SNTF Deux essais ont déjà été effectuésBéjaïa - Alger en 3h et 31 mnD’ici très peu de temps, Alger deviendra proche de Béjaïa de trois heures 31 minutes seulement par autorail.
C’est ce qu’à déclaré mercredi dernier lors d’une conférence de presse M. Rachedi, chef de gare de Béjaïa. La date de la mise en circulation de l’autorail n’est pas encore connue. Deux essais de la ligne Béjaïa - Alger ont été effectués en présence du P-DG de la SNTF, Mourad Benameur, le premier remonte à une semaine et le second à mardi dernier.
Le défi de trois heures trente et une minutes n’a malheureusement pas été relevé, mais le trajet a quand même été réalisé en moins de quatre, soutient fermement M. Rachedi.
D’une capacité de 199 places assises et de 160 autres debout, cet autorail motorisé d’avant et à l’arrière avec possibilité de jumelage avec un autre pour doubler sa capacité est lit-on dans ce prospectus publicitaire de l’autorail, moderne, rapide, confortable, climatisé et silencieux. Il assurera deux départs et deux arrivées par jour et desservira les gars importantes entre Alger et Béjaïa, c’est-à-dire Boumerdès, Bouira, Beni Masour, Akbou et Sidi Aïch.
Les horaires des départs et des arrivées qui sont du ressort exclusifs des services centraux d’Alger ne sont pas encore fixés. S’agissant de la capacité des rails, les responsables de la gare de Béjaïa ont indiqué que pour ce qui est des tronçons entre Béjaïa et El Kseur et Sidi Aïch et Oghzer Amokrane, soit une distance totale de 42 km, les voies et les appareils de voie ont été renouvelés. De même, il y a eu l’installation de S/Trails dans les passages à niveaux importants pour permettre aux automobiliste de traverser facilement les rails. Avec ces atouts, que sont la vitesse, la sécurité, le confort et le fait que l’autorail dépose ses voyageurs à Alger-Centre et non au Caroubier d’où il faudrait encore trouver un autre moyen de transport pour continuer jusqu’à Alger Centre, les responsables de la SNTF comptent reconquérir les voyageurs qui les ont quittés depuis longtemps au profit des cars plus rapides et plus conviviaux que le vieux train qui n’attend Alger cahin-caha qu’au beau milieu de l’après-midi.
Ainsi, si l’autorail respecte ses promesses, il ne restera du train traditionnel et aux cars que la prise en charge des voyageurs des petites villes où l’autorail ne s’arrête pas. Quant à l’électrification de la voie ferrée dont la rumeur publique fait état, les responsables indiquent que celle-ci est au stade de projets réalisables à moyen terme.
C’est ce qu’à déclaré mercredi dernier lors d’une conférence de presse M. Rachedi, chef de gare de Béjaïa. La date de la mise en circulation de l’autorail n’est pas encore connue. Deux essais de la ligne Béjaïa - Alger ont été effectués en présence du P-DG de la SNTF, Mourad Benameur, le premier remonte à une semaine et le second à mardi dernier.
Le défi de trois heures trente et une minutes n’a malheureusement pas été relevé, mais le trajet a quand même été réalisé en moins de quatre, soutient fermement M. Rachedi.
D’une capacité de 199 places assises et de 160 autres debout, cet autorail motorisé d’avant et à l’arrière avec possibilité de jumelage avec un autre pour doubler sa capacité est lit-on dans ce prospectus publicitaire de l’autorail, moderne, rapide, confortable, climatisé et silencieux. Il assurera deux départs et deux arrivées par jour et desservira les gars importantes entre Alger et Béjaïa, c’est-à-dire Boumerdès, Bouira, Beni Masour, Akbou et Sidi Aïch.
Les horaires des départs et des arrivées qui sont du ressort exclusifs des services centraux d’Alger ne sont pas encore fixés. S’agissant de la capacité des rails, les responsables de la gare de Béjaïa ont indiqué que pour ce qui est des tronçons entre Béjaïa et El Kseur et Sidi Aïch et Oghzer Amokrane, soit une distance totale de 42 km, les voies et les appareils de voie ont été renouvelés. De même, il y a eu l’installation de S/Trails dans les passages à niveaux importants pour permettre aux automobiliste de traverser facilement les rails. Avec ces atouts, que sont la vitesse, la sécurité, le confort et le fait que l’autorail dépose ses voyageurs à Alger-Centre et non au Caroubier d’où il faudrait encore trouver un autre moyen de transport pour continuer jusqu’à Alger Centre, les responsables de la SNTF comptent reconquérir les voyageurs qui les ont quittés depuis longtemps au profit des cars plus rapides et plus conviviaux que le vieux train qui n’attend Alger cahin-caha qu’au beau milieu de l’après-midi.
Ainsi, si l’autorail respecte ses promesses, il ne restera du train traditionnel et aux cars que la prise en charge des voyageurs des petites villes où l’autorail ne s’arrête pas. Quant à l’électrification de la voie ferrée dont la rumeur publique fait état, les responsables indiquent que celle-ci est au stade de projets réalisables à moyen terme.
B. Mouhoub
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