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Paris-Le Maroc a adhéré au Comité du centre de développement de l'Organisation pour la Coopération et le Développement économique (OCDE), lors d'une cérémonie organisée lundi soir à Paris au Siège de cette Organisation, en présence de M. Ahmed Lahlimi, Haut Commissaire au Plan.
Dans une déclaration à la MAP, M. Lahlimi a expliqué que l'ensemble des membres de ce Comité se sont prononcés à l'unanimité pour que le Maroc rejoigne cette structure, non pas sous l'angle des réformes qu'il a entreprises à tous les niveaux, mais pour la nouvelle ingénierie qu'il avait mise en oeuvre depuis une dizaine d'années dans la gestion de ces réformes.
"Le centre coopte des pays en développement qui soient représentatifs d'une ambition, d'une capacité et d'une volonté de développement, ce qui est le cas du Maroc", a-t-il dit.
Il a fait remarquer que c'est sur cette base que peut procéder l'utilité d'examiner les expériences de ces pays, d'analyser leurs approches du développement et de tirer les leçons pour l'amélioration des réformes nécessaires pour assurer la libéralisation et l'ouverture de leurs économies.
Pour sa part, le président du centre de développement de l'OCDE, Javier Santiso, a salué l'adhésion du Maroc à cet organisme, précisant que les pays de l'OCDE et les pays émergents et en développement échangent dans ce centre les meilleurs processus de réformes et de bonne gouvernance.
Il a fait observer que beaucoup de pays ont à apprendre des réformes "très intéressantes" entreprises par le Maroc dans les domaines politique, économique et social, citant particulièrement la réforme du code de la famille.
Dans une déclaration à la MAP, M. Lahlimi a expliqué que l'ensemble des membres de ce Comité se sont prononcés à l'unanimité pour que le Maroc rejoigne cette structure, non pas sous l'angle des réformes qu'il a entreprises à tous les niveaux, mais pour la nouvelle ingénierie qu'il avait mise en oeuvre depuis une dizaine d'années dans la gestion de ces réformes.
"Le centre coopte des pays en développement qui soient représentatifs d'une ambition, d'une capacité et d'une volonté de développement, ce qui est le cas du Maroc", a-t-il dit.
Il a fait remarquer que c'est sur cette base que peut procéder l'utilité d'examiner les expériences de ces pays, d'analyser leurs approches du développement et de tirer les leçons pour l'amélioration des réformes nécessaires pour assurer la libéralisation et l'ouverture de leurs économies.
Pour sa part, le président du centre de développement de l'OCDE, Javier Santiso, a salué l'adhésion du Maroc à cet organisme, précisant que les pays de l'OCDE et les pays émergents et en développement échangent dans ce centre les meilleurs processus de réformes et de bonne gouvernance.
Il a fait observer que beaucoup de pays ont à apprendre des réformes "très intéressantes" entreprises par le Maroc dans les domaines politique, économique et social, citant particulièrement la réforme du code de la famille.
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