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Du nouveau du côté des Britishs qui se montrent, encore une fois, très agressifs en matière de promotion. La compagnie aérienne britannique fait fort en ce début d’année 2009 et propose à peine 35 000 DA (HT) pour un aller-retour sur un vol long courrier en l’occurrence Alger-New York (États-Unis) via une escale à Londres. Le Royaume-Uni est aussi concerné par cette campagne et se vend (Alger-Londres pour un aller-retour) à 25 000 DA (HT). Cette offre promotionnelle annoncée, hier, par David Fordham délégué de la compagnie pour l’Algérie commence aujourd’hui même pour durer tout le mois courant et se distingue par la durée. Autrement dit, une fois le billet acquis, le client peut en disposer toute l’année et cela rend l’offre beaucoup plus attractive que celle proposée par les concurrents sur des produits similaires.
“Nous réalisons des revenus très satisfaisants au niveau de tout le Maghreb”, a confirmé M. Fordham également responsable de tout le Maghreb même si cette performance est moindre au niveau global à cause de la crise financière mondiale qui cause pour BA pas moins de 2,7 millions de pounds/jour. Ce qui est un énorme déficit pour la compagnie qui, jusqu’à présent, affiche une mine plutôt rassurante. La destination qui semble le plus souffrir n’est autre que le Nord Atlantique pour la compagnie britannique qui, dans cette situation ne prend pas de gants pour serrer un peu la ceinture en réduisant le nombre de managers de 400 comme elle n’hésitera pas de fermer une destination si elle s’avère réellement pas du tout rentable alors qu’en d’autres circonstances elle serait un délai de grâce d’au moins d’une année avant de recourir à des mesures aussi radicales. Quelque 43 000 employés, 8 000 vols/jour, une flotte de 250 appareils, 154 destinations et 75 pays à desservir pour transporter 30 millions de passagers par an. C’est que même l’un des plus puissants pavillon au monde n’échappe pas à cette avalanche économique qui aurait de lourdes conséquences sur l’activité aérienne si elle venait à durer dans le temps.
L’Algérie reste, toutefois, un marché très intéressant et l’intérêt de la compagnie ne fait que se confirmer envers une clientèle de plus en plus séduite par l’offre britannique, notamment pour ce qui est du poids permis pour les bagages. En classe économique, le passager à droit à “une pièce” de 23 km qui pourrait aller jusqu’à 32 kg que le passager peut se permettre en s’acquittant de 25 livres ou en moyennant carrément un forfait de 30 livres. Un paramètre que nos “trabendistes” n’ont pas loupé et se présentent comme des clients plutôt “précieux” pour les compagnies qui misent également sur ce segment. BT qui réalise de très bons résultats sur le Maroc et même sur la Tunisie où le volume est impressionnant même si le Yeald n’est pas très élevé. Les Britanniques, habituellement très à cheval sur la qualité des prestations de service, s’investissent encore plus dans cette option pour fidéliser la clientèle et réaliser un chiffre record pour ce qui est de la ponctualité qui vaut son pesant d’or dans le domaine aérien atteignant les 95,5%.
Mme Radya Diffalah, account manager de la compagnie au niveau de l’Algérie, a tenu à noter en direction de notre communauté résidente à Londres qu’il était possible de prétendre à cette offre promotionnelle au profit d’un membre de leur famille. Ils sont nombreux, en effet, à inviter leurs parents et leur famille à des séjours de visite en attendant de venir eux-mêmes pour les grandes vacances. D’autres profitent, tout simplement d’aller découvrir le pays de Sa Majesté ou faire leurs emplettes puisqu’on constate un recul dans la monnaie anglaise.
source : Liberté
“Nous réalisons des revenus très satisfaisants au niveau de tout le Maghreb”, a confirmé M. Fordham également responsable de tout le Maghreb même si cette performance est moindre au niveau global à cause de la crise financière mondiale qui cause pour BA pas moins de 2,7 millions de pounds/jour. Ce qui est un énorme déficit pour la compagnie qui, jusqu’à présent, affiche une mine plutôt rassurante. La destination qui semble le plus souffrir n’est autre que le Nord Atlantique pour la compagnie britannique qui, dans cette situation ne prend pas de gants pour serrer un peu la ceinture en réduisant le nombre de managers de 400 comme elle n’hésitera pas de fermer une destination si elle s’avère réellement pas du tout rentable alors qu’en d’autres circonstances elle serait un délai de grâce d’au moins d’une année avant de recourir à des mesures aussi radicales. Quelque 43 000 employés, 8 000 vols/jour, une flotte de 250 appareils, 154 destinations et 75 pays à desservir pour transporter 30 millions de passagers par an. C’est que même l’un des plus puissants pavillon au monde n’échappe pas à cette avalanche économique qui aurait de lourdes conséquences sur l’activité aérienne si elle venait à durer dans le temps.
L’Algérie reste, toutefois, un marché très intéressant et l’intérêt de la compagnie ne fait que se confirmer envers une clientèle de plus en plus séduite par l’offre britannique, notamment pour ce qui est du poids permis pour les bagages. En classe économique, le passager à droit à “une pièce” de 23 km qui pourrait aller jusqu’à 32 kg que le passager peut se permettre en s’acquittant de 25 livres ou en moyennant carrément un forfait de 30 livres. Un paramètre que nos “trabendistes” n’ont pas loupé et se présentent comme des clients plutôt “précieux” pour les compagnies qui misent également sur ce segment. BT qui réalise de très bons résultats sur le Maroc et même sur la Tunisie où le volume est impressionnant même si le Yeald n’est pas très élevé. Les Britanniques, habituellement très à cheval sur la qualité des prestations de service, s’investissent encore plus dans cette option pour fidéliser la clientèle et réaliser un chiffre record pour ce qui est de la ponctualité qui vaut son pesant d’or dans le domaine aérien atteignant les 95,5%.
Mme Radya Diffalah, account manager de la compagnie au niveau de l’Algérie, a tenu à noter en direction de notre communauté résidente à Londres qu’il était possible de prétendre à cette offre promotionnelle au profit d’un membre de leur famille. Ils sont nombreux, en effet, à inviter leurs parents et leur famille à des séjours de visite en attendant de venir eux-mêmes pour les grandes vacances. D’autres profitent, tout simplement d’aller découvrir le pays de Sa Majesté ou faire leurs emplettes puisqu’on constate un recul dans la monnaie anglaise.
source : Liberté