Les autorités marocaines ont démenti, vendredi, de manière catégorique le refoulement d'immigrés subsahariens par les frontières sud du Royaume et dénoncé la manipulation algéro-polisarienne et l'instrumentalisation à des fins de politique politicienne du drame de nos frères clandestins en provenance de pays d'Afrique subsaharienne.
Versant dans la désinformation comme à son habitude, la horde du "polisario", poussée par ses maîtres à penser à Alger, a cru bon d'user d'une énième manipulation en essayant de faire croire à la présence "dans plusieurs tronçons des zones libérées" (sic) de centaines d'émigrants africains "convoyés" depuis le nord du Maroc.
Sans scrupule aucun et avec une impudeur sans égale, Alger et le "polisario" instrumentalisent ainsi, de manière mensongère, un drame que les voisins de l'Est du Maroc ont largement contribué à nourrir en faisant des frontières une véritable passoire pour les migrants clandestins, souligne un responsable au ministère de l'intérieur.
La même source dénonce vivement cette instrumentalisation honteuse qui est le fait d'une maoeuvre algéro-polisarienne relevant de la petitesse politique et réaffirme, de manière solennelle, qu'aucun migrant parmi les centaines de clandestins qui séjournent illégalement sur le territoire marocain n'a été lâché dans le désert ou abandonné à son sort aux frontières sud du Royaume.
La vérité, la véritable et la seule, c'est que l'Algérie et ses satellites à Tindouf ont convenu de sacrifier les milliers de migrants clandestins se trouvant sur le territoire algérien à des fins égoïstes et vilement mesquines tournant le dos à toute considération humanitaire ou autre.
Il est à craindre à présent que de "centaines", le "polisario", à l'instigation des théoriciens de son action à Alger, ne parle, dans les prochains jours, de milliers de migrants errant dans le désert, prévient la même source. N'est-ce pas que c'est en Algérie que se trouvent encore des milliers de migrants clandestins en attente de rejoindre le Maroc pour tenter le forcing de Sebta et Melillia ? Témoignage on ne peut plus éloquent que celui apporté par le commissaire européen en charge des dossiers justice, liberté et sécurité, M. Franco Frattini, qui a parlé, mercredi devant les ministres de l'intérieur et de la justice de l'UE réunis à Luxembourg, de la présence de 20.000 migrants subsahariens sur le territoire algérien en attente de prendre d'assaut les enclaves de Sebta et Melillia.
Ce témoignage, parmi d'autres exprimés de l'intérieur même de l'Algérie notamment par voie de presse, accable les autorités algériennes qui, non seulement gardent le silence sur ce qui se passe sur le territoire algérien, mais versent à présent une nouvelle fois dans la désinformation en s'employant encore à faire plus de mal au Maroc et à attenter à son image et à son prestige.
L'Algérie, qui est en grande partie responsable de la situation actuelle, persiste également à ignorer tous les appels qui lui sont lancés par la communauté internationale, pour lui demander d'assumer pleinement ses responsabilités sur ce dossier, sachant que les itinéraires de l'immigration clandestine sont connus de tous les observateurs et que la quasi-totalité des migrants clandestins passent par les frontières algériennes.
Associer le "polisario" à ce trafic n'est pas chose nouvelle puisque celui-ci y excelle comme en témoigne un journaliste français de la chaîne de télévision "France 2" qui avait assuré en octobre dernier, après un travail de plusieurs mois notamment sur le terrain, que le "polisario" s'est spécialisé dans le trafic d'êtres humains en faisant passer des candidats à l'émigration clandestine vers les côtes des îles Canaries.
Grégoire Déniau, par ailleurs journaliste de guerre depuis plus de 15 ans, a réalisé l'un des reportages "les plus difficiles" de sa vie sur l'émigration clandestine, avait rapporté alors le quotidien espagnol "ABC" à qui le journaliste avait fait part de ses conclusions.
Cette expérience, avait souligné Déniau, a révélé les "conditions inhumaines" auxquelles font face les émigrés clandestins qui sont maltraités par les mafias de trafic d'êtres humains.
La nouvelle manipulation algéro-polisarienne s'inscrit donc dans le prolongement d'une tradition bien établie chez les mercenaires, faite de crapulerie, de bassesse et d'avilissement des êtres humains, souligne le responsable marocain.
