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attijariwafa bank s’implante en Libye

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  • attijariwafa bank s’implante en Libye

    Le président directeur général du groupe Attijariwafa bank préside ce dimanche l’inauguration d’un bureau de représentation à Tripoli.

    Avec cette nouvelle implantation en Libye, AWB poursuit sa stratégie de développement au Maghreb et en Afrique Subsaharienne. Elle offre ainsi une nouvelle plate-forme d'échanges entre les deux pays et plus largement pour tous les opérateurs maghrébins et africains.

  • #2
    reste que l'Algerie
    En tout homme se trouve une part de solitude qu'aucune intimité humaine ne peut remplir, c'est là que dieu nous rencontre.

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    • #3
      C'est pas pour demain.

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      • #4
        C'est pas pour demain
        Après demain alors
        .


        Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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        • #5
          il faut faire attention ca me semble juste un bureau pour faciliter les echanges pas une vrai implantation comme en tunisie et autres

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          • #6
            C'est un premier bureau oui. Mais ça va venir
            La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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            • #7
              L'europe n'est pas en reste...

              Maroc : Les ambitions européennes du Groupe Banque Populaire
              Publié le 10.02.2009 | 19h41


              Suite à l’inauguration de la première succursale en Espagne de la Banque Populaire, Mohamed Benchaâboun, PDG du groupe, qui a effectué le déplacement pour l’occasion, revient sur les objectifs de cette implantation. Il dévoile également ses ambitions vis-à-vis de l’Europe et assure être prêt à plus d’efforts à destination des Marocains du monde.

              - L’Economiste: Quels sont les objectifs que vous vous êtes fixés, à travers l’ouverture de votre première succursale en Espagne?
              - Mohamed Benchaâboun: La cible serait de bancariser la communauté marocaine vivant en Espagne, à savoir 6 à 700.000 Marocains. Mais notre objectif à travers cette présence est de doubler nos parts de marche sur cette clientèle dans les 4 à 5 années à venir. Aujourd’hui, nous en captons déjà 20% et nous pensons pouvoir faire davantage. Il faut savoir que les 80% restants ne sont pas attirés par les banques marocaines, mais par les canaux internationaux de transferts. Nous voulons, donc, canaliser ces transferts à travers l’ouverture de comptes bancaires de part et d’autre, soit chez nos partenaires soit dans notre banque vers un compte ouvert au Maroc. Cela permettra de faire en sorte que ces transferts se capitalisent au Maroc et de leur assurer, de l’autre côté, des frais et des coûts associés moins élevés.

              - Serait-ce une sorte de concurrence aux banques espagnoles?
              - Non. Nous avons toujours encouragé, surtout avec l’Espagne où nous avons des relations particulières avec un certain nombre de partenaires, la bibancarisation. Ce qui signifie qu’il existe un compte au Maroc et un autre dans le pays d’accueil, ce qui facilite toutes les relations financières aux conditions les plus intéressantes pour la communauté. Cette bibancarisation peut se faire à travers notre succursale ou par le biais d’un de nos partenaires.

              - Comment jugez-vous la concurrence des banques marocaines, cette fois-ci, sur ce secteur?
              - Je trouve que la concurrence est saine. C’est une bonne chose qu’elle existe, il n’est pas normal qu’il n’y est qu’un seul acteur dans un domaine particulier. Maintenant, la position du Groupe Banque Populaire est forte, pour des raisons historiques. Et puis, au fur et à mesure, toutes les autres banques se sont intéressées au domaine pour nous retrouver aujourd’hui qu’avec 55% de parts de marché.

              - Compte tenu de la crise financière, ne craigniez-vous pas une baisse des transferts des MRE et des investissements étrangers?
              - Dans des moments de crise, il faut savoir investir pour montrer avec plus d’énergie les opportunités qui se présentent. Ainsi, les entreprises espagnoles, voyant leur marché intérieur diminuer, doivent naturellement investir à l’extérieur pour continuer à exister. Il faut donc leur dire que des opportunités d’investissement intéressantes existent au Maroc, un voisin géographique qui leur offre l’ouverture nécessaire. Les relations doivent, dès lors, être plus rapprochées, spécialement au niveau du détail, contrairement au passé où les choses étaient traitées de façon trop générale. Maintenant, il s’agit d’identifier les entreprises et les secteurs dans lesquels elles souhaitent investir, pour procéder au rapprochement nécessaire. Ce dernier doit se faire à travers les partenariats que nous avons noués avec les banques espagnoles. Ces relations seront, encore plus, renforcées par le biais de ce trait d’union qui est la succursale à Madrid.

              - Comment jugez-vous le ralentissement enregistré dans les transferts des MRE, les derniers chiffres attestant d’une baisse de 2,4% en 2008?
              - En effet, sur l’année 2008, il y a eu un ralentissement de l’ordre de 2%, avec en fin d’année un taux de change défavorable aux MRE. Ce qui veut dire qu’en termes de transferts, ils ont envoyé au moins la même chose qu’en 2007, seulement en dirham cela fait un peu moins. Mais c’est peu. Globalement, en dépit de la crise, se retrouver avec des transferts au même niveau, c’est plutôt une performance.

              - En dépit de la crise, vous n’avez pas l’intention de réaménager votre stratégie vis-à-vis des MRE?
              - Le secteur des Marocains du monde est, pour nous, stratégique et historique. Je dirais même presque génétique. Nous avons construit cette banque avec cette clientèle. Nous avons été les pionniers et nous le faisons depuis plus de 40 ans. C’est stratégique pour nous et aussi pour le pays. Donc, il faut que l’on continue à se déployer et s’il faut y mettre plus d’argent nous le ferons.

              - Justement, quel est le budget global de vos implantations en Europe, sachant qu’en plus de l’Espagne, vous ouvrirez, entre autres, en Grande- Bretagne, en Hollande, en Italie et en Allemagne?
              - L’enveloppe globale s’élève à 32 millions d’euros, (ndlr: l’équivalent de 350 millions de DH). Ce budget se divise, à moitié, en dépenses de fonctionnement et pour l’investissement en locaux.

              Calendrier

              Grâce au passeport européen décroché il y a 18 mois, la BCP envisage de se déployer dans 5 pays, en plus de ses représentations en France et en Belgique. La banque annonce pouvoir boucler l’opération en juin prochain.

              Le calendrier se présente comme suit:
              - Italie: 3 agences sur 4 pour début avril (le reliquat en juin)
              - Hollande: 4 agences sur 5 pour début avril (le reliquat en juin)
              - Allemagne: 4 agences sur 4 pour juin
              - Grande-Bretagne: 1 agence pour juin
              - Espagne: 7 agences pour juin
              - France: 20 agences pour juin (déjà 12 agences existantes)

              My Ahmed BELGHITI
              Source : L'Economiste

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              • #8
                Difficile de planter un succursale à Tripoli. À moins d'un partenariat.
                La haine aveugle

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