Pourquoi un troisième mandat ?
La question mérite d’être posée : Pourquoi l’actuel président veut-il être réélu ?
En briguant un 3è mandat, Bouteflika s’expose à des critiques de partout : de son peuple qui l’a gratifié de sa confiance au moins lors de son 1er mandat, de ses collaborateurs qui pourraient ne pas comprendre sa démarche, des observateurs étrangers qui ne manqueront pas de le comparer à juste titre à Mugabe.
Il est obligé de modifier la Constitution et d’invoquer une raison qui ne convainc pas les plus débiles : permettre au peuple d’exprimer sa volonté. Cette grossière supercherie n’est pas pour rehausser le prestige d’un homme politiquement condamné à très court terme.
Son état de santé est des plus préoccupants et une campagne présidentielle nécessite un minimum d’efforts qu’il n’est pas en mesure de fournir. Il court le risque de montrer des signes de faiblesse physique qui nuiront d’avantage à son obstination.
Et quand bien même il serait réélu sans problème, il ne sera jamais en mesure de diriger un gouvernement d’abord à cause de sa maladie, mais aussi du manque de crédibilité que sa réélection ne manquera pas de susciter.
Le Président veut-il rester par soif du pouvoir ?
Pense t-il être le seul à garantir le développement du Pays et la paix civile ? Veut-il achever ce qu’il pense avoir bien entrepris ?
Espère t-il une amélioration de son état de santé ?
S’il voulait vraiment le bien de l’Algérie, n’aurait-il pas mieux fait de renforcer les bases démocratiques et permettre à des hommes valables de postuler à la Présidence du Pays ?
«La main de l’étranger » intervient-elle dans la réélection de Bouteflika ?
Agit-il sous l’influence ou sous les ordres d’un groupe d’hommes forts qui détiennent le vrai Pouvoir, et qui ne permettront jamais ni aux démocrates, ni aux islamistes de les en priver ?
Et dans ce dernier cas, que se passera t-il après s'il venait à disparaître ?
La question mérite d’être posée : Pourquoi l’actuel président veut-il être réélu ?
En briguant un 3è mandat, Bouteflika s’expose à des critiques de partout : de son peuple qui l’a gratifié de sa confiance au moins lors de son 1er mandat, de ses collaborateurs qui pourraient ne pas comprendre sa démarche, des observateurs étrangers qui ne manqueront pas de le comparer à juste titre à Mugabe.
Il est obligé de modifier la Constitution et d’invoquer une raison qui ne convainc pas les plus débiles : permettre au peuple d’exprimer sa volonté. Cette grossière supercherie n’est pas pour rehausser le prestige d’un homme politiquement condamné à très court terme.
Son état de santé est des plus préoccupants et une campagne présidentielle nécessite un minimum d’efforts qu’il n’est pas en mesure de fournir. Il court le risque de montrer des signes de faiblesse physique qui nuiront d’avantage à son obstination.
Et quand bien même il serait réélu sans problème, il ne sera jamais en mesure de diriger un gouvernement d’abord à cause de sa maladie, mais aussi du manque de crédibilité que sa réélection ne manquera pas de susciter.
Le Président veut-il rester par soif du pouvoir ?
Pense t-il être le seul à garantir le développement du Pays et la paix civile ? Veut-il achever ce qu’il pense avoir bien entrepris ?
Espère t-il une amélioration de son état de santé ?
S’il voulait vraiment le bien de l’Algérie, n’aurait-il pas mieux fait de renforcer les bases démocratiques et permettre à des hommes valables de postuler à la Présidence du Pays ?
«La main de l’étranger » intervient-elle dans la réélection de Bouteflika ?
Agit-il sous l’influence ou sous les ordres d’un groupe d’hommes forts qui détiennent le vrai Pouvoir, et qui ne permettront jamais ni aux démocrates, ni aux islamistes de les en priver ?
Et dans ce dernier cas, que se passera t-il après s'il venait à disparaître ?
Commentaire