Annonce

Réduire
Aucune annonce.

L’Algérie impressionne avant l’entrée en vigueur de la ZALE

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • L’Algérie impressionne avant l’entrée en vigueur de la ZALE

    un article de tunisie affaire avec plein de chiffre sur les importations et les exportation de l'algerie en 2008.
    on decouvre que la tunisie et au top position au niveau des importations algeriene suivie de l'egypt et l'arabie saoudite viens en troisieme position.

    au niveau client de l'algerie le maroc et au top du classement avec 34% des exportations algerienne dans le monde arabe avec plus de 700 million de dollars suivie de l'egypt et la tunisie au troisime position.
    __________________________________________________ __________________________
    L’Algérie impressionne avant l’entrée en vigueur de la ZALE

    L’adhésion de l’Algérie à la Zone arabe de libre échange (ZALE) permettra –elle de promouvoir les échanges commerciaux du pays ? Les statistiques du pays sur ces échanges avant l’adhésion montrent une excédent en hausse de 225%

    Les échanges commerciaux entre l’Algérie et les pays arabes ont augmenté en 2008. Selon les statistiques rendues publiques hier par le Centre national des statistiques et de l’informatique (CNIS) relevant des Douanes algériennes, cet excédent est évalué à 225%, passant ainsi à 1,09 milliard de dollars, contre 334 millions de dollars en 2007. Le volume des exportations algériennes à destination des pays arabes a atteint 2,18 milliards de dollars, contre 1,24 milliard de dollars en 2007, ce qui représente une hausse de l’ordre de 76,35%. Les importations, elles, sont estimées à 1,10 milliard de dollars, contre 905 millions de dollars en 2007, soit une augmentation de 21,4%, toujours selon la même source. «Le taux de couverture des exportations par les importations a atteint 199% en 2008, contre 137% en 2007.» Le CNIS précise que la Tunisie se classe en première position avec plus de 27% du volume global des importations algériennes avec un montant de 292 millions en 2008, contre 213 millions en 2007. Elle est suivie de l’Egypte avec 18% du volume global des importations algériennes des pays arabes avec 153 millions de dollars. La troisième position revient à l’Arabie saoudite avec 13% (143 millions de dollars).
    Pour ce qui est des exportations, le Maroc est considéré comme le premier client de l’Algérie dans le monde arabe avec une part de 34,5%, représentant un montant de 753 millions de dollars. L’Egypte, avec un taux de 33% et un montant de 717 millions de dollars, se classe comme le deuxième pays destinataire des exportations algériennes, suivie de la Tunisie avec une part de 24%, soit 517 millions de dollars, ensuite des Emirats arabes unis avec 83 millions de dollars (4%). Les importations principales de l’Algérie en 2008 sont les médicaments pour un volume de 114,4 millions de dollars, le polyéthylène pour un montant de 37,3 millions de dollars, les remorques et semi-remorques pour le transport de marchandises pour une enveloppe de l’ordre de 33,6 millions, et les constructions et parties de construction pour un montant estimé à 27,4 millions. Concernant les exportations, les produits à destination des pays arabes représentent surtout le butane liquéfié avec 1,35 milliard de dollars, le gaz naturel à l’état gazeux (331 millions), le propane
    liquéfié (156 millions), les huiles de pétrole ou minéraux bitumeux (64,18 millions) et enfin les produits laminés plats en fer et en acier avec 33,5 millions.
    Il faut signaler que les statistiques du CNIS font état de l’inexistence d’échanges commerciaux entre l’Algérie et certains pays arabes à l’exemple de Djibouti, du Yémen, du Soudan, de la Somalie et de l’Irak, alors qu’ils sont presque inexistants avec d’autres pays, comme la Mauritanie, les îles Comores, le Koweït, la Palestine et Oman.

