Tweet
Les usines accusent un grand retard technologique
Les besoins de l’Algérien en produits textiles s’élèvent à 3 010 dinars, soit l’équivalent de 5 kilo par an et par habitant, estime le directeur général du groupe public Texmaco et CH Fashion, M. Ali Ben Belgacem. «Comparativement aux besoins européens évalués à 9 kilos par an, l’Algérien n’est pas un gros utilisateur de textiles», a-t-il souligné lors d’une conférence de presse sur l’industrie des textiles en Algérie.
La consommation des ménages en produits textiles avait atteint en 2003 près de 100 milliards de dinars. La part des entreprises publiques dans l’approvisionnement du marché avait atteint 10 milliards de dinars, la part du privé 20 milliards, alors que le secteur informel s’est taillé la part du lion avec 55 milliards, toujours selon M. Ben Belgacem.
Tout en admettant que le secteur est en crise depuis plus de 15 ans, M. Ben Belgacem a assuré qu’il est possible de le remettre sur pied à nouveau. «Le potentiel industriel existe en Algérie. Nous avons 30 usines publiques de textile, un personnel connaisseur qui regroupe des ingénieurs, des techniciens et des ouvriers.
En plus nous avons une main d’œuvre bon marché. Mais le plus gros problème qui freine le développement du secteur est le délabrement des équipements», a-t-il expliqué. Il a affirmé que les usines fonctionnent avec du matériel de plus de 20 ans.
«Nous sommes conscients que nos usines accusent un retard technologique énorme et le renouvellement des équipements nécessite un investissement colossal», a-t-il reconnu. Il a assuré par ailleurs qu’il existe actuellement un micro investissement pour moderniser les usines et initier le personnel aux nouvelles technologies mais sans préciser le montant consenti.
Les intervenants ont évoqué, par ailleurs, la mise en vigueur de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne en septembre dernier et qui, selon eux, profite largement aux Européens au détriment des Algériens pour la simple raison que les pays européens surprotègent leurs produits.
Les besoins de l’Algérien en produits textiles s’élèvent à 3 010 dinars, soit l’équivalent de 5 kilo par an et par habitant, estime le directeur général du groupe public Texmaco et CH Fashion, M. Ali Ben Belgacem. «Comparativement aux besoins européens évalués à 9 kilos par an, l’Algérien n’est pas un gros utilisateur de textiles», a-t-il souligné lors d’une conférence de presse sur l’industrie des textiles en Algérie.
La consommation des ménages en produits textiles avait atteint en 2003 près de 100 milliards de dinars. La part des entreprises publiques dans l’approvisionnement du marché avait atteint 10 milliards de dinars, la part du privé 20 milliards, alors que le secteur informel s’est taillé la part du lion avec 55 milliards, toujours selon M. Ben Belgacem.
Tout en admettant que le secteur est en crise depuis plus de 15 ans, M. Ben Belgacem a assuré qu’il est possible de le remettre sur pied à nouveau. «Le potentiel industriel existe en Algérie. Nous avons 30 usines publiques de textile, un personnel connaisseur qui regroupe des ingénieurs, des techniciens et des ouvriers.
En plus nous avons une main d’œuvre bon marché. Mais le plus gros problème qui freine le développement du secteur est le délabrement des équipements», a-t-il expliqué. Il a affirmé que les usines fonctionnent avec du matériel de plus de 20 ans.
«Nous sommes conscients que nos usines accusent un retard technologique énorme et le renouvellement des équipements nécessite un investissement colossal», a-t-il reconnu. Il a assuré par ailleurs qu’il existe actuellement un micro investissement pour moderniser les usines et initier le personnel aux nouvelles technologies mais sans préciser le montant consenti.
Les intervenants ont évoqué, par ailleurs, la mise en vigueur de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne en septembre dernier et qui, selon eux, profite largement aux Européens au détriment des Algériens pour la simple raison que les pays européens surprotègent leurs produits.
Nos voisins le Maroc et la tunisie , ont une grande experience dans le textile et la sous-traitance pour les groupes internationaux du textiles. Il serait judicieux de se rapprocher d'eux :
1- Pour apprendre d'eux
2- Ne pas créer des entreprises qui sont sur le même créneau et donc tuer les deux parties.
3- Jouer la complementarité.