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Un dessin
J’ai pris le vent et la tempête,
Caressé l’hiver et ses défaites,
Marché seule au long des falaises,
Crier : « Je t’aime » sans que sa m’apaise.
J’ai regardé des navires s’éloigner,
Entendu le cris du ciel gronder,
Vu des nuages entre eux s’épouser,
Laissé les sifflements du vent me bercer.
J’ai pensé à toi en apercevant cette vague,
Qui s’est arrêtée à mes pieds en traînant ses algues,
J’ai pensé à toi et continué à marcher,
Sur ce sable humide de cette plage désertée.
Je me suis arrêté devant un rocher un instant,
Que j’ai regardé pendant un moment,
Je lui ai souri, car je crois qu’il m’a compris,
« Tu voudrais qu’elle soit là » m’a t’il dit !
04 décembre 1998
J’ai pris le vent et la tempête,
Caressé l’hiver et ses défaites,
Marché seule au long des falaises,
Crier : « Je t’aime » sans que sa m’apaise.
J’ai regardé des navires s’éloigner,
Entendu le cris du ciel gronder,
Vu des nuages entre eux s’épouser,
Laissé les sifflements du vent me bercer.
J’ai pensé à toi en apercevant cette vague,
Qui s’est arrêtée à mes pieds en traînant ses algues,
J’ai pensé à toi et continué à marcher,
Sur ce sable humide de cette plage désertée.
Je me suis arrêté devant un rocher un instant,
Que j’ai regardé pendant un moment,
Je lui ai souri, car je crois qu’il m’a compris,
« Tu voudrais qu’elle soit là » m’a t’il dit !
04 décembre 1998
encore bien vue 
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