifiant les crétins en bleu,
Insultant les salauds en vert
Y a pas de gonzesse hooligan,
Imbécile et meurtrière
Y'en a pas même en grande Bretagne
A part bien sûr Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Une bagnole entre les pognes
Tu n' deviens pas aussi con que
Ces pauvres tarés qui se cognent
Pour un phare un peu amoché
Ou pour un doigt tendu bien haut
Y'en a qui vont jusqu'à flinguer
Pour sauver leur autoradio
Le bras d'honneur de ces cons-là
Aucune femme n'est assez vulgaire
Pour l'employer à tour de bras
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime parce que
Tu vas pas mourir à la guerre
Parc' que la vue d'une arme à feu
Fait pas frissonner tes ovaires
Parc' que dans les rangs des chasseurs
Qui dégomment la tourterelle
Et occasionnellement les Beurs,
J'ai jamais vu une femelle
Pas une femme n'est assez minable
Pour astiquer un revolver
Et se sentir invulnérable
A part bien sûr Madame Thatcher
C'est pas d'un cerveau féminin
Qu'est sortie la bombe atomique
Et pas une femme n'a sur les mains
Le sang des indiens d'Amérique
Palestiniens et arméniens
Témoignent du fond de leurs tombeaux
Qu'un génocide c'est masculin
Comme un SS, un torero
Dans cette putain d'humanité
Les assassins sont tous des frères
Pas une femme pour rivaliser
A part peut être Madame Thatcher
Femme je t'aime surtout enfin
Pour ta faiblesse et pour tes yeux
Quand la force de l'homme ne tient
Que dans son flingue ou dans sa queue
Et quand viendra l'heure dernière,
L'enfer s'ra peuplé de crétins
Jouant au foot ou à la guerre,
A celui qui pisse le plus loin
Moi je me changerai en chien si je peux rester sur la Terre
Et comme réverbère quotidien
Je m'offrirai Madame Thatcher
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