Le monde n'est heureusement pas dupe pour ne pas se rendre compte de cette tentative d'instrumentalisation criarde révélatrice de l'impudeur politique qui anime Alger et ses protéges à Tindouf, conclut-il.
Versant dans la désinformation comme à son habitude, la horde du "polisario", poussée par ses maîtres à penser à Alger, a cru bon d'user d'une énième manipulation en essayant de faire croire à la présence "dans plusieurs tronçons des zones libérées" (sic) de centaines d'émigrants africains "convoyés" depuis le nord du Maroc.
Sans scrupule aucun et avec une impudeur sans égale, Alger et le "polisario" instrumentalisent ainsi, de manière mensongère, un drame que les voisins de l'Est du Maroc ont largement contribué à nourrir en faisant des frontières une véritable passoire pour les migrants clandestins, souligne un responsable au ministère de l'intérieur.
La même source dénonce vivement cette instrumentalisation honteuse qui est le fait d'une maoeuvre algéro-polisarienne relevant de la petitesse politique et réaffirme, de manière solennelle, qu'aucun migrant parmi les centaines de clandestins qui séjournent illégalement sur le territoire marocain n'a été lâché dans le désert ou abandonné à son sort aux frontières sud du Royaume.
La vérité, la véritable et la seule, c'est que l'Algérie et ses satellites à Tindouf ont convenu de sacrifier les milliers de migrants clandestins se trouvant sur le territoire algérien à des fins égoïstes et vilement mesquines tournant le dos à toute considération humanitaire ou autre.
Il est à craindre à présent que de "centaines", le "polisario", à l'instigation des théoriciens de son action à Alger, ne parle, dans les prochains jours, de milliers de migrants errant dans le désert, prévient la même source. N'est-ce pas que c'est en Algérie que se trouvent encore des milliers de migrants clandestins en attente de rejoindre le Maroc pour tenter le forcing de Sebta et Melillia ? Témoignage on ne peut plus éloquent que celui apporté par le commissaire européen en charge des dossiers justice, liberté et sécurité, M. Franco Frattini, qui a parlé, mercredi devant les ministres de l'intérieur et de la justice de l'UE réunis à Luxembourg, de la présence de 20.000 migrants subsahariens sur le territoire algérien en attente de prendre d'assaut les enclaves de Sebta et Melillia.
Ce témoignage, parmi d'autres exprimés de l'intérieur même de l'Algérie notamment par voie de presse, accable les autorités algériennes qui, non seulement gardent le silence sur ce qui se passe sur le territoire algérien, mais versent à présent une nouvelle fois dans la désinformation en s'employant encore à faire plus de mal au Maroc et à attenter à son image et à son prestige.
L'Algérie, qui est en grande partie responsable de la situation actuelle, persiste également à ignorer tous les appels qui lui sont lancés par la communauté internationale, pour lui demander d'assumer pleinement ses responsabilités sur ce dossier, sachant que les itinéraires de l'immigration clandestine sont connus de tous les observateurs et que la quasi-totalité des migrants clandestins passent par les frontières algériennes.
Associer le "polisario" à ce trafic n'est pas chose nouvelle puisque celui-ci y excelle comme en témoigne un journaliste français de la chaîne de télévision "France 2" qui avait assuré en octobre dernier, après un travail de plusieurs mois notamment sur le terrain, que le "polisario" s'est spécialisé dans le trafic d'êtres humains en faisant passer des candidats à l'émigration clandestine vers les côtes des îles Canaries.
Grégoire Déniau, par ailleurs journaliste de guerre depuis plus de 15 ans, a réalisé l'un des reportages "les plus difficiles" de sa vie sur l'émigration clandestine, avait rapporté alors le quotidien espagnol "ABC" à qui le journaliste avait fait part de ses conclusions.
Cette expérience, avait souligné Déniau, a révélé les "conditions inhumaines" auxquelles font face les émigrés clandestins qui sont maltraités par les mafias de trafic d'êtres humains.
La nouvelle manipulation algéro-polisarienne s'inscrit donc dans le prolongement d'une tradition bien établie chez les mercenaires, faite de crapulerie, de bassesse et d'avilissement des êtres humains, souligne le responsable marocain.
Le monde n'est heureusement pas dupe pour ne pas se rendre compte de cette tentative d'instrumentalisation criarde révélatrice de l'impudeur politique qui anime Alger et ses protéges à Tindouf, conclut-il.
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