LA MEMOIRE DU CHAHID BAFOUEE.
EL WAYAN DU 11.O2.09 BUREAU DE GUELMA.
La ville du 8 Mai 1945, de Souidani Boudjemaà et Houari Boumediène doit rougir de honte après ce qui vient de se produire. De petits responsables, et encore faut-il qu'ils le meritent, se réunissent pour tuer une seconde fois ns valeureux Chouhada. Et
ils se reclament de la famille révolutionnaire. Qu'ont ils fait? Ils débaptisent le CEM des Frères RAHABI, sis à la cité l'Emir Abdelkader, quatre années après son ouverture, au nom de Alami Lakhdar ! le même nom de l'actuel President de l'APC de Guelma... Quel lien de parenté à l'un avec l'autre ? On ne le sait pas. De tout façon les Guelmis le savent. Evidemment, le premier qui doit être Chahid et dont la mémoire est le seul trésor cachés en nos coeurs, n'a rien à voir avec ce jeu maccabre. Cette nouvelle dénomination est intervenue un vendredi soir, le 30 Janvier 2009, à la veille de la visite du Ministre de l'Education Nationale. Nous ayant sollicité pour nous en parler, des collégiens, l'air perdu, nous disent qu'ils n'ont rien compris à ce qui vient d'arriver à leur collège. Assurement , ils en seront marqués à vie.
Le Directeur de l'Education, contacté à ce sujet, n'a fait, lui, qu'appliquer la décision d'une commission de Wilaya compétente en la matière. La grande commission joue avec la mémoire des Chouhada ! C'est l'approbre!
Les Freres Rahabi étaient de grands indépendantistes ; Amar (le Grand père de Abdellaziz Rahabi,ex-diplomate, ex-ministre), fils de la ville de Guelma, et son frêre Tayeb, tombés au champs d'honneur en 1959 à Mahouna. Le premier est père de trois Chouhada, Cherif, Mohamed et Salah. Ce dernier est le père de Abdellaziz Rahabi est un CEM de la cité Bara en porte le nom.
Le Directeur en dira le mot de trop : il citera le cas du CEM Rahabi Salah. Mais Allah ghaleb, n'est pas petit-fils et fils de Chahid qui veut. C'est une grande famille de révolutionnaires, lui reproche-t-on cela? Non, on lui en veut pour sa ligne politique, pour ses opinions qui ne vont pas dans le sens du poil que certains voudraient et, enfin, on l'a fait pour faire plaisir aux pouvoirs du moment. Il faut dire aussi que c'est l'un des cadres - et ils sont relativement nombreux - qui ne s'est pas laissé engluer par le système suranné et moyennageux. Le comble dans tout cela, cest qu'au CEM Rahabi Salah, les documents, en-têtes, cachets humides et autres formulaires portent les inscriptions de CEM BARA. il en est tout autant pour le CEM Alami Lakhdar qui lui, fonctionne avec le nom des frêres Rahabi. Cependant, comme ont doit le savoir puisqu'on a fait l'experience, une plaque est vite enlevée.
Par humilité, un autre responsable, à qui on aurait offert un tel cadeau empoisonné, aurait sursis ç cela. Parceque dans ce pays, rien ne se fait pour rien, on connaitra un jour la contrepartie de cette flagornerie, la valeur de ce qui semble du "donnant-donnant". Enfin comme le dit si bien le proverbe, "La tête est celle d'un mort et le vivanr peut la ou il veut". A.B & K.D
EL WAYAN DU 11.O2.09 BUREAU DE GUELMA.
La ville du 8 Mai 1945, de Souidani Boudjemaà et Houari Boumediène doit rougir de honte après ce qui vient de se produire. De petits responsables, et encore faut-il qu'ils le meritent, se réunissent pour tuer une seconde fois ns valeureux Chouhada. Et
ils se reclament de la famille révolutionnaire. Qu'ont ils fait? Ils débaptisent le CEM des Frères RAHABI, sis à la cité l'Emir Abdelkader, quatre années après son ouverture, au nom de Alami Lakhdar ! le même nom de l'actuel President de l'APC de Guelma... Quel lien de parenté à l'un avec l'autre ? On ne le sait pas. De tout façon les Guelmis le savent. Evidemment, le premier qui doit être Chahid et dont la mémoire est le seul trésor cachés en nos coeurs, n'a rien à voir avec ce jeu maccabre. Cette nouvelle dénomination est intervenue un vendredi soir, le 30 Janvier 2009, à la veille de la visite du Ministre de l'Education Nationale. Nous ayant sollicité pour nous en parler, des collégiens, l'air perdu, nous disent qu'ils n'ont rien compris à ce qui vient d'arriver à leur collège. Assurement , ils en seront marqués à vie.
Le Directeur de l'Education, contacté à ce sujet, n'a fait, lui, qu'appliquer la décision d'une commission de Wilaya compétente en la matière. La grande commission joue avec la mémoire des Chouhada ! C'est l'approbre!
Les Freres Rahabi étaient de grands indépendantistes ; Amar (le Grand père de Abdellaziz Rahabi,ex-diplomate, ex-ministre), fils de la ville de Guelma, et son frêre Tayeb, tombés au champs d'honneur en 1959 à Mahouna. Le premier est père de trois Chouhada, Cherif, Mohamed et Salah. Ce dernier est le père de Abdellaziz Rahabi est un CEM de la cité Bara en porte le nom.
Le Directeur en dira le mot de trop : il citera le cas du CEM Rahabi Salah. Mais Allah ghaleb, n'est pas petit-fils et fils de Chahid qui veut. C'est une grande famille de révolutionnaires, lui reproche-t-on cela? Non, on lui en veut pour sa ligne politique, pour ses opinions qui ne vont pas dans le sens du poil que certains voudraient et, enfin, on l'a fait pour faire plaisir aux pouvoirs du moment. Il faut dire aussi que c'est l'un des cadres - et ils sont relativement nombreux - qui ne s'est pas laissé engluer par le système suranné et moyennageux. Le comble dans tout cela, cest qu'au CEM Rahabi Salah, les documents, en-têtes, cachets humides et autres formulaires portent les inscriptions de CEM BARA. il en est tout autant pour le CEM Alami Lakhdar qui lui, fonctionne avec le nom des frêres Rahabi. Cependant, comme ont doit le savoir puisqu'on a fait l'experience, une plaque est vite enlevée.
Par humilité, un autre responsable, à qui on aurait offert un tel cadeau empoisonné, aurait sursis ç cela. Parceque dans ce pays, rien ne se fait pour rien, on connaitra un jour la contrepartie de cette flagornerie, la valeur de ce qui semble du "donnant-donnant". Enfin comme le dit si bien le proverbe, "La tête est celle d'un mort et le vivanr peut la ou il veut". A.B & K.D
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