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Adil Taârabt, est incontestablement l’un des nouveaux prodiges du football international. Précoce, aucun doute là-dessus et les superlatifs ne manquent pas tant le génie d’Adil enflamme les gradins. Il dévoile après le match du Maroc contre la Tchéquie ses impressions et ses ambitions.
C’est la première fois que vous jouez avec l’équipe nationale. Comment vous-voyez cette participation ?
C’est une bonne entrée et un bon départ pour ma première participation avec l’équipe nationale. C’est sûr que j’ai du plaisir à venir ici et défendre les chances et les couleurs de mon pays. Je tiens à vous dire que si j’ai tenu à porter la tenue nationale c’est que j’ai senti que je devais le faire par amour pour mon pays. Je souhaite qu’on se qualifie à la Coupe du monde et qu’on gagne la Coupe d’Afrique.
Est ce que vous pensez que l’équipe nationale est prête pour les prochaines éliminatoires ?
Oui, je le pense vivement. D’ailleurs, j’ai rejoint mes co-équipiers pour réaliser cet objectif. Notre équipe est composée de bons éléments qui ont du talent. Et je pense que le sélectionneur a bien visé pour constituer une bonne équipe solide et expérimentée afin de se qualifier pour la Coupe du monde.
Est-ce que vous pensez quitter Tottenham en fin de saison ?
Il est sûr que j’ai des ambitions et que j’aimerais évoluer plus haut mais je pense qu’il faut choisir le bon moment pour évoluer en compagnie de bons éléments. Pour le changement il n’y a rien de concret pour l’instant. En ce qui me concerne, je me sens bien dans mon club Totenham et si un club se manifeste en fin de saison, je réfléchirai bien et je verrai avec mon agent ce qui est le meilleur pour moi.
Pourquoi avez-vous préféré jouer à Tottenham plûtot que de rester à Lens ?
C’est vrai que Lens aura été plus adaptée à mon jeu, mais si on arrive à s’adapter au championnat anglais, on peut réussir partout et c’est justement mon défi. J’ai fait un choix et je ne le regrette pas. Ce n’est pas pour autant que je ferme la porte à un autre championnat dans le futur.
Parlez-nous de votre parcours et de votre jeune carrière ?
Ma carrière footballistique a commencé dans mon quartier de Berre : la Mariellie. À l’âge de 9 ans, je suis parti à Septème dans un meilleur club mais un peu loin de chez moi. L’année suivante, j’ai eu du mal à allier entre sport et études car le club était loin de chez moi. J’ai donc décidé, après discussion avec mon père, de signer dans un club de bon niveau près de chez moi. Après cette année, j’ai passé un concours des meilleurs jeunes de la région PACA où j’ai terminé meilleur joueur. Grâce à cela, j’ai eu la possibilité d’intégrer tous les clubs de France comme Monaco, Marseille Auxerre. Ensuite, j’ai joué au championnat d’Europe des -17 ans avec les Bleuets, j’ai terminé meilleur joueur et j’ai eu des offres pour intégrer les Gunners, les Spurs, les Reds et Valence. Mon choix, vous le connaissez, Tottenham, j’ai fait mes débuts à 17ans contre Westham, la première année s’est bien passée avec Martin Jol, la seconde moins bien avec Juan de Ramos, mais maintenant, ça va beaucoup mieux avec Harry Rednap.
Source : Aujourd’hui le Maroc - Houda El Fatimi
C’est la première fois que vous jouez avec l’équipe nationale. Comment vous-voyez cette participation ?
C’est une bonne entrée et un bon départ pour ma première participation avec l’équipe nationale. C’est sûr que j’ai du plaisir à venir ici et défendre les chances et les couleurs de mon pays. Je tiens à vous dire que si j’ai tenu à porter la tenue nationale c’est que j’ai senti que je devais le faire par amour pour mon pays. Je souhaite qu’on se qualifie à la Coupe du monde et qu’on gagne la Coupe d’Afrique.
Est ce que vous pensez que l’équipe nationale est prête pour les prochaines éliminatoires ?
Oui, je le pense vivement. D’ailleurs, j’ai rejoint mes co-équipiers pour réaliser cet objectif. Notre équipe est composée de bons éléments qui ont du talent. Et je pense que le sélectionneur a bien visé pour constituer une bonne équipe solide et expérimentée afin de se qualifier pour la Coupe du monde.
Est-ce que vous pensez quitter Tottenham en fin de saison ?
Il est sûr que j’ai des ambitions et que j’aimerais évoluer plus haut mais je pense qu’il faut choisir le bon moment pour évoluer en compagnie de bons éléments. Pour le changement il n’y a rien de concret pour l’instant. En ce qui me concerne, je me sens bien dans mon club Totenham et si un club se manifeste en fin de saison, je réfléchirai bien et je verrai avec mon agent ce qui est le meilleur pour moi.
Pourquoi avez-vous préféré jouer à Tottenham plûtot que de rester à Lens ?
C’est vrai que Lens aura été plus adaptée à mon jeu, mais si on arrive à s’adapter au championnat anglais, on peut réussir partout et c’est justement mon défi. J’ai fait un choix et je ne le regrette pas. Ce n’est pas pour autant que je ferme la porte à un autre championnat dans le futur.
Parlez-nous de votre parcours et de votre jeune carrière ?
Ma carrière footballistique a commencé dans mon quartier de Berre : la Mariellie. À l’âge de 9 ans, je suis parti à Septème dans un meilleur club mais un peu loin de chez moi. L’année suivante, j’ai eu du mal à allier entre sport et études car le club était loin de chez moi. J’ai donc décidé, après discussion avec mon père, de signer dans un club de bon niveau près de chez moi. Après cette année, j’ai passé un concours des meilleurs jeunes de la région PACA où j’ai terminé meilleur joueur. Grâce à cela, j’ai eu la possibilité d’intégrer tous les clubs de France comme Monaco, Marseille Auxerre. Ensuite, j’ai joué au championnat d’Europe des -17 ans avec les Bleuets, j’ai terminé meilleur joueur et j’ai eu des offres pour intégrer les Gunners, les Spurs, les Reds et Valence. Mon choix, vous le connaissez, Tottenham, j’ai fait mes débuts à 17ans contre Westham, la première année s’est bien passée avec Martin Jol, la seconde moins bien avec Juan de Ramos, mais maintenant, ça va beaucoup mieux avec Harry Rednap.
Source : Aujourd’hui le Maroc - Houda El Fatimi
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