    Le CNIS estime que «le volume global des échanges extérieurs de l’Algérie avec les pays arabes reste encore ‘‘faible’’ avec 2,81% pour les importations et 2,79% pour les exportations, par rapport aux autres zones géographiques et régions économiques». En effet, les principaux partenaires de l’Algérie restent les pays de l’Union européenne avec un volume d’importations de l’ordre de 53,23% et d’exportations de 51%.

  • #2
    L’Algérie impressionne avant l’entrée en vigueur de la ZALE

    ..........................................

    C'est plutôt le contraire.

    .......................................

    Liberté | Mercredi 24 Décembre 2008

    Les opérateurs algériens inquiets après les accords de libre-échange

    Invasion des produits des pays arabes

    Par : Meziane Rabhi


    Le président du Forum des chefs d’entreprise, Réda Hamiani, affirme que son association n’a pas été consultée. “On ne connaît ni le contenu de l’accord, ni les mécanismes qui vont le régir, ni les procédures de son application”, a-t-il soutenu.
    Les industriels algériens ne partagent pas l’optimisme du ministre du Commerce au sujet de la grande zone de libre-échange (Zale). Ils l’ont fait savoir, hier, sur les ondes de la radio Chaîne III, avec des propos, parfois, très durs. Les industriels algériens estiment ne pas être préparés pour subir encore la concurrence des produits arabes, notamment agroalimentaires, textiles... à compter du 2 janvier prochain.

    Un dossier a été soumis, en décembre, à l’ambassadeur d’Algérie au Caire, qui est également le représentant de l’Algérie à la Ligue arabe pour confirmer l’adhésion de notre pays à la Zale, à compter de janvier prochain. En d’autres termes, les produits fabriqués dans 22 pays arabes pourraient être exportés vers l’Algérie sans droit de douane. Ce qui leur assure un avantage par rapport aux produits fabriqués localement.

