Israël est engagé dans une longue guerre d'annihilation contre la société palestinienne. L'objectif est de détruire la Nation palestinienne, et de la ramener à des groupements pré-modernes fondés sur la tribu, le clan et l'enclave. Ceci est la dernière phase de la mission coloniale sioniste, culminant dans des villes, des camps, des villages, des districts, tous inaccessibles, entourés de murailles ou d'enceintes, et patrouillés par une armée puissante, qui, en l'absence d'un objectif militaire adéquat, est, en réalité, une force de police suréquipée, avec, à sa disposition, des avions F16, des hélicoptères Apache, des tanks, de l'artillerie, des unités de commandos, et un dispositif de surveillance de haute technologie. (Yitzhak Laor, écrivain israélien)
L'idéologie sioniste trouve ses racines profondes dans l'extrême Antiquité, d'où il tire sa sève nourricière comme son inspiration.
Malgré les assertions de ceux qui s'en réclament et en établissent l'incarnation dans l'Etat « ultramoderne » d'Israël, paré, suivant leurs descriptions, de toutes les vertus du « modernisme le plus avancé et le plus futuriste,» le Sionisme n'est rien d'autre qu'une idéologie passéiste et anachronique, utilisant, certes, des technologies de pointe pour imposer sa philosophie en banqueroute, car démodée, et dont l'ambition proclamée est de reproduire, en l'état, et dans le moindre de ses détails, sauf, évidement ceux qui tiennent à ses instruments de mort, un monde révolu depuis des millénaires, et de faire revivre le fanatisme et la barbarie de ce monde, dont il ne reste nulle part que des ruines aussi difficiles à découvrir, qu'à déterrer et à déchiffrer.
C'est une idéologie passéiste, car elle s'inspire d'un histoire passée, dont une partie, d'ailleurs, n'est qu'une collection de contes et de mythes primitifs, élevés au rang de faits historiques incontestés par le fanatisme religieux de ses adeptes, démentis par les traces écrites et matérielles qu'ont laissées après eux les peuples antiques de la région.
C'est une idéologie anachronique, car elle fait fi de tous les progrès moraux faits par l'humanité depuis cette époque couverte par la nuit des temps ; alors que la profonde unité de la race humaine se dégage du déchiffrage des gènes qui composent l'homme, cette idéologie présente un groupe humain comme paré de qualités que les autres humains n'auraient pas, et qui lui donneraient des privilèges sur eux ; alors que l'on considère que tous les êtres humains ont des droits fondamentaux qui transcendent les différences physiques, les croyances religieuses, la diversité linguistique, et les distinctions historiques, cette idéologie exclue tous ceux qui ne font pas parti de ce groupe de ces droits humains fondamentaux.
L'expérience tirée des leçons de l'Histoire contemporaine a conduit les grands humanistes qui ont inspiré les avancés morales des soixante quinze dernières années, à pousser à l'organisation d'institutions internationales et de lois régissant les relations entre nations.
Mais, cette idéologie, qui se prétend à la pointe du progrès humain, n'accepte le magistère de ces institutions comme de ces lois internationales que pour autant qu'elles confortent son ambition de reconstituer, en l'état, le monde des siècles précédant la fondation du Christianisme comme l'apparition de l'Islam, deux religions séparés en beaucoup de points fondamentaux, mais profondément unies dans le point essentiel de leur acceptation, sans réserves aucunes, de l'universalité de la nature humaine et de sa dignité intrinsèque, au-delà des différences de toute nature entre les individus et les groupes qui la composent.
Trouvant la source de ses valeurs dans un passé barbare, cette idéologie ne peut être que rétrograde.
Toute cause, bonne ou mauvaise, a ses défenseurs comme ses détracteurs ; ce qui caractérise les défenseurs du Sionisme, c'est leur incapacité à reconnaître que cette idéologie constitue, non un progrès historique, mais une rétrogradation politique, morale et spirituelle, qui n'ambitionne à rien d'autre qu'à redonner vie à des conceptions de la nature humaine, de l'organisation des sociétés, et de la religion, qui sont aux antipodes des conceptions largement acceptées dans le monde contemporain, et dont les éléments sont profondément inscrits dans les lois universelles, les lois internes comme dans le comportement des Etats constitués comme de leurs citoyens.
