Graves révélations sur les agissements passés d'Andrew Warren «Le chef d'antenne de la CIA écumait les mosquées radicales d'Alger»
Cet espion dont les dégâts laissés sur son sillage ne sont pas encore évalués, ne se serait donc pas contenté de draguer des filles algériennes avant de les droguer et de les violer pour des buts qui restent encore à déterminer.
Alors que le ministre de l'Intérieur a réagi au grave scandale qui vient de défrayer la chronique à propos de l'ancien chef d'antenne de la CIA en Algérie, des révélations troublantes nous ont été faites hier par des sources crédibles à propos des agissements de cet agent très spécial.
Il semble en effet que ce barbouze, auparavant chef d'antenne en Égypte, pays à partir duquel a démarré le mouvement international des frères musulmans de Hassan Al Banna, ait tout simplement fait semblant de s'être converti à l'islam dans le but d'approcher, voire d'infiltrer, les milieux islamistes radicaux.
C'est ainsi que nos sources se sont montrées catégoriques hier en nous affirmant qu' « Andrew Warren a été maintes fois aperçu durant les soirées de ramadhan passé, à peine quelques semaines avant son évacuation urgente vers son pays, au volant d'un véhicule de couleur verte, immatriculé auprès de l'ambassade US, écumant les mosquées situées entre El Harrach, Bourouba, Kouba (ancien fief d'Ali Benhadj), Bab El Oued, (son autre fief) et Aïn Benian ».
Ce n'est pas tout. Nos sources ajoutent que « le barbouze portait régulièrement un kamis et se mêlait aux groupes des islamistes portant quant à eux barbes et kamis « nisf essak», c'est-àdire salafistes ».
Nos sources, en nous faisant ces révélations, se sont ainsi demandé « si ce barbouze n'est pas plutôt un agent double puisque ce comportement est assimilable à celui des éléments surentraînés du Mossad ».
Preuve en est que l'agent Andrew Warren, qui « entretenait par ailleurs des relations très poussées avec de supposés journalistes experts en matière d'islamisme et de terrorisme, allait jusqu'à donner le change en faisant la prière avec ses futures victimes ». L'agent ne révélait certainement pas à ces milieux islamistes vulnérables qui il était.
Il devait se faire passer, très certainement, pour un homme d'affaires, ou autre, touché par la grâce divine, désirant plus que tout servir les causes des islamistes… et plus si affinité. Nos sources nous expliquent à ce propos que « les milieux islamistes algériens de Londres avaient eux aussi été infiltrés par le Mossad du temps où le GIA commençait à poindre.
C'est à la suite de la propagande menée par ces agents doubles que ces groupes terroristes sanguinaires ont pu bénéficier de soutiens financiers, logistiques et même politiques jusqu'à ce qu'adviennent les tristement célèbres attentats du 11 septembre 2001 ». Andrew Warren semblait ainsi se trouver en Algérie pour accomplir des missions bien précises.
Jusqu'où a-t-il « réussi » dans ses missions ? La question mérite d'être posée pour qui connaît la pugnacité et le nationalisme de tous les Algériens, mais aussi la légendaire efficacité de nos services chargés du contreespionnage.
Pour revenir à l'affaire des deux filles violées et filmées par cet agent après avoir été droguées en son domicile, nous apprenons que l'une d'elle est désormais porteuse de la nationalité allemande, alors que la seconde est mariée à un journaliste espagnol, et vit très probablement avec lui dans le pays ibérique.
L'identité, ni aucun autre détail, de ces deux filles n'ont en outre été révélés. Reste à espérer que les autorités américaines, sur la base des plaintes et des accablantes preuves retrouvées au domicile algérois du « prévenu » n'étoufferont pas ce scandale et pousseront cette enquête aussi loin que nécessaire.
Outre une douzaine de cassettes contenant les enregistrements de filles (algériennes et égyptiennes) droguées en train de se faire violer, les enquêteurs ont également découvert du Xalac et du Valium, deux produits assez régulièrement utilisés par les maniaques sexuels, mais aussi les agents secrets désirant compromettre des jeunes filles dans le but de les faire chanter et de les recruter.
Des observateurs, qui rappellent en outre que le scandale a éclaté à partir des USA, se demandent si cela n'est pas lié au changement intervenu à la tête de la CIA à la suite de l'élection d'un nouveau président américain porteur d'un programme rénové dans les relations de Washington avec les mondes arabe et musulman. Par de-là cette lecture de premier niveau, la lecture de second degré est toute autre.
Il est connu que la CIA a toujours « cautionné » ce modus operandi. Nous savons par contre qu'un agent démasqué est automatiquement lâché par son « Agence » bien avant que celle-ci ne soit interpellée et contrainte de s'expliquer.