    Ces produits risquent d’inonder les marchés algériens et donc menacer l’outil de production local.
    Beaucoup d’usines risquent de fermer. Interrogé par le journaliste de la Chaîne III, le ministre du Commerce, M. Hachemi Djaâboub, a affirmé ne pas comprendre la crainte suscitée chez les opérateurs économiques, par l’adhésion de l’Algérie à la zone de libre-échange. “Nous sommes les derniers de la classe. C’est bien dommage de voir nos industriels avoir peur de leurs homologues tunisiens ou tchadiens”, a indiqué le ministre, estimant que “notre quincaillerie” ne peut être écoulée que sur les marchés africains. Le ministre juge utopique le fait de penser que le produit industriel algérien pouvait être placé sur le marché européen, en même temps, il estime que la place de l’Algérie “est dans le concert des pays arabes et doit rivaliser avec eux”, convaincu qu’elle va gagner, tout en reconnaissant le retard pris par notre pays “en matière de diplomatie économique”.
    “L’économie algérienne n’est pas en mesure de supporter une ouverture supplémentaire”
    Le président du Forum des chefs d’entreprise a exprimé “le grand mécontentement et la stupéfaction” des opérateurs économiques membres de cette organisation patronale, qui regroupe les poids lourds de l’industrie algérienne.
    M. Hamiani a précisé que dans un autre contexte, il aurait applaudi à la perspective que l’Algérie fasse partie d’une zone de libre-échange avec les pays arabes. D’autant que ces derniers sont les premiers investisseurs en Algérie. “Mais, là où le bât blesse, nous n’avons été ni consultés ni associés ; nous n’avons reçu aucun document. On ne connaît pas le contenu de cet accord, ni les mécanismes qui vont le régir, ni les procédures de son application”, a relevé le président du FCE, indiquant ne pas partager “l’optimisme du ministre du Commerce, dans la forme et dans le fond”. Dans la forme, M. Hamiani est perplexe “devant cette légèreté” avec laquelle les autorités leur ont “balancé ce type d’accord” sans que les opérateurs soient consultés. Sur le fond, la position du Forum est que “l’économie algérienne n’est pas en mesure de supporter une ouverture supplémentaire”. “C’est afficher une profonde méconnaissance du secteur industriel que de dire que cet accord est de nature à donner du tonus et du muscle à l’industrie algérienne”, a ajouté le président du FCE. Il aurait fallu d’abord faire l’évaluation de la mise en œuvre de l’accord d’association avec l’Union européenne. “À la suite de l’évaluation, on pourrait juger si l’industrie algérienne qui périclite est encore en mesure de résister à l’érosion de ses parts de marché”, a suggéré M. Hamiani. S’appuyant sur les chiffres le président du Forum des chefs d’entreprise, a relevé que les importations ont augmenté de 36% entre 2007 et 2008, alors que “l’industrie se morfond dans des procédures de soutien qui ne lui arrivent pas”. “Nous aurions souhaité avant cette ouverture que la stratégie industrielle soit plus efficace que la mise à niveau face ses effets, pour donner du tonus à l’industrie”, a affirmé Réda Hamiani.
    La Nouvelle conserverie algérienne (NCA Rouiba) pourrait délocaliser vers l’Égypte. Slim Othmani, présenté en tant que président de l’Association des producteurs algérien des boisons, s’est dit “excédé et choqué par les propos de monsieur le ministre du Commerce”. Le patron de la Nouvelle conserverie algérienne (NCA Rouiba), a affirmé ne pas partager “la lecture et l’analyse de l’industrie algérienne du ministre”.
    M. Othmani pense, au contraire, qu’il y a des industriels qui peuvent parfaitement concurrencer d’autres industriels dans certaines régions du monde, en particulier dans la zone arabe. Cependant, regrette-t-il, “on demande aujourd’hui aux industriels algériens de jouer une partie de football dans laquelle les règles sont spécifiques pour eux et différentes des autres”, en faisant référence en droits de douanes sur les intrants jugés élevés, à la fiscalité et parafiscalité ainsi que les charges patronales que l’entreprise algérienne supporte lourdement. “Je ne pourrais pas concurrencer techniquement un produit qui aura été fabriqué au Moyen-Orient. J’en ai parlé à mes travailleurs. Je leur ai dit, attendez-vous à ce que l’année 2009, nous fermions complètement notre activité en Algérie. Je pense que nous allons nous installer soit en Égypte, soit en Jordanie, soit à Dubaï soit en Arabie saoudite”, a souligné le responsable de NCA Rouiba. Le directeur du commerce extérieur a tenté de relativiser les choses, estimant que l’accord porte en fait que sur 2,7% seulement du commerce extérieur de l’Algérie. M. Saïd Djellab, en matière d’échange interarabe, a relevé que l’Algérie importe pour 895 millions de dollars et exporte pour 1,5 milliard de dollars, suggérant “de travailler ensemble dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord de cette zone de libre-échange”.
    Meziane Rabhi

    source: Liberté

    Commentaire


    • #3
      tous les produits blancs, tous les produits electroniques, la pharmarcie, les produits mécaniques ont à gagner dans les exportations....


      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

      Commentaire


      • #4
        on doit encourager l'algerie à ratifier l'ALE d'Agadir

        Commentaire


        • #5
          Pour ce qui est des exportations, le Maroc est considéré comme le premier client de l’Algérie dans le monde arabe avec une part de 34,5%, représentant un montant de 753 millions de dollars.
          Ces produits algérien exporté vers le Maroc sont envoyé dans des conteneurs qui vont aller transiter dans un port Europeens dechargé puis chargé avant d'arriver vers le maroc !!!!

          Quelle perte de compétitivité gratuite !!!!!

          le frêt aurait pu être bcp plus simple par camion sur route !!!!

          Dommage que bcp de gens ne se rendent pas compte de cette connérie

          excuser le terme mais malheureusement c'est celui qui le decrit le meiux
          .
          .
          ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
          Napoléon III

          Commentaire


          • #6
            Les opérateurs algériens inquiets après les accords de libre-échange
            je pense que c voulu,

            Pour donner le coup de fouet a la production algerienne !

