Tweet
Je ferai semblant
Je vais faire comme si je ne t'avais jamais aimé
Comme si jamais ma main n'avait pénétré
Ton visage blanc comme une soie immaculée
Où s'incruste ces yeux dont mon âme est inoculée
Mais au lieu de prévenir mon cœur de cette douleur
Ton regard perçant loge toujours dans ma poitrine
Et scrute mes organes qui saignent, où s'imbibe la douceur
Mais je t'aime encore, d'une tendresse assassine
Je ferai semblant d'oublier ton si joli prénom
Mais je l'avais gravé partout jusque dans l'horizon
J'avais même demandé aux nuages de calligraphier
Ce prénom que me réclament mes bras trop arqués
J'ai réussi a capturer ton ombre, senteur camphrée
Elle danse pour moi au fond d'une amphore antique
Je m'enivre de son odeur grâce à un narguilé sacré
Elle circule dans mes artères ton odeur antalgique
Je ferai semblant de ne jamais avoir eu à marcher
Dans ce chemin que nous prenions, fin comme une lame
Je ferai comme si mes jambes n'avaient jamais piétiné
Ce sol jonché de tes sourires et de mes larmes
Chaarar,
Je vais faire comme si je ne t'avais jamais aimé
Comme si jamais ma main n'avait pénétré
Ton visage blanc comme une soie immaculée
Où s'incruste ces yeux dont mon âme est inoculée
Mais au lieu de prévenir mon cœur de cette douleur
Ton regard perçant loge toujours dans ma poitrine
Et scrute mes organes qui saignent, où s'imbibe la douceur
Mais je t'aime encore, d'une tendresse assassine
Je ferai semblant d'oublier ton si joli prénom
Mais je l'avais gravé partout jusque dans l'horizon
J'avais même demandé aux nuages de calligraphier
Ce prénom que me réclament mes bras trop arqués
J'ai réussi a capturer ton ombre, senteur camphrée
Elle danse pour moi au fond d'une amphore antique
Je m'enivre de son odeur grâce à un narguilé sacré
Elle circule dans mes artères ton odeur antalgique
Je ferai semblant de ne jamais avoir eu à marcher
Dans ce chemin que nous prenions, fin comme une lame
Je ferai comme si mes jambes n'avaient jamais piétiné
Ce sol jonché de tes sourires et de mes larmes
Chaarar,
Commentaire