L'Espagne se résigne à Israël et entend modifier la loi
Le gouvernement espagnol s'est résigné aux pressions israéliennes réclamant d'annuler l'enquête espagnole sur le bombardement meurtrier israélien à Gaza en 2002, qui a couté la vie à 14 civils, dont des enfants et des bébés.
Le quotidien ABC qui cite des "sources gouvernementales", explique que l'exécutif pourrait revenir sur au moins un aspect de ce principe qui rend
la justice espagnole compétente pour enquêter sur des génocides et crimes contre l'humanité même s'ils sont commis à l'étranger.
Depuis 2005, la justice espagnole admet des procédures de ce type, même lorsque les victimes ne sont pas espagnoles. Le gouvernement socialiste voudrait gommer cet aspect pour ne retenir que des procédures concernant des victimes espagnoles, selon ABC.
La chef de la diplomatie israélienne, Tzipi Livni, a d'ailleurs indiqué vendredi que son homologue espagnol Miguel Angel Moratinos lui avait assuré que
que le gouvernement espagnol avait "décidé d'amender la loi dès que possible afin d'empêcher d'autres procédures judiciaires de ce type, y compris contre Israël".
Le juge madrilène Fernando Andreu avait jugé jeudi recevable une plainte du Centre palestinien pour les droits de l'Homme sur le bombardement qui avait tué
un dirigeant du Hamas, Salah Chehadeh et 14 civils palestiniens, "en majorité
des enfants et des bébés", le 22 juillet 2002.
Quelque 150 Palestiniens avaient également été blessés pendant cette attaque, par l'explosion d'une bombe d'une tonne larguée par un F-16 israélien
à Gaza, sur une maison du quartier Al Daraj.
Dimanche 01 Février 2009
[IMG]http://*******************/_images/ext/unknown.gif[/IMG] http://www.************.lb
Le gouvernement espagnol s'est résigné aux pressions israéliennes réclamant d'annuler l'enquête espagnole sur le bombardement meurtrier israélien à Gaza en 2002, qui a couté la vie à 14 civils, dont des enfants et des bébés.
Le quotidien ABC qui cite des "sources gouvernementales", explique que l'exécutif pourrait revenir sur au moins un aspect de ce principe qui rend
la justice espagnole compétente pour enquêter sur des génocides et crimes contre l'humanité même s'ils sont commis à l'étranger.
Depuis 2005, la justice espagnole admet des procédures de ce type, même lorsque les victimes ne sont pas espagnoles. Le gouvernement socialiste voudrait gommer cet aspect pour ne retenir que des procédures concernant des victimes espagnoles, selon ABC.
La chef de la diplomatie israélienne, Tzipi Livni, a d'ailleurs indiqué vendredi que son homologue espagnol Miguel Angel Moratinos lui avait assuré que
que le gouvernement espagnol avait "décidé d'amender la loi dès que possible afin d'empêcher d'autres procédures judiciaires de ce type, y compris contre Israël".
Le juge madrilène Fernando Andreu avait jugé jeudi recevable une plainte du Centre palestinien pour les droits de l'Homme sur le bombardement qui avait tué
un dirigeant du Hamas, Salah Chehadeh et 14 civils palestiniens, "en majorité
des enfants et des bébés", le 22 juillet 2002.
Quelque 150 Palestiniens avaient également été blessés pendant cette attaque, par l'explosion d'une bombe d'une tonne larguée par un F-16 israélien
à Gaza, sur une maison du quartier Al Daraj.
Dimanche 01 Février 2009
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