Les mains du sort jouent,
À nouveau, avec
Le tort et tire vers
La mort de chastes iris,
Les bosquets courbent
L’échine et s’incline
Tristement et pleurent
En chœur le déclin
De la rose au
Crépuscule morose
D’un matin blême.
Mais quand le vent de
La tendresse souffle
Sur le jardin des perles,
Et caresse, par une brise
Légère les fleurs mûres
Parsemées de rosées
Dés l’aurore d’un
Lendemain sûr,
Les branches d’arbres
Palpitent, le roucoulement
D’oiseaux excite les sens
Et crépitent les oreilles et
Attendent tes mots et la suite.
Heureux par la fraîcheur
Du jour, je murmure :
Et cette passion est ce
Un songe ou bien un
Mensonge que j’endure ?
Mais ce lendemain n’est
Plus sûr, sans toi je dois
Sacrifier notre amour à
Mon tour et me refermé
A jamais sans retour.
Emporte mon âme avec
La tienne et ne laisse
Pas de trace sur cette
Triste terre qui a su te
Mettre sur mon chemin.
Qu’est ce qui t’arrive ?
Tes murmures pleins de
Silences me tuent,
Est-ce cela que tu cherches ?
Alors rien que pour toi
Je me tue.
À nouveau, avec
Le tort et tire vers
La mort de chastes iris,
Les bosquets courbent
L’échine et s’incline
Tristement et pleurent
En chœur le déclin
De la rose au
Crépuscule morose
D’un matin blême.
Mais quand le vent de
La tendresse souffle
Sur le jardin des perles,
Et caresse, par une brise
Légère les fleurs mûres
Parsemées de rosées
Dés l’aurore d’un
Lendemain sûr,
Les branches d’arbres
Palpitent, le roucoulement
D’oiseaux excite les sens
Et crépitent les oreilles et
Attendent tes mots et la suite.
Heureux par la fraîcheur
Du jour, je murmure :
Et cette passion est ce
Un songe ou bien un
Mensonge que j’endure ?
Mais ce lendemain n’est
Plus sûr, sans toi je dois
Sacrifier notre amour à
Mon tour et me refermé
A jamais sans retour.
Emporte mon âme avec
La tienne et ne laisse
Pas de trace sur cette
Triste terre qui a su te
Mettre sur mon chemin.
Qu’est ce qui t’arrive ?
Tes murmures pleins de
Silences me tuent,
Est-ce cela que tu cherches ?
Alors rien que pour toi
Je me tue.
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