            Commentaire


            • #7
              je pense que c voulu,

              Pour donner le coup de fouet a la production algerienne !

              Iwamachngoulak


              ..............................

              Pour être voulu c'est voulu et ça dure depuis 1962.

              Et rien ne prouve que les choses vont changer tant que les recettes hydrocarbures sont là pour combler le tout importation .

              Commentaire


              • #8
                bonjour,
                c'est une erreur grave d'essayer d'entrer dans espaces commerciaux de libres échanges que ça soit l'OMC, Zone arabe de libre échange (ZALE) ou l'union pour la méditerrané sans être déjà préparé...
                ça ne fera l'affaire que pour les pays qui sont préparés et qui sont en position d'exporter notamment les produits d'agriculture ou le textile comme l'egype, la tunisie et le maroc...

                Nous n'arrivons même pas à produire au niveau nationale...

                il faudra qu'on fasse comme la chine. il faut déjà produire, construire des usines peut importe la qualité ...

                En tout cas , nous sommes les champions des importations ça ne changera JAMAIS..............:22:
                «Une journée bien employée donne un bon sommeil, une vie bien employée procure une mort tranquille...»

                Commentaire


                • #9
                  Ces produits algérien exporté vers le Maroc sont envoyé dans des conteneurs qui vont aller transiter dans un port Europeens dechargé puis chargé avant d'arriver vers le maroc !!!!
                  Heheh

                  Non désormais alger est desservi directement à partir de tanger med. tout comme oran (www.maerskline.com) S ils ont qq choses à vendre ils le peuvent...

                  Commentaire


                  • #10
                    on doit encourager l'algerie à ratifier l'ALE d'Agadir
                    Pourquoi pas !! Par contre le maroc devrait penser à ratifier les conventions (à caractère économ
                    Dernière modification par jawzia, 16 février 2009, 11h05.

                    Commentaire


                    • #11
                      Atlantic

                      neanmoins le transport par camion tir reste de loin
                      plus compétitif et
                      plus rapide
                      plus réactif

                      c'est pratiquement d'usine à magasin

                      mais si les algériens veulent engraisser les armateurs et les gestionnaires de port c'est une autre question
                      .
                      .
                      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                      Napoléon III

                      Commentaire


                      • #12
                        Les opérateurs algériens inquiets après les accords de libre-échange
                        Ils étaient encore plus inquiets avant les accords avec l'UE.

                        ZALE Vs UE, le proverbe de chez nous, prend toute sa signification :

                        "Alli Yedakhel Assb3a L'Darou Ma ykhef mel gatt"

                        Commentaire


                        • #13
                          neanmoins le transport par camion tir reste de loin
                          plus compétitif et
                          plus rapide
                          plus réactif
                          C est sûr. Et surtout entre l'algérie et le maroc.
                          Moi je voulais juste préciser que le commerce est possible dès aujourd'hui sans attendre une hypothétique ouverture des frontières.

                          "Alli Yedakhel Assb3a L'Darou Ma ykhef mel gatt"
                          Eh ben tant mieux pour tout les importateurs algériens Merci de ratifier le traité d'Agadir au plus vite dans ce cas!

                          Faite nous signe quand vous avez quelques chose à nous vendre.

                          Commentaire


                          • #14
                            Faite nous signe quand vous avez quelques chose à nous vendre.

                            Des " S " pour commencer
                            .


                            Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

                            Commentaire


                            • #15
                              Faites nous signe quand vous avez quelques chose à nous vendre.
                              Ils ont déjà commencé.
                              Pour ce qui est des exportations, le Maroc est considéré comme le premier client de l’Algérie dans le monde arabe avec une part de 34,5%, représentant un montant de 753 millions de dollars.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X