Pour défendre cette idéologie, indéfendable au vu des valeurs qu'elle impose à ses adeptes comme du traitement qu'elle encourage contre ceux qui la rejettent à juste titre, ses thuriféraires mobilisent tous les progrès de la pensée comme de la technologie ; il n'y pas une discipline intellectuelle qui n'est pas mobilisée au profit de cette idéologie passéiste et anachronique : de l'histoire à la géographie, en passant par la philosophie, la linguistique, la science politique, l'archéologie (le « pain blanc » des Sionistes qui leur permet d'interpréter et de reconstituer à leur façon l'Histoire du monde qui aurait appartenu à leurs «ancêtres ») la psychologie, comme la génétique, et , évidemment le droit dans toutes ses déclinaisons, droit interne comme droit international (invoqué chaque fois qu'utile pour défendre sa violation !) etc.
Il faut beaucoup de génie pour donner un semblant de rationalité et de véracité acceptable par tous les esprits, y compris ceux qui n'ont aucune raison d'être ouverts aux thèses sionistes, et, apparemment, ceux sont les plus nombreux, et ce sont eux, qu'il faut convaincre, car ils n'ont rien à gagner à embrasser les thèses sionistes ; mais il faut leur prouver qu'ils auraient beaucoup à perdre s'ils ne l'acceptaient pas.
Les efforts intellectuels déployés par les tenants de cette idéologie sont évidemment orientés vers ceux qui pensent que l'histoire antique est intéressante à connaître, mais que sa reconstitution n'est ni une preuve de progrès, ni la meilleure voie vers le futur, et que l'homme a avancé parce qu'il a dépassé la barbarie de cette période, technologiquement, mais, encore plus important, politiquement et moralement.
Pourtant, tous ces efforts intellectuels, où sont déployés des trésors de culture et de dextérité, où ne manquent ni le génie, ni le talent, se ramènent, en analyse finale, et une fois qu'ils sont dépouillés de leurs oripeaux modernistes et de leurs complexes abstractions, à justifier le projet, largement réalisé, de génocide du peuple palestinien, projet résumé en deux citations de deux parmi les grands dirigeants du projet sioniste, tel qu'incarné par l'Etat d'Israël.
L'idéologie sioniste trouve ses racines profondes dans l'extrême Antiquité, d'où il tire sa sève nourricière comme son inspiration.
Malgré les assertions de ceux qui s'en réclament et en établissent l'incarnation dans l'Etat « ultramoderne » d'Israël, paré, suivant leurs descriptions, de toutes les vertus du « modernisme le plus avancé et le plus futuriste,» le Sionisme n'est rien d'autre qu'une idéologie passéiste et anachronique, utilisant, certes, des technologies de pointe pour imposer sa philosophie en banqueroute, car démodée, et dont l'ambition proclamée est de reproduire, en l'état, et dans le moindre de ses détails, sauf, évidement ceux qui tiennent à ses instruments de mort, un monde révolu depuis des millénaires, et de faire revivre le fanatisme et la barbarie de ce monde, dont il ne reste nulle part que des ruines aussi difficiles à découvrir, qu'à déterrer et à déchiffrer.
Le sionisme, une idéologie passéiste et anachronique
C'est une idéologie passéiste, car elle s'inspire d'un histoire passée, dont une partie, d'ailleurs, n'est qu'une collection de contes et de mythes primitifs, élevés au rang de faits historiques incontestés par le fanatisme religieux de ses adeptes, démentis par les traces écrites et matérielles qu'ont laissées après eux les peuples antiques de la région.
C'est une idéologie anachronique, car elle fait fi de tous les progrès moraux faits par l'humanité depuis cette époque couverte par la nuit des temps ; alors que la profonde unité de la race humaine se dégage du déchiffrage des gènes qui composent l'homme, cette idéologie présente un groupe humain comme paré de qualités que les autres humains n'auraient pas, et qui lui donneraient des privilèges sur eux ; alors que l'on considère que tous les êtres humains ont des droits fondamentaux qui transcendent les différences physiques, les croyances religieuses, la diversité linguistique, et les distinctions historiques, cette idéologie exclue tous ceux qui ne font pas parti de ce groupe de ces droits humains fondamentaux.
