Les voix indignées s'élevaient un peu partout.
Que reste-t-il de ces cris?
Rien ou presque. Que sont quelques mots, parfois jetés à la hâte. Rien ou presque...
Ceux-là même que j'écris aujourd'hui subiront le même sort. Demain, ils seront ensevelis sous d'autres mots, d'autres indignations, d'autres batailles stériles...
A l'image de la tragédie palestinienne, aujourd'hui retournée à son éternel anonymat dans l'indifférence quasi générale.
Qui donc s'en soucie encore à part une minorité ? Qui donc pour se soucier d'un peuple qui crie justice? Qui donc pour se soucier de son désespoir?
Nous algériens, pouvons mesurer à l'aune de notre propre drame, celui de la Palestine.
Aujourd'hui quelques lignes pour ne pas oublier.
Pour ne pas oublier que chaque jour, ce sont nos semblables qui souffrent.
Pour ne pas oublier que ce sont nos frères et soeurs qui meurent.
Pour ne pas oublier que la Palestine a été volée aux siens.
Pour ne pas oublier qu'un peuple est prisonnier des bombes.
Pour ne pas oublier qu'on leur a dénié le droit d'exister.
Pour ne pas oublier que des enfants n'en sont plus.
Pour ne pas oublier que des mères n'en sont plus.
Pour ne pas oublier que la désolation est le quotidien palestinien.
Pour ne pas oublier que la terre palestinienne est plus souvent arrosée par les larmes que par la pluie.
Pour ne pas oublier de ne pas les oublier...
Pour nous rappeler que nous aurions pu être à leur place. Pour nous rappeler que si rien n'est fait, nous serons à leur place...un jour ou l'autre...
Que reste-t-il de ces cris?
Rien ou presque. Que sont quelques mots, parfois jetés à la hâte. Rien ou presque...
Ceux-là même que j'écris aujourd'hui subiront le même sort. Demain, ils seront ensevelis sous d'autres mots, d'autres indignations, d'autres batailles stériles...
A l'image de la tragédie palestinienne, aujourd'hui retournée à son éternel anonymat dans l'indifférence quasi générale.
Qui donc s'en soucie encore à part une minorité ? Qui donc pour se soucier d'un peuple qui crie justice? Qui donc pour se soucier de son désespoir?
Nous algériens, pouvons mesurer à l'aune de notre propre drame, celui de la Palestine.
Aujourd'hui quelques lignes pour ne pas oublier.
Pour ne pas oublier que chaque jour, ce sont nos semblables qui souffrent.
Pour ne pas oublier que ce sont nos frères et soeurs qui meurent.
Pour ne pas oublier que la Palestine a été volée aux siens.
Pour ne pas oublier qu'un peuple est prisonnier des bombes.
Pour ne pas oublier qu'on leur a dénié le droit d'exister.
Pour ne pas oublier que des enfants n'en sont plus.
Pour ne pas oublier que des mères n'en sont plus.
Pour ne pas oublier que la désolation est le quotidien palestinien.
Pour ne pas oublier que la terre palestinienne est plus souvent arrosée par les larmes que par la pluie.
Pour ne pas oublier de ne pas les oublier...
Pour nous rappeler que nous aurions pu être à leur place. Pour nous rappeler que si rien n'est fait, nous serons à leur place...un jour ou l'autre...
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