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Combien sommes nous sur la terre? nous ne pourrons jamais donné une réponse exacte à cette question. Le nombre change chaque seconde. Ce qui est certain est que nus sommes plus de milliards de personnes.
Puis vient une autre question, la terre est-elle capable de nous nourir tous? la réponse est oui malgré le disparités entre pauvres et riches. Mais jusqu'à quand si nous tenons compte de la croissance démographique actuuelle.
De es deux constats, la solution parait évidente, nest ce pas? mais la limitation des naissances est-elle la solution. Décidemment,non. Aujourd'hui, dans certains pays, notamment ceux développés enregistrent des des baisses de natalités qui rend le renouvellment générationnel impossible. Puis, si nous analysant les économies modernes, presque toutes basées sur la croissance et rien que la croissance et s'inspirent toutes de la théorie kynésienne, la démographie autrement dit la profendeur du marché (nombre de consommateurs) est un facteur déterminant pour atteindre cet objetif.
Si nous rajoutons à celà, la pénurie de ressources et la pollution, nous devrions tirer la sonette d'alarme sur cette situation problématique.
Au final, nous revenons au piont de départ: constater les dégâts, voir la fin s'approcher et ne rien faire: vive le suicide collectif......
Puis vient une autre question, la terre est-elle capable de nous nourir tous? la réponse est oui malgré le disparités entre pauvres et riches. Mais jusqu'à quand si nous tenons compte de la croissance démographique actuuelle.
De es deux constats, la solution parait évidente, nest ce pas? mais la limitation des naissances est-elle la solution. Décidemment,non. Aujourd'hui, dans certains pays, notamment ceux développés enregistrent des des baisses de natalités qui rend le renouvellment générationnel impossible. Puis, si nous analysant les économies modernes, presque toutes basées sur la croissance et rien que la croissance et s'inspirent toutes de la théorie kynésienne, la démographie autrement dit la profendeur du marché (nombre de consommateurs) est un facteur déterminant pour atteindre cet objetif.
Si nous rajoutons à celà, la pénurie de ressources et la pollution, nous devrions tirer la sonette d'alarme sur cette situation problématique.
Au final, nous revenons au piont de départ: constater les dégâts, voir la fin s'approcher et ne rien faire: vive le suicide collectif......