L'expérience tirée des leçons de l'Histoire contemporaine a conduit les grands humanistes qui ont inspiré les avancés morales des soixante quinze dernières années, à pousser à l'organisation d'institutions internationales et de lois régissant les relations entre nations.
Mais, cette idéologie, qui se prétend à la pointe du progrès humain, n'accepte le magistère de ces institutions comme de ces lois internationales que pour autant qu'elles confortent son ambition de reconstituer, en l'état, le monde des siècles précédant la fondation du Christianisme comme l'apparition de l'Islam, deux religions séparés en beaucoup de points fondamentaux, mais profondément unies dans le point essentiel de leur acceptation, sans réserves aucunes, de l'universalité de la nature humaine et de sa dignité intrinsèque, au-delà des différences de toute nature entre les individus et les groupes qui la composent.
Trouvant la source de ses valeurs dans un passé barbare, cette idéologie ne peut être que rétrograde.
Plus la cause est mauvaise, plus grand doit
être le nombre de ceux qui la défendent
être le nombre de ceux qui la défendent
Toute cause, bonne ou mauvaise, a ses défenseurs comme ses détracteurs ; ce qui caractérise les défenseurs du Sionisme, c'est leur incapacité à reconnaître que cette idéologie constitue, non un progrès historique, mais une rétrogradation politique, morale et spirituelle, qui n'ambitionne à rien d'autre qu'à redonner vie à des conceptions de la nature humaine, de l'organisation des sociétés, et de la religion, qui sont aux antipodes des conceptions largement acceptées dans le monde contemporain, et dont les éléments sont profondément inscrits dans les lois universelles, les lois internes comme dans le comportement des Etats constitués comme de leurs citoyens.
Pour défendre cette idéologie, indéfendable au vu des valeurs qu'elle impose à ses adeptes comme du traitement qu'elle encourage contre ceux qui la rejettent à juste titre, ses thuriféraires mobilisent tous les progrès de la pensée comme de la technologie ; il n'y pas une discipline intellectuelle qui n'est pas mobilisée au profit de cette idéologie passéiste et anachronique : de l'histoire à la géographie, en passant par la philosophie, la linguistique, la science politique, l'archéologie (le « pain blanc » des Sionistes qui leur permet d'interpréter et de reconstituer à leur façon l'Histoire du monde qui aurait appartenu à leurs «ancêtres ») la psychologie, comme la génétique, et , évidemment le droit dans toutes ses déclinaisons, droit interne comme droit international (invoqué chaque fois qu'utile pour défendre sa violation !) etc.
Justifier et légitimer le projet de génocide du peuple palestinien :
l'unique obsession des intellectuels pro-sionismes
l'unique obsession des intellectuels pro-sionismes
Il faut beaucoup de génie pour donner un semblant de rationalité et de véracité acceptable par tous les esprits, y compris ceux qui n'ont aucune raison d'être ouverts aux thèses sionistes, et, apparemment, ceux sont les plus nombreux, et ce sont eux, qu'il faut convaincre, car ils n'ont rien à gagner à embrasser les thèses sionistes ; mais il faut leur prouver qu'ils auraient beaucoup à perdre s'ils ne l'acceptaient pas.
Les efforts intellectuels déployés par les tenants de cette idéologie sont évidemment orientés vers ceux qui pensent que l'histoire antique est intéressante à connaître, mais que sa reconstitution n'est ni une preuve de progrès, ni la meilleure voie vers le futur, et que l'homme a avancé parce qu'il a dépassé la barbarie de cette période, technologiquement, mais, encore plus important, politiquement et moralement.
Pourtant, tous ces efforts intellectuels, où sont déployés des trésors de culture et de dextérité, où ne manquent ni le génie, ni le talent, se ramènent, en analyse finale, et une fois qu'ils sont dépouillés de leurs oripeaux modernistes et de leurs complexes abstractions, à justifier le projet, largement réalisé, de génocide du peuple palestinien, projet résumé en deux citations de deux parmi les grands dirigeants du projet sioniste, tel qu'incarné par l'Etat d'Israël.
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