Première partie
Une partie de l’électorat américain sera surprise lorsqu’elle découvrira qu’elle n’a pas voté pour un noir ( en réalité métis) mais pour un blond qui n’a rien à voir avec ce « changement historique » promis lors de la campagne ; c’est même tout le contraire.
L’échange du noir ( Obama, président en titre élu) contre le blond ( Clinton, le pouvoir politique dans l’ombre) s’est d’ores et déjà transformé en une instance historique révélatrice inédite de la composition clairement « judéo-sioniste » du pouvoir impérial qui se trouvait jusqu’alors dissimulée derrière une fausse alternance de démocrates et républicains dans la gérance de la Maison blanche.
La réalité est accablante. La majorité des fonctionnaires qui vont intégrer le cabinet Obama sont des acteurs reconnus du lobby sioniste financier juif de New York et appartenaient au gouvernement de l’ex président Clinton. A présent, la composition exclusivement « clintonienne » de l’équipe d’Obama sonne déjà tel un scandale dans les cercles de pouvoir à Washington, bien que la presse américaine fasse « celle qui ne comprend pas » et préfère parler de « défi » que devra surmonter le président élu face à la crise financière.
Comme un goût de Clinton
En examinant de plus près la liste des nouveaux membres de l’équipe du gouvernement du président élu des Etats-Unis, Barack Obama, on se rend compte que la quasi-totalité des nommés ont une relation avec l’administration de l’ex-président Bill Clinton (1993-2001), affirme la chaîne britannique BBC, premier média international qui montre la future présidence d’Obama comme un « recyclage » de l’ère « clintonienne ».
Janet Napolitano, (sioniste pro-Israël de la lignée de Nancy Peloso, présidente de la Chambre des Représentants), gouverneur de l’Arizona, certainement remplaçante de Michael Chertoff au département de la Sécurité Nationale, fut nommée par Clinton à son premier poste politique en 1993 et Greg Craig, prochain avocat de la Maison Blanche, défendit avec succès le président lors de son procès de destitution suite au scandale Monica Lewinsky.
Un des principaux conseillers de Clinton, David Axelrod, occupera le même poste que celui qu’occupait Karl Rove jusqu’il y a quelques mois dans l’administration républicaine et grâce auquel il gagna le quolibet de « cerveau » de Bush.
Lors d’une conférence de presse à Chicago, Obama annonça la nomination de Peter Orszag comme directeur du bureau des budgets de la Maison blanche. Orszag, 39 ans, était jusqu’alors directeur du bureau de la gestion du budget du congrès et fut conseiller de l’ex président Bill Clinton. La BBC affirme que nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Obama recherche autant de « Clintonistes recyclés », y compris une Clinton en chair et en os, après deux ans de campagne contre la « culture politique de Washington » et après une bataille féroce contre la sénatrice Hillary Clinton.
En réalité (et selon l’information qui circule à Wasington) Obama n’a pas voté pour Clinton ( le mari de sa rivale pendant les présidentielles) mais il obéit au lobby sioniste libéral qui finança sa campagne et fit de lui le « phénomène Obama ».
Une partie de l’électorat américain sera surprise lorsqu’elle découvrira qu’elle n’a pas voté pour un noir ( en réalité métis) mais pour un blond qui n’a rien à voir avec ce « changement historique » promis lors de la campagne ; c’est même tout le contraire.
L’échange du noir ( Obama, président en titre élu) contre le blond ( Clinton, le pouvoir politique dans l’ombre) s’est d’ores et déjà transformé en une instance historique révélatrice inédite de la composition clairement « judéo-sioniste » du pouvoir impérial qui se trouvait jusqu’alors dissimulée derrière une fausse alternance de démocrates et républicains dans la gérance de la Maison blanche.
La réalité est accablante. La majorité des fonctionnaires qui vont intégrer le cabinet Obama sont des acteurs reconnus du lobby sioniste financier juif de New York et appartenaient au gouvernement de l’ex président Clinton. A présent, la composition exclusivement « clintonienne » de l’équipe d’Obama sonne déjà tel un scandale dans les cercles de pouvoir à Washington, bien que la presse américaine fasse « celle qui ne comprend pas » et préfère parler de « défi » que devra surmonter le président élu face à la crise financière.
Comme un goût de Clinton
En examinant de plus près la liste des nouveaux membres de l’équipe du gouvernement du président élu des Etats-Unis, Barack Obama, on se rend compte que la quasi-totalité des nommés ont une relation avec l’administration de l’ex-président Bill Clinton (1993-2001), affirme la chaîne britannique BBC, premier média international qui montre la future présidence d’Obama comme un « recyclage » de l’ère « clintonienne ».
Janet Napolitano, (sioniste pro-Israël de la lignée de Nancy Peloso, présidente de la Chambre des Représentants), gouverneur de l’Arizona, certainement remplaçante de Michael Chertoff au département de la Sécurité Nationale, fut nommée par Clinton à son premier poste politique en 1993 et Greg Craig, prochain avocat de la Maison Blanche, défendit avec succès le président lors de son procès de destitution suite au scandale Monica Lewinsky.
Un des principaux conseillers de Clinton, David Axelrod, occupera le même poste que celui qu’occupait Karl Rove jusqu’il y a quelques mois dans l’administration républicaine et grâce auquel il gagna le quolibet de « cerveau » de Bush.
Lors d’une conférence de presse à Chicago, Obama annonça la nomination de Peter Orszag comme directeur du bureau des budgets de la Maison blanche. Orszag, 39 ans, était jusqu’alors directeur du bureau de la gestion du budget du congrès et fut conseiller de l’ex président Bill Clinton. La BBC affirme que nombreux sont ceux qui se demandent pourquoi Obama recherche autant de « Clintonistes recyclés », y compris une Clinton en chair et en os, après deux ans de campagne contre la « culture politique de Washington » et après une bataille féroce contre la sénatrice Hillary Clinton.
En réalité (et selon l’information qui circule à Wasington) Obama n’a pas voté pour Clinton ( le mari de sa rivale pendant les présidentielles) mais il obéit au lobby sioniste libéral qui finança sa campagne et fit de lui le « phénomène Obama ».
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