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Un rassemblement pour ne pas oublier la bande de Gaza
Article du samedi 7 février 2009
À l’appel de l’association France Palestine solidarité, de partis politiques et associations (PC, NPA, Attac, CCFD, Renaissance…), quelque 150 manifestants ont bravé la pluie diluvienne pour se rassembler hier en fin d’après-midi devant l’hôtel de ville de Bourg.
« Gaza blocus », « Gaza doit vivre »… Derrière les banderoles, de petites bougies vacillent mais résistent à l’averse. « Un double symbole » pour le président d’AFPS Joseph Convert. « Les flammes rappellent qu’il y a eu beaucoup de morts. Elles représentent aussi l’espoir qui ne doit pas s’éteindre. »
Plusieurs témoignages le portent et alertent sur la situation dans la bande de Gaza. Celui du député européen Francis Wurtz qui en revient, ou la lettre de Salah Hamouri, le jeune Français palestinien emprisonné en Israël.
« L’armée israélienne s’est retirée, mais les gens sont toujours bloqués », estime Joseph Convert. « Ils doivent gérer les deuils, les blessés, les malades, les destructions, la précarité… Pour eux, la situation est pire qu’avant. »
leprogres.fr
À l’appel de l’association France Palestine solidarité, de partis politiques et associations (PC, NPA, Attac, CCFD, Renaissance…), quelque 150 manifestants ont bravé la pluie diluvienne pour se rassembler hier en fin d’après-midi devant l’hôtel de ville de Bourg.
« Gaza blocus », « Gaza doit vivre »… Derrière les banderoles, de petites bougies vacillent mais résistent à l’averse. « Un double symbole » pour le président d’AFPS Joseph Convert. « Les flammes rappellent qu’il y a eu beaucoup de morts. Elles représentent aussi l’espoir qui ne doit pas s’éteindre. »
Plusieurs témoignages le portent et alertent sur la situation dans la bande de Gaza. Celui du député européen Francis Wurtz qui en revient, ou la lettre de Salah Hamouri, le jeune Français palestinien emprisonné en Israël.
« L’armée israélienne s’est retirée, mais les gens sont toujours bloqués », estime Joseph Convert. « Ils doivent gérer les deuils, les blessés, les malades, les destructions, la précarité… Pour eux, la situation est pire qu’avant. »
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