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L'Italie laisse entendre qu'elle pourrait être candidate à la prise en charge d'une partie des détenus de la prison de Guantanamo, dont le président américain Barack Obama a annoncé la fermeture.
Cité par les médias italiens, le ministre de la Défense, Ignazio La Russa, a déclaré que Silvio Berlusconi et lui-même avaient "accepté cette invitation".
Le ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni, est pour sa part opposé à l'idée d'accueillir sur le sol italien des prisonniers du camp de détention installé par les Etats-Unis sur leur base militaire de Cuba.
Obama, dans l'une de ses premières décisions après son investiture, a annoncé la fermeture de Guantanamo dans un délai d'un an. L'administration américaine doit trouver un point de chute pour une partie de ces détenus qui ne peuvent regagner leur pays et dont les Etats-Unis ne veulent pas sur leur territoire.
L'Union européenne n'est pas parvenue à une position commune sur cette question, laissant à chacun des Vingt-Sept le choix de décider pour lui-même.
source : Reuters
Cité par les médias italiens, le ministre de la Défense, Ignazio La Russa, a déclaré que Silvio Berlusconi et lui-même avaient "accepté cette invitation".
Le ministre de l'Intérieur, Roberto Maroni, est pour sa part opposé à l'idée d'accueillir sur le sol italien des prisonniers du camp de détention installé par les Etats-Unis sur leur base militaire de Cuba.
Obama, dans l'une de ses premières décisions après son investiture, a annoncé la fermeture de Guantanamo dans un délai d'un an. L'administration américaine doit trouver un point de chute pour une partie de ces détenus qui ne peuvent regagner leur pays et dont les Etats-Unis ne veulent pas sur leur territoire.
L'Union européenne n'est pas parvenue à une position commune sur cette question, laissant à chacun des Vingt-Sept le choix de décider pour lui-même.
source : Reuters