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Encouragement du retour des enseignants universitaires algériens de l'étranger

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  • Encouragement du retour des enseignants universitaires algériens de l'étranger

    Encouragement du retour des enseignants universitaires algériens de l'étranger (ministre)


    MASCARA- Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Rachid Haraoubia a indiqué jeudi à Mascara que la loi relative à l'enseignant universitaire vise à encourager les professeurs algériens établis à l'étranger à retourner au pays et à enseigner dans les universités algériennes. Intervenant dans un point de presse au terme d'une visite d'inspection d'infrastructures relevant de son département ministériel, M. Rachid Haraoubia a souligné que le règlement régissant cette profession prend en considération les années d'ancienneté accumulées à l'étranger, tout en garantissant l'ensemble des droits et accordant tous les avantages déjà acquis.
    [Aps 6/2/09]

  • #2
    ce serait difficile l'ami, ils se sont accoutumés a un mode de vie et surtout a des salaires qui n'ont rien a voir avec l'algerie.
    le il est plus judicieux de concentrer les efforts de l’etat pour maintenir ceux qui sont algerie et d'assurer qu’ils ne partent pas eux aussi.
    [FONT='Verdana','sans-serif'] [/FONT]

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    • #3
      pfff ce harroubia que des paroles !!!
      ils va les payer comment ?? en leur donnant l'equivalent de 3000 euro ??? va t ils leur garantir un logement??? et tout les commodités qu'ils n'ont pas pu trouver dans leur pays et qu'ils ont a l'etranger ??? je ne pense pas MR harroubia qu'il reviendront surtout pour vos belles paroles
      PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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      • #4
        hahahaha
        alors qu'une personne ayant le titre de professeur est payé 11 million cm ( 1000 euro )
        moi je dit rouh tourgoud !
        وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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        • #5
          MDR!
          Non les algériens établis à l'étranger ne pensent pas qu'à l'argent.
          A l'étranger, les enseignants sont aussi chercheurs.
          Et quand tu travailles dans un environnement telle que le CERN par ex, t'as aucune envie de revenir en Algérie pour te faire ***** avec cette absence totalement d'investissements dans des moyens de recherche et c'est bien légitime.
          Qu'est-ce qu'ils attendent pour mettre les fameux "3 milliards dollars" dans la recherche ?

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          • #6
            oui mais la grande question reste de les bien payer, il n'y a pas de secret

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            • #7
              Bonsoir,

              Hormis les équivalences qu'il annonce régler (c'est déjà bien), il n'annonce pas d'autres mesures. Ce qui fait que ça restera insuffisant.
              Avant de penser à faire revenir ceux qui sont partis, il faudra penser à insérer ceux qui sont sur place. Agrandir les Universités, revoir le système absurde du bac jetable, faire en sorte que les étudiants puissent suivre le cursus qu'ils veulent, quitte à installer un concours en première année...
              ça me rappelle un prof français (important) qui était venu donner une série de cours à Alger (payé rubis sur ongle): il a eu l'honnêteté de dire après quelques cours: je suis désolé, mon aide n'est pas utile: les étudiants ont de très grandes lacunes et pas de moyen d'accéder aux ressources bibliographiques. Vous n'avez pas besoin d'un Professeur pour ce travail, juste d'un chargé de cour motivé.
              Sa réaction a beaucoup choqué les étudiants, mais personnellement je la trouve honnête.


              ce serait difficile l'ami, ils se sont accoutumés a un mode de vie et surtout a des salaires qui n'ont rien a voir avec l'algerie.
              Ce n'est même pas une question d'argent, c'est une question de moyen de recherche. Les bibliothèques universitaires sont faméliques, certaines spécialités sont déconnectées du réseau mondial de recherche et vraie ou fausse, il reste dans la tête des chercheurs exilés l'image du chercheur algérien qui s'ennuie derrière un bureau au lieu de travailler...
              Je ne jette la pierre à qui que ce soit, mais on est quand même l'un des rares pays au monde à avoir des professeurs exerçant depuis plus 30 ans qui n'ont produit aucun livre et qui recycle d'années en années les mêmes cours depuis des décennies...

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              • #8
                Ce n'est même pas une question d'argent
                Si si detrompe toi l'ami c'est la plus grande motivation et la plus part des gens rencontré te parleront en premier lieux de ce point la si ils sont assez honnetes .
                c'est une question de moyen de recherche
                entre autre faut aussi rajouter une ambiance de travail saine et sans politique a 2 balle melangé a a l'enseignement et a la recherche universitaire.
                Pour le niveau en francais c'est comprehensible, car jusqu'a la fin du cursus secondaire c'est en arabe!!!!! comment voulez vous apres les adapter au francais a l'université ???? inconcevable sauf dans la tete de nos deux cheres lumiere BENBOUZID et HARRAOUBIA !!! mais apres allez savoir pourquoi eux leurs enfants fonts leurs etudes a l'etranger et payé j'imagine par les frais de la princesse
                PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.

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                • #9
                  tu peux attendre monn ami
                  Il n’ existe que deux choses infinies
                  L’univers et la bêtise humaine
                  Mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue

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                  • #10
                    Bonne initiative, mais la question que je pose est "est ce que M. Rachid Haraoubia peut ceder sa place a un algérien plus compétant que lui qui vient de rentrer de l'étranger? la réponse est non" c'est le probleme en algérie si on fait appelle a des compétances pour les fait dirigé par des BAC-10 non merci, ils préfèrent de rester la ou ils sont installés.
                    If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
                    You have to have a dream so you can get up in the morning....

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                    • #11
                      Je suis chercheur taurus, donc je vais me permettre de te réponde:
                      1. l'argent n'est pas tout, mais une partie. Comment veux tu travailler, quand le jours où tu as publié encore une fois dans une grande conférence IEEE et qu'on accepte pas de te payer le billet d'avion sous pretexte que tu es deja parti cette même année participer à une autre conf (on te paye le deplacement qu'une seule fois par ans).
                      2. Quand un député qui ne fait rien, est payé au moins 300 000 Da/mois, je ne vois pas prq un chercheur ne le serai pas. Après tout il est aussi un ambassadeur du savoir Algériens.
                      3. En Algérie, Un minuisier ou un bon charpentié gagne mieux sa vie qu'un chercheur. Je suis contant pour eux, mais si je l'avais su, je n'aurai pas poussé mes études aussi loin.
                      4. Nos gouvernant, disent qu'il veulent qu'on reviennent, mais au fond il ne le veulent pas. y'a qu'à voir avec quel mepris ils traitent les chercheurs qui sont encore en Algerie.
                      Voilà,

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                      • #12
                        Bonne initiative, mais la question que je pose est "est ce que M. Rachid Haraoubia peut ceder sa place a un algérien plus compétant que lui qui vient de rentrer de l'étranger? la réponse est non" c'est le probleme en algérie si on fait appelle a des compétances pour les fait dirigé par des BAC-10 non merci, ils préfèrent de rester la ou ils sont installés.
                        Bien résumé. Quoique j'en connais aussi qui sont rentré, au début c'était dur pour eux de trouver la place qu'ils méritent de part leurs acquis, mais surtout un d'eux, il s'est montré assez tenace pour arracher sa place et ainsi mettre son expérience au profil des nouvelles générations.

                        C'est vrai que c'est dur mais je me rappelle tjrs de cette phrase qu'il nous a dis lors d'un cours.. c'était un prof de physique qui nous faisais un cours d'anglais technique en 5 eme année car il a fait ses etudes sup en anglettere. Il nous a dis j'ai ma place labas mais j'ai arraché ma place ici, c'est mon pays et c'est ici que je veux vivre, et personne ne m'empechera!.

                        La conclusion, il ne faut pas se laisser faire, abondoner au premier obstacle. Et un jour ça changera s'il y a assez de volonté de forcer ce changement.
                        Tadjére ouala Hadjére ouala rédjline Madjer...

                        Vive Tayri, Vive JSK

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                        • #13
                          Moha

                          Un autre sujet parle du malheur que vivent les universitaires algériens en algérie, avec 600 intoxications. Je vous laisse faire le lien. L'hypocrisie du pouvoir est flagrante. En réalité il fait semblant de lancer des appels, mais les universitaires qui y répondent ne sont plus considérés dès qu'ils foulent houari boumediene.

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                          • #14
                            MDR!
                            Non les algériens établis à l'étranger ne pensent pas qu'à l'argent.
                            A l'étranger, les enseignants sont aussi chercheurs.
                            Ceux qui suivent l'actualité internationale , savent trés bien que les enseignants-chercheurs en France n'ont pas l'air d'etre MDR...
                            Compte rendu
                            Succès de la mobilisation des enseignants-chercheurs

                            LE MONDE | 06.02.09 | 14h40 • Mis à jour le 06.02.09 | 14h40

                            La première journée d'action lancée par la coordination nationale des universités pour protester, notamment, contre la réforme du statut des enseignants-chercheurs a été un succès, jeudi 5 février. Plus de 50 000 personnes (enseignants, personnels, étudiants), selon le Snesup-FSU, le syndicat majoritaire chez les universitaires, et 36 000, selon la police, ont manifesté dans toute la France.
                            More
                            Dernière modification par DZone, 07 février 2009, 15h17.

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                            • #15
                              Une direction pour convaincre l'élite nationale établie à l'étranger

                              par Belaïfa Djamel

                              Une direction générale de la recherche scientifique a été créée pour établir le contact avec l'élite nationale se trouvant à l'étranger et faciliter son retour au pays et une commission nationale est en cours d'installation dans ce sens. C'est ce qu'a annoncé jeudi le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia.

                              Intervenant lors d'un point de presse au terme d'une visite d'inspection d'infrastructures relevant de son département ministériel à Mascara, le ministre a indiqué que cette commission sera chargée de la coordination entre les universités étrangères de par le monde et les universités algériennes, dans la perspective d'impliquer les professeurs algériens à l'étranger aux efforts de recherches, notamment dans les laboratoires, et ouvrir ensuite des instituts pour toutes spécialités confondues au sein des universités algériennes. M. Harraoubia estime en outre qu'il est possible que les professeurs algériens établis à l'étranger participent même de loin au développement des recherches scientifiques dans nos universités. Le ministre a saisi cette opportunité pour rappeler que la loi relative à l'enseignant universitaire vise à encourager les professeurs algériens établis à l'étranger à retourner au pays et à enseigner dans les universités algériennes. «Le règlement régissant cette profession prend en considération les années d'ancienneté accumulées à l'étranger, tout en garantissant l'ensemble des droits et accordant tous les avantages déjà acquis», souligne M. Harraoubia. Le ministre s'est ensuite exprimé sur l'application du système LMD en Algérie, précisant à ce titre qu'il a été adopté par les universités algériennes pour être au diapason de l'évolution opérée dans le monde. Ce système, dira-t-il, permettra de doter l'étudiant de tous les moyens technologiques à même de lui assurer une meilleure formation universitaire et lui favoriser une compétence certaine, contrairement à l'ancien système qui nécessitait, une fois l'étudiant diplômé, une période de formation pour son perfectionnement.

                              A partir de Saïda où il s'est également rendu pour une visite d'inspection, le ministre a indiqué que son secteur s'oriente vers la création de pôles universitaires d'excellence prenant en considération les spécificités socio-économiques de chaque région. M. Rachid Harraoubia a souligné que cela s'opérera en se basant sur le système LMD qui répond aux exigences de l'environnement socio-économique et forme des cadres compétents. Par ailleurs, en marge d'une cérémonie organisée à l'occasion de la promotion du centre universitaire de Saïda récemment au rang d'université, le ministre a souligné que cette promotion s'est opérée conformément à des normes bien précises que le centre a pu remplir, notamment pour ce qui est de la disponibilité de structures pédagogiques, d'infrastructures et d'équipements modernes, en plus du niveau de l'encadrement universitaire.

                              La délégation ministérielle a inspecté, lors de cette visite de travail, plusieurs chantiers de réalisation. Avant de clore sa visite, le ministre a insisté auprès des responsables de l'entreprise chinoise chargée du projet sur la nécessité d'achever les travaux avant le mois de juin prochain, pour qu'il soit opérationnel en prévision de la rentrée universitaire 2009-2010. Le taux d'avancement des travaux de réalisation oscille actuellement entre 75 et 80%.

                              Le Quotidien d'Oran

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