Nous avons reçu des informations très intéressantes d’un confrère qui souhaite garder l’anonymat. On le comprend sans peine, lorsqu’on sait qu’il travaille et vit en Algérie. Voici ces révélations, livrées en vrac!
Le Chef de Bureau de la CIA, Andrew Warren, est coutumier du fait. Il s’était distingué dans un scandale sexuel au Caire, où il était la personnalité la plus connue de la CIA. Les autorités égyptiennes ont affirmé aux responsables hiérarchiques du pervers, que c’était un coup monté pour lui extorquer de l’argent.
La presse égyptienne a été dissuadée de relayer l’affaire, au prétexte que Monsieur Warren était un musulman et que cela ne ferait qu’aggraver la réputation des musulmans dans le monde.
En fait, la conversion à l’islam de cet individu n’avait d’autre objectif que de s’introduire dans le milieu salafiste égyptien. Mais aussi, on le découvre aujourd’hui, d’endormir la méfiance des Égyptiens, et lui permettre de recevoir de nombreuses jeunes filles à son domicile, et même des mineures accompagnées de leurs “parents”.
Un scandale concernant une mineure aurait été étouffé par les services spéciaux égyptiens qui auraient fait pression sur les parents de la victime. Il semblerait que Warren se soit distingué dans d’autres pays arabes, et que sa “conversion” à l’islam lui a servi de sésame pour laisser libre cours à ses pulsions, avec la complicité des plus hauts niveaux des États où il a officié.
En Algerie, Andrew Warren était connu du tout Alger. Tout musulman qu’il se prétendait, ce fougueux qadra fréquentait toutes les “bonnes familles” du club des pins.
Il aurait eu des liaisons remarquées avec une parente de général connu de l’armée algérienne.
L’un de ses meilleurs “copains” serait le fils d’un très haut responsable de la mouvance islamique BCBG qui l’approvisionnerait en “Zetla” et en Coke.
Ses fréquentations du sérail politique algérien, seraient très variées et iraient des enfants de la nomenklatura à leurs enfants, mais aussi à leurs filles.
Il ne serait pas le seul de la maison CIA à être entré dans l’intimité de la nomenklatura.
Un de ses subordonnés l’accompagnerait systématiquement dans ses virées dans les “bonnes familles algéroises”
En novembre 2007, Andrew Warren se serait trouvé au milieu d’une affaire de sexe où seraient impliqués de jeunes personnes, filles et garçons, de la plus “haute” société algéroise. L’affaire a été étouffée.
L’on se serait attendu, après ce scandale, et après les scandales du Caire, à ce que ce monsieur, qui représente la CIA, dans un pays où le militantisme anti-américain est exacerbé, mette un frein à ses pulsions sexuelles.
Mais il faut dire que le zèle que mettaient les maîtres du pays, les officiers du DRS, et les plus grandes personnalités politiques, à cacher toutes ses frasques, peut être même à lui trouver des filles, et à l’entourer des soins les plus attentifs, ont définitivement convaincu ce monsieur qu’il était dans un pays d’esclaves, et que rien ne pouvait le menacer.
Tous les Algériens peuvent comprendre cela.
Parce qu’ils connaissent leurs dirigeants.
Donc, malgré ce premier scandale, après d’autres, peut être qu’on ne connaît pas, le Chef de Bureau de la CIA à Alger, a continué de plus belle dans la satisfaction de ses plaisirs. Pourquoi pas? Il était dans un pays soumis. Soumis à une clique de voyous.
Aucun des généraux qui dirigent le pays ne pouvait l’inquiéter. Il les connaissait trop bien. Il connaissait leurs crimes. Il avait des vidéos sur leurs filles.
Il connaissait tous les détails de l’affaire de la base américaine au Sahara qui avait été construite à l’insu du peuple algérien, grâce à l’américain Chakib Khalil.
Il connaissait l’affaire BRC, l’adresse exacte de la famlle Chakib Khalil à New York, les secrets des ses fils, Jean Kriss et Paul Ahmed, dans le coeur du business américain, en connection directe avec leur protecteur, Dick Cheney et toutes les affaires juteuses qu’ils conculaient grâce à leur papa et à tonton Dick.
Sa qualité de patron de la CIA lui conférait une puissance totale sur ces gueux d’Alger.
Personne ne pouvait bouger avec lui. “Madame Claude d’Alger” qui lui ramenait de la chair fraîche, et qu’il payait en visas pour l’Amérique, était pour lui, une source inépuisable de renseignements.
Cette dame, connue de tous les PRG d’Alger, et crainte plus que la peste, qui a droit à tous les égards, et qui écume les grands hôtels d’Alger, et qui ne se déplace qu’en conduite intérieure, à la recherche de chair fraîche, parce que qu’elle ne veut pas confier cette tâche à ses agents, lui a confié qu’elle comptait deux ex-présidents de la République algérienne dans la liste de ses clients.
En septembre 2008, un autre scandale éclate. Une citoyenne algérienne, qui jouit d’une autre nationalité, saisit les autorités algériennes et les informe qu’elle a été victime d’un abus sexuel. Le chef de Bureau de la CIA l’aurait droguée, aurait abusé d’elle. Lorsqu’elle a tenté de lui demander des explications, il l’aurait menacé de répandre des images qu’il aurait pris d’elle, dans des postures très “compromettantes.”
La réaction des autorités algériennes ne s’est pas faite attendre. Menaces, pressions, et promesses. Il ne fallait pas toucher au maître.
Mais la victime et sa famille, dans un sursaut de dignité, auraient refusé de se taire. Conseillées par des avocats compétents, elles portent plainte sur le territoire des Etats Unis d’Amérique.
Le scandale éclate!
Andrew Warren aurait immortalisé des centaines de femmes et de petites filles et les photos, etscènes, seraient encore présentes sur le disque dur de son ordinateur portable.
Aujourd’hui, nous découvrons que l’Etat algérien est une association de malfaiteurs qui n’est même pas capable de protéger ses citoyens.
Notre ministre le plus important de la république, le ministre du pétrole, est un américain, dont la famille vit aux USA. Il est le compatriote de ce criminel.
Le Chef de l’Etat, qui a été informé de ce scandale, a donné l’ordre de le taire, et de le soustraire à la justice algérienne.
La presse algérienne a accepté de taire le scandale.
Ce scandale doit être connu du peuple algérien
Nous y reviendrons!
Le Quotidien d'Algerie
Le Chef de Bureau de la CIA, Andrew Warren, est coutumier du fait. Il s’était distingué dans un scandale sexuel au Caire, où il était la personnalité la plus connue de la CIA. Les autorités égyptiennes ont affirmé aux responsables hiérarchiques du pervers, que c’était un coup monté pour lui extorquer de l’argent.
La presse égyptienne a été dissuadée de relayer l’affaire, au prétexte que Monsieur Warren était un musulman et que cela ne ferait qu’aggraver la réputation des musulmans dans le monde.
En fait, la conversion à l’islam de cet individu n’avait d’autre objectif que de s’introduire dans le milieu salafiste égyptien. Mais aussi, on le découvre aujourd’hui, d’endormir la méfiance des Égyptiens, et lui permettre de recevoir de nombreuses jeunes filles à son domicile, et même des mineures accompagnées de leurs “parents”.
Un scandale concernant une mineure aurait été étouffé par les services spéciaux égyptiens qui auraient fait pression sur les parents de la victime. Il semblerait que Warren se soit distingué dans d’autres pays arabes, et que sa “conversion” à l’islam lui a servi de sésame pour laisser libre cours à ses pulsions, avec la complicité des plus hauts niveaux des États où il a officié.
En Algerie, Andrew Warren était connu du tout Alger. Tout musulman qu’il se prétendait, ce fougueux qadra fréquentait toutes les “bonnes familles” du club des pins.
Il aurait eu des liaisons remarquées avec une parente de général connu de l’armée algérienne.
L’un de ses meilleurs “copains” serait le fils d’un très haut responsable de la mouvance islamique BCBG qui l’approvisionnerait en “Zetla” et en Coke.
Ses fréquentations du sérail politique algérien, seraient très variées et iraient des enfants de la nomenklatura à leurs enfants, mais aussi à leurs filles.
Il ne serait pas le seul de la maison CIA à être entré dans l’intimité de la nomenklatura.
Un de ses subordonnés l’accompagnerait systématiquement dans ses virées dans les “bonnes familles algéroises”
En novembre 2007, Andrew Warren se serait trouvé au milieu d’une affaire de sexe où seraient impliqués de jeunes personnes, filles et garçons, de la plus “haute” société algéroise. L’affaire a été étouffée.
L’on se serait attendu, après ce scandale, et après les scandales du Caire, à ce que ce monsieur, qui représente la CIA, dans un pays où le militantisme anti-américain est exacerbé, mette un frein à ses pulsions sexuelles.
Mais il faut dire que le zèle que mettaient les maîtres du pays, les officiers du DRS, et les plus grandes personnalités politiques, à cacher toutes ses frasques, peut être même à lui trouver des filles, et à l’entourer des soins les plus attentifs, ont définitivement convaincu ce monsieur qu’il était dans un pays d’esclaves, et que rien ne pouvait le menacer.
Tous les Algériens peuvent comprendre cela.
Parce qu’ils connaissent leurs dirigeants.
Donc, malgré ce premier scandale, après d’autres, peut être qu’on ne connaît pas, le Chef de Bureau de la CIA à Alger, a continué de plus belle dans la satisfaction de ses plaisirs. Pourquoi pas? Il était dans un pays soumis. Soumis à une clique de voyous.
Aucun des généraux qui dirigent le pays ne pouvait l’inquiéter. Il les connaissait trop bien. Il connaissait leurs crimes. Il avait des vidéos sur leurs filles.
Il connaissait tous les détails de l’affaire de la base américaine au Sahara qui avait été construite à l’insu du peuple algérien, grâce à l’américain Chakib Khalil.
Il connaissait l’affaire BRC, l’adresse exacte de la famlle Chakib Khalil à New York, les secrets des ses fils, Jean Kriss et Paul Ahmed, dans le coeur du business américain, en connection directe avec leur protecteur, Dick Cheney et toutes les affaires juteuses qu’ils conculaient grâce à leur papa et à tonton Dick.
Sa qualité de patron de la CIA lui conférait une puissance totale sur ces gueux d’Alger.
Personne ne pouvait bouger avec lui. “Madame Claude d’Alger” qui lui ramenait de la chair fraîche, et qu’il payait en visas pour l’Amérique, était pour lui, une source inépuisable de renseignements.
Cette dame, connue de tous les PRG d’Alger, et crainte plus que la peste, qui a droit à tous les égards, et qui écume les grands hôtels d’Alger, et qui ne se déplace qu’en conduite intérieure, à la recherche de chair fraîche, parce que qu’elle ne veut pas confier cette tâche à ses agents, lui a confié qu’elle comptait deux ex-présidents de la République algérienne dans la liste de ses clients.
En septembre 2008, un autre scandale éclate. Une citoyenne algérienne, qui jouit d’une autre nationalité, saisit les autorités algériennes et les informe qu’elle a été victime d’un abus sexuel. Le chef de Bureau de la CIA l’aurait droguée, aurait abusé d’elle. Lorsqu’elle a tenté de lui demander des explications, il l’aurait menacé de répandre des images qu’il aurait pris d’elle, dans des postures très “compromettantes.”
La réaction des autorités algériennes ne s’est pas faite attendre. Menaces, pressions, et promesses. Il ne fallait pas toucher au maître.
Mais la victime et sa famille, dans un sursaut de dignité, auraient refusé de se taire. Conseillées par des avocats compétents, elles portent plainte sur le territoire des Etats Unis d’Amérique.
Le scandale éclate!
Andrew Warren aurait immortalisé des centaines de femmes et de petites filles et les photos, etscènes, seraient encore présentes sur le disque dur de son ordinateur portable.
Aujourd’hui, nous découvrons que l’Etat algérien est une association de malfaiteurs qui n’est même pas capable de protéger ses citoyens.
Notre ministre le plus important de la république, le ministre du pétrole, est un américain, dont la famille vit aux USA. Il est le compatriote de ce criminel.
Le Chef de l’Etat, qui a été informé de ce scandale, a donné l’ordre de le taire, et de le soustraire à la justice algérienne.
La presse algérienne a accepté de taire le scandale.
Ce scandale doit être connu du peuple algérien
Nous y reviendrons!
Le Quotidien d'Algerie
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