Cet espion dont les dégâts laissés sur son sillage ne sont pas encore évalués, ne se serait donc pas contenté de draguer des filles algériennes avant de les droguer et de les violer pour des buts qui restent encore à déterminer.
Alors que le ministre de l'Intérieur a réagi au grave scandale qui vient de défrayer la chronique à propos de l'ancien chef d'antenne de la CIA en Algérie, des révélations troublantes nous ont été faites hier par des sources crédibles à propos des agissements de cet agent très spécial.
Il semble en effet que ce barbouze, auparavant chef d'antenne en Égypte, pays à partir duquel a démarré le mouvement international des frères musulmans de Hassan Al Banna, ait tout simplement fait semblant de s'être converti à l'islam dans le but d'approcher, voire d'infiltrer, les milieux islamistes radicaux.
C'est ainsi que nos sources se sont montrées catégoriques hier en nous affirmant qu' « Andrew Warren a été maintes fois aperçu durant les soirées de ramadhan passé, à peine quelques semaines avant son évacuation urgente vers son pays, au volant d'un véhicule de couleur verte, immatriculé auprès de l'ambassade US, écumant les mosquées situées entre El Harrach, Bourouba, Kouba (ancien fief d'Ali Benhadj), Bab El Oued, (son autre fief) et Aïn Benian ».
Ce n'est pas tout. Nos sources ajoutent que « le barbouze portait régulièrement un kamis et se mêlait aux groupes des islamistes portant quant à eux barbes et kamis « nisf essak», c'est-àdire salafistes ».
Nos sources, en nous faisant ces révélations, se sont ainsi demandé « si ce barbouze n'est pas plutôt un agent double puisque ce comportement est assimilable à celui des éléments surentraînés du Mossad ».
Preuve en est que l'agent Andrew Warren, qui « entretenait par ailleurs des relations très poussées avec de supposés journalistes experts en matière d'islamisme et de terrorisme, allait jusqu'à donner le change en faisant la prière avec ses futures victimes ». L'agent ne révélait certainement pas à ces milieux islamistes vulnérables qui il était.
Il devait se faire passer, très certainement, pour un homme d'affaires, ou autre, touché par la grâce divine, désirant plus que tout servir les causes des islamistes… et plus si affinité. Nos sources nous expliquent à ce propos que « les milieux islamistes algériens de Londres avaient eux aussi été infiltrés par le Mossad du temps où le GIA commençait à poindre.
C'est à la suite de la propagande menée par ces agents doubles que ces groupes terroristes sanguinaires ont pu bénéficier de soutiens financiers, logistiques et même politiques jusqu'à ce qu'adviennent les tristement célèbres attentats du 11 septembre 2001 ». Andrew Warren semblait ainsi se trouver en Algérie pour accomplir des missions bien précises.
Jusqu'où a-t-il « réussi » dans ses missions ? La question mérite d'être posée pour qui connaît la pugnacité et le nationalisme de tous les Algériens, mais aussi la légendaire efficacité de nos services chargés du contreespionnage.
Pour revenir à l'affaire des deux filles violées et filmées par cet agent après avoir été droguées en son domicile, nous apprenons que l'une d'elle est désormais porteuse de la nationalité allemande, alors que la seconde est mariée à un journaliste espagnol, et vit très probablement avec lui dans le pays ibérique.
L'identité, ni aucun autre détail, de ces deux filles n'ont en outre été révélés. Reste à espérer que les autorités américaines, sur la base des plaintes et des accablantes preuves retrouvées au domicile algérois du « prévenu » n'étoufferont pas ce scandale et pousseront cette enquête aussi loin que nécessaire.
Outre une douzaine de cassettes contenant les enregistrements de filles (algériennes et égyptiennes) droguées en train de se faire violer, les enquêteurs ont également découvert du Xalac et du Valium, deux produits assez régulièrement utilisés par les maniaques sexuels, mais aussi les agents secrets désirant compromettre des jeunes filles dans le but de les faire chanter et de les recruter.
Des observateurs, qui rappellent en outre que le scandale a éclaté à partir des USA, se demandent si cela n'est pas lié au changement intervenu à la tête de la CIA à la suite de l'élection d'un nouveau président américain porteur d'un programme rénové dans les relations de Washington avec les mondes arabe et musulman. Par de-là cette lecture de premier niveau, la lecture de second degré est toute autre.
Il est connu que la CIA a toujours « cautionné » ce modus operandi. Nous savons par contre qu'un agent démasqué est automatiquement lâché par son « Agence » bien avant que celle-ci ne soit interpellée et contrainte de s'expliquer.
Mohamed Abdoun
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