C’est ce qui semble ressortir de la conférence de Munich où le président du Parlement iranien a fait l’objet d’une censure parce qu’il n’a pas dit ce que les Israéliens voulaient entendre.
Une polémique a éclaté avant-hier, à la Conférence sur la sécurité de Munich, à la suite de propos jugés par les Israéliens de négationnistes, tenus par Ali Larijani.
Le président du Parlement iranien a fait scandale en affirmant «ne pas pouvoir trancher si la Shoah a eu lieu ou non car il n’est pas historien».
Sa déclaration a été supprimée du site Internet de la conférence. Le député français Pierre Lellouche s’est senti obligé de tenir le crachoir à ses maîtres juifs. Il a vivement réagi, soulignant qu’en France, l’expression publique de tels propos est sanctionnée par la loi.
Depuis vendredi dernier, la 45e Conférence internationale sur la sécurité, organisée à Munich, dans le sud de l’Allemagne, a réuni les pays de l’Otan et la Russie.
L'Expression
Une polémique a éclaté avant-hier, à la Conférence sur la sécurité de Munich, à la suite de propos jugés par les Israéliens de négationnistes, tenus par Ali Larijani.
Le président du Parlement iranien a fait scandale en affirmant «ne pas pouvoir trancher si la Shoah a eu lieu ou non car il n’est pas historien».
Sa déclaration a été supprimée du site Internet de la conférence. Le député français Pierre Lellouche s’est senti obligé de tenir le crachoir à ses maîtres juifs. Il a vivement réagi, soulignant qu’en France, l’expression publique de tels propos est sanctionnée par la loi.
Depuis vendredi dernier, la 45e Conférence internationale sur la sécurité, organisée à Munich, dans le sud de l’Allemagne, a réuni les pays de l’Otan et la